AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  FAQFAQ  RechercherRechercher  MembresMembres  GroupesGroupes  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment : -21%
LEGO® Icons 10329 Les Plantes Miniatures, ...
Voir le deal
39.59 €

Partagez
 

 Mae ffortiwn yn ffafrio'r dewr* | Gauwain

Aller en bas 
AuteurMessage
Meredith Hawthorne
Etudes supérieures ♢ Ministère ♢ Vélane
Meredith Hawthorne
Etudes supérieures ♢ Ministère ♢ Vélane
Messages :
1112

Date d'inscription :
22/09/2021



Mae ffortiwn yn ffafrio'r dewr* | Gauwain Empty
MessageSujet: Mae ffortiwn yn ffafrio'r dewr* | Gauwain   Mae ffortiwn yn ffafrio'r dewr* | Gauwain EmptySam 25 Fév - 11:20


Mae ffortiwn yn ffafrio'r dewr
@Meredith Hawthorne & @Gauwain Robards
Cerdded i dewi sant yn nhir cymru – trydydd rownd

Crédits gifs : Tumblr, Imgur & Gfycat

En plus de la Mère de Meredith Hawthorne, Gauwain Robards devait rencontrer un homme des plus importants, dans la vie de celle qu’il surnommait Reddy.
Colin Hawthorne, le ‘patriarche’ dont elle avait voulu porter le nom comme symbole d’appartenance à ce monde qui démontrait que le Gallois n’était nullement à exclure de son existence. Fenella de Vermandois, n’avait point aimé cette lubie de sa progéniture, concernant la prise de position de cette dernière. Mais, elle la connaissait sa fille unique, pour lui avoir inculqué un peu de son caractère et de ses envies d’indépendance. Même quand il s’agissait de côtoyer un certain grand Gallois, la Comtesse de Vermandois n’avait pu freiner les ardeurs amoureuses de sa progéniture.

Et, cela n’aurait point fonctionné. La grande blonde le savait pertinemment. Depuis des années, l’ancienne Serpentard aimait ce jeune homme qui partageait sa vie à présent. Sans demi-mesure et inconditionnellement. De cet Amour presque illusoire et enchanteur, qui faisait admirablement comprendre, qu’il n’y avait rien d’autre de plus puissant que cela. Rien d’autre qui pouvait transcender les âmes, les cœurs et les corps. Cela était aussi pourquoi, la jeune femme blonde avait mis toute sa confiance et son affection, dans l’ancien Serpentard. Ce dernier étant celui qu’elle aimait au-delà de sa propre existence sur cette terre. L’envie de fonder leur propre famille, avait été un certain déclencheur. Une réaffirmation de ce qu’ils étaient.

Or, cela n’était point à la noble Française qu’ils en feraient part en premier lieu. Cela serait lors d’une célébration. Pour les quarante-cinq ans du Journaliste du Western Mail. En ce 10 septembre 1980, peu avant leur rentrée à l’École Supérieure du Ministère. Meredith Hawthorne déployait toujours des trésors d’ingéniosité pour surprendre Colin Hawthorne, celui-ci sachant pertinemment que la jeune femme blonde était toujours occupée avec ses écoles réputées ou ses internats somme toute assez singuliers. L’homme en lui-même avait été charmé par Fenella de Vermandois, alors que cette dernière était déjà enceinte de sa future fille à naître. S’étant agréablement fourvoyée quant à la véritable identité du géniteur. Le Gallois était alors présent au moment adéquat. Et aimait cette jeune demoiselle comme personne.

La demi-Vélane avait fait en sorte d’être la plus discrète possible, concernant le présent de celui qui était son ‘père’. S’éclipsant quelquefois de l’École Supérieure du Ministère, laissant quelques instants les membres du Bureau des Élèves, seuls. Sous la supervision d’Hayden Collins qui savait pertinemment remettre les pendules à l’heure et minimiser les esclandres quand sa Présidente, s’évaporait. Présidente, qui avait enfin en ses mains, l’écrin qui contenait une montre faite sur mesure pour celui à qui, elle allait rendre visite en compagnie de son petit ami. Évidemment, il en avait entendu parler. Il savait qui était ce jeune Gallois sans pour autant le connaître. Connaissant cet Amour que la Franco-Galloise possédait à raison envers celui que lui, n’avait encore jamais vu.

En ronronnant, la belle blonde s’était redressée. Venant chercher les lèvres de son ancien camarade de maisonnée, qui s’était rendormi après sa course matinale. Cette discipline sportive, qu’elle appréciait et qui démontrait que son Tutoré était exemplaire à ce propos. Parfois, elle le rejoignait, lui lançant ce défi implicite de se concentrer sur sa destination, alors qu’elle, elle était impeccablement moulée dans son ensemble rouge. Et, il lui en fallait de l’abnégation pour venir à bout de son jogging, sachant qu’il était et serait toujours récompensé. Déplaçant quelques mèches brunes sur son front, les labiales vermeilles vinrent se poser délicatement sur la peau de son fiancé. Lui susurrant ce serment dans leur langue commune. Qui n’appartenait qu’à eux. Et à eux seuls.

- Il est temps de se réveiller ou on est susceptibles de manquer notre train pour Cardiff. D’autres promesses, chuchotées dans le creux de l’oreille qui eurent tôt fait de faire se réveiller le grand brun, s’étant emparé d’une lotion spécifique. Tout en se précipitant avec elle, sous une douche brûlante, qui ne laissait nullement place à un quelconque doute de ce qui pouvait prétendument se produire en son sein.

À la gare de Londres, la demi-Vélane avait privilégié un transport moldu. Appréciant ces deux états de fait d’ordinaire, mais étant donné que le Gallois à qui elle allait rendre visite était essentiellement dépourvu de pouvoirs, -mais connaissait tout de même ses études et son ancien ‘internat’-, l’ancienne Serpentard appréciait de faire découvrir à celui qui partageait sa vie, un peu des deux mondes. Et, il serait sûrement surpris des prouesses, -tout comme elle-, de ceux et celles qui étaient exempts d’un quelconque sang sorcier. Un sourire rouge et un baiser sur la joue du grand brun, qui s’était mis en tête de porter leurs bagages.

Assise dans l’un des compartiments confortables, son seul et unique Gallois à côté d’elle, la belle blonde lui présentait les derniers articles en date qu’avait octroyé son ‘père’ pour le Journal, pour lequel, il était employé. Chaque article était une réaffirmation de cette affection pour celui qui avait grandi sous l’égide du Dragon Rouge. Qui voyait en cette destination qu’était Cardiff, une beauté bien plus soutenue que celle de cette grande ville, qu’était Londres. À force de caresses et de baisers, cette excursion à travers les écrits du chroniqueur passa vite aux oubliettes. Parce que ce Gallois, était bien plus important. Même si la divine demi-Vélane en allait voir un autre.

- Cardiff ! Et direction le Western Mail ! Des exclamations rieuses, alors que l’aspirante Auror était perchée sur des hauts talons, hélant un taxi prestement. Vêtue de rouge, comme à son habitude et afin que celle-ci ne passe point inaperçue. Ce bâtiment, cela est ici que mon père travaille. Et de bondir hors du véhicule, afin de courir dans l’établissement et d’y trouver son ‘paternel’ en grande discussion avec celui qui devait être son supérieur hiérarchique.

Toutes les têtes masculines, -sans nulle exception ; même Jimmy préposé aux photographies-, s’étaient tournées vers celle qui s’était approché du grand homme digne et posé. Celui-ci, n’ayant jamais passé sous silence, qu’il avait bel et bien une fille. Aussi belle, fut-elle.

- Meredith ! Que me vaut ce plaisir ? Un large sourire rempli d’affection, avant de se rendre compte que cette dernière était pour le moins accompagnée. Gauwain, je suppose ?
- Gauwain oui. Et … penblwydd hapus tad ! Et, de lui offrir l’écrin sombre où en son intérieur, se trouvait cette montre, qu’elle avait acheté spécialement pour lui.


Mae ffortiwn yn ffafrio'r dewr* | Gauwain Vzolan10


MEREDITH HAWTHORNE

"The road to Hell is paved with good intentions"




Dernière édition par Meredith Hawthorne le Sam 14 Oct - 15:49, édité 2 fois
Revenir en haut Aller en bas
Gauwain Robards
Etudes supérieures ♢ Ministère
Gauwain Robards
Etudes supérieures ♢ Ministère
Messages :
301

Date d'inscription :
27/09/2021



Mae ffortiwn yn ffafrio'r dewr* | Gauwain Empty
MessageSujet: Re: Mae ffortiwn yn ffafrio'r dewr* | Gauwain   Mae ffortiwn yn ffafrio'r dewr* | Gauwain EmptyMar 26 Sep - 21:13


Mae ffortiwn yn ffafrio'r dewr
@Meredith Hawthorne & @Gauwain Robards
Cerdded i dewi sant yn nhir cymru – trydydd rownd

Crédits gifs : Tumblr, Imgur & Gfycat

Bien que la situation soit à présent un peu différente, l’album de famille des Robards avait tout du catalogue de photos attendus dans un foyer digne de ce nom. Petit garçon souriant, il se trouvait placé entre son père à l’air strict et sa mère au sourire effacé mais doux. Héros d’un monde où l’accompagnaient ces deux silhouettes hautes, équilibre solide, pour guider les pas d’un petit garçon. On aurait pu les utiliser dans certains articles de la Gazette, à vrai dire, ou pour des publicités vantant le modèle correct de la famille sorcière telle que l’envisageait le Ministère.

Mais toutes les familles n’était pas ainsi. Quand Gauwain Robards avait grandi dans une famille galloise tout ce qu’il y avait de plus traditionnel, il n’en avait pas été de même pour son meilleur ami. Ou pour sa compagne.

Il avait su, avait compris, avait pu poser toutes les questions possibles. Et de toute façon, son grand-père avait rapidement identifié qui était le père de Meredith, montrant qu’il était un lecteur assidu de la presse locale galloise, quelle que soit son lieu de publication, sorcier ou moldu.

Cependant, Colin Hawthorne était resté cela : une figure intangible, une photo en noir et blanc sur une page de journal, un sourire dans la voix de Meredith. Il n’y avait pas de trace de lui dans les quartiers de Fenella de Vermandois, pour le peu que le jeune homme en avait aperçu. Chez eux, en revanche, il se cachait dans l’ombre d’un objet appartenant à sa fiancée, il se glissait dans quelques histoires, une ombre discrète mais qui avait une existence réelle. Il savait toute l’affection que son Etoile portait à son père, parce qu’elle irradiait, quand elle parlait de lui, quelle que soit la difficulté de la situation entre ses parents.

Alors… pouvoir le rencontrer… oui, c’était un pas en avant. Significatif.

Ce qui expliquait que, malgré la douceur des lèvres qui venaient le réveiller, malgré le murmure d’amour, et le réflexe qu’il pouvait avoir, même dans le sommeil, de venir la chercher, de venir caresser sa peau… lorsqu’elle annonça avec amusement qu’ils allaient rater le train moldu qui les conduirait à destination, il ouvrit grand les yeux. Elle jouait avec lui, cependant, et les amoureux eurent bien le temps d’une étreinte physique folle de passion, avant de se mettre en route.

Dans le tumulte d’une gare moldue, il se trouvait un peu perdu, ses repères envolés, s’en remettant fort heureusement à elle, comme il s’en était remis à elle pour découvrir les restaurants du Londres moldu, apprenant comment composter un billet ou comment se repérer, un sourire confus aux lèvres tandis qu’il la suivait.

Le voyage fut d’autant moins long qu’ils s’occupèrent plaisamment en chemin, absorbés dans la présence l’un de l’autre, plus que dans la contemplation du paysage, jusqu’à ce qu’enfin le train ralentisse et s’ébroue, les rejetant à Cardif, où la fougue heureuse de Meredith les entraîna dans… une voiture moldue, à l’image de celles qu’il avait très exceptionnellement prises avec elle dans Londres, quand il était impossible de trouver une ruelle où transplaner. Elle avait l’air heureuse, de ces chemins de traverse, même s’ils rendaient tout leur trajet plus long ; on l’aurait dit redevenue adolescente, quand elle riait, le pressant sur la banquette du taxi, et s’en jetant à l’extérieur l’instant d’après.

L’étudiant gallois fit de son mieux pour la suivre, au propre comme au figuré.

Toutes les têtes se tournèrent vers elle, lorsqu’elle s’avança dans la salle de rédaction, se dirigeant sans hésiter vers un homme à l’air sympathique, ressemblant trait pour trait au portrait minuscule que Gauwain avait pu voir sur les journaux, mais se trouvant soudain incarné avec toutes les couleurs et la mobilité de la vie. Aussitôt que le père aperçut sa fille, il y eut dans ses yeux un amour tel qu’on ne pouvait le limiter, qui ne s’était jamais trouvé dans les yeux de Trystan Robards.

Père et fille se retrouvaient, et Gauwain se trouva soudain un peu nerveux, lorsqu’il s’avéra que l’homme s’était malgré tout aperçu que sa fille ne s’était pas présentée seule. S’éclaircissant la gorge et se redressant pour faire bonne impression, il tendit la main, offrant une poignée de main franche :

« Gauwain Robards, enchanté, monsieur ! Mon grand-père lit vos articles avec assiduité ! »

« Tu entends ça, Colin ? Je te l’avais dit que les accidents de train, ça n’attire que les retraités. »

Colin Hawthorne parut ne pas remarquer le commentaire de son collègue, tout absorbé qu’il était dans la contemplation de sa fille, et du cadeau qu’elle lui avait fait. Tout comme il ne s’était pas rendu compte que la quasi intégralité de l’équipe de journalistes se rassemblait progressivement autour d’eux, comme s’ils étaient devenus le point focal de toute attention, en cet instant.

« Hm- on ne va pas vous empêcher de travailler, on peut vous attendre dehors pour aller manger ? »

Par acquis de conscience, il prit la main de sa Reddy dans la sienne. Juste au cas où.


Learning how to change the World
One step at a time
Revenir en haut Aller en bas
Meredith Hawthorne
Etudes supérieures ♢ Ministère ♢ Vélane
Meredith Hawthorne
Etudes supérieures ♢ Ministère ♢ Vélane
Messages :
1112

Date d'inscription :
22/09/2021



Mae ffortiwn yn ffafrio'r dewr* | Gauwain Empty
MessageSujet: Re: Mae ffortiwn yn ffafrio'r dewr* | Gauwain   Mae ffortiwn yn ffafrio'r dewr* | Gauwain EmptyMer 27 Sep - 18:10


Mae ffortiwn yn ffafrio'r dewr
@Meredith Hawthorne & @Gauwain Robards
Cerdded i dewi sant yn nhir cymru – trydydd rownd

Crédits gifs : Tumblr, Imgur & Gfycat

Colin Hawthorne avait toujours été d’une importance capitale dans la vie de Meredith Hawthorne.
Bien que Fenella de Vermandois ne l’avait jamais pensé ainsi. La Comtesse, n’ayant jamais compris pourquoi sa fille unique avait décidé de porter le patronyme de cet homme avec qui, pourtant, elle n’avait rien de commun, génétiquement parlant. Or, cet état de fait, la noble Française n’en avait jamais fait étalage. Préférant se concentrer sur le fait pur et simple que sa demi-Vélane de fille voyait en cet homme, une figure paternelle exemplaire. Tout comme Morgan Delestré, qui lui, possédait ce titre de Parrain, que l’ancienne de Beauxbâtons ne voulait voir être modifié pour rien au monde. Il était somme toute parfait pour éduquer la prunelle de ses yeux avec une autre vision du monde.

Et, le Journaliste du Western Mail, n’y faisait point exception. Lui, que la Franco-Galloise, voulait gâter. Avec amour et déférence. Avec une offrande qui était à la hauteur de ce que son futur interlocuteur représentait pour elle. Son ‘père’, méritait toutes ses attentions. Cela était de lui, qu’elle prédilectionnait parfois certains transports moldus à d’autres qui étaient pour le moins sorciers. L’homme de terrain, connaissant ce qui abritait la Mère et la fille, à raison. Mais, il ne renierait son statut et ses origines galloises pour rien au monde. Car, il était fier de ce qu’il représentait pour sa ‘descendance’. Descendance qui avait hâte de le retrouver, alors qu’elle se perdait agréablement dans les bras musclés d’un Ours plus qu’adoré. Ours, qui comptait sur son Hermine et ses savoirs, pour se diriger avec aisance dans cette gare, afin d’emprunter ce qui leur serait utile pour le restant de leur épopée.

Comme l’aspirante Auror le pensait, son ‘père’ était heureux de la revoir. Satisfait de sa présence et enchanté qu’elle se trouve être accompagnée. Par celui, qu’elle aimait par-dessus tout et dont elle en avait fait des louanges nullement exagérées à son interlocuteur. Colin Hawthorne connaissait Gauwain Robards sans pour autant le connaître réellement. Sachant, ce qu’il représentait pour l’ancienne Serpentard. Combien, il lui avait été difficile de renoncer à cet Amour qui l’avait étreinte dès lors qu’elle avait croisé le regard brun aux teintes de chocolat chaud, lors de la Cérémonie de Répartition de ce dernier. L’homme plus âgé, connaissait tout de cette histoire, sans n'y avoir apporté aucun jugement. Si ce ne fut une oreille attentive, lors des larmes versées.

- Enchanté. Votre grand-père, est un lecteur assidu de mes proses littéraires, alors ? Un sourire tendre, alors qu’il répondait avec enthousiasme à cette main qui lui était tendue. Et vous ? Avez-vous déjà jeté un œil à mes articles ? Cela était de la simple curiosité énoncée par ce Journaliste animé par son travail.

Avec un sourire rouge intense et un ronronnement, la Présidente du Bureau des Élèves de l’École Supérieure du Ministère percevait avec aisance, qu’ils étaient tous les trois, devenus un bien singulier centre d’attention. Et que cette montre ornait parfaitement le poignet de ce ‘père’, qui était un modèle d’abnégation et de droiture intègre. Or, l’ancien Serpentard avait peut-être raison : attendre quelque peu, avant de prétendument se rendre dans un endroit propice aux échanges lors d’un déjeuner.

- As-tu encore du travail père ? Souhaites-tu que l’on se retire avec Gauwain, le temps que tu termines ton travail ?
- J’avais terminé ma Meredith, et j’avoue avoir envie de déjeuner en charmante compagnie. Mais … laisse-moi enfiler mon pardessus. Un sourire rempli d’affection de la belle blonde suite à cette demande formulée d’une voix douce, alors que les doigts fins manucurés de rouge, ne quittaient pas ces doigts, qui lui faisaient pousser les plus doux des soupirs et qui savaient la rassurer, sans aucune mesure. Me voilà. Et, Meredith m’a parlé de vous Gauwain et de votre rencontre. Mais, j’aimerais connaitre votre point de vue, à ce propos. Si cela, ne vous dérange pas.


Mae ffortiwn yn ffafrio'r dewr* | Gauwain Vzolan10


MEREDITH HAWTHORNE

"The road to Hell is paved with good intentions"


Revenir en haut Aller en bas
Gauwain Robards
Etudes supérieures ♢ Ministère
Gauwain Robards
Etudes supérieures ♢ Ministère
Messages :
301

Date d'inscription :
27/09/2021



Mae ffortiwn yn ffafrio'r dewr* | Gauwain Empty
MessageSujet: Re: Mae ffortiwn yn ffafrio'r dewr* | Gauwain   Mae ffortiwn yn ffafrio'r dewr* | Gauwain EmptyDim 12 Nov - 19:13


Mae ffortiwn yn ffafrio'r dewr
@Meredith Hawthorne & @Gauwain Robards
Cerdded i dewi sant yn nhir cymru – trydydd rownd

Crédits gifs : Tumblr, Imgur & Gfycat

« Tout le plaisir est pour moi. Et pour mon grand-père, quand je lui dirai que je vous ai rencontré. Il lit votre journal tous les jours. »

Le jeune homme serra la main tendue, dans une poignée de main ferme. Il était traité avec une approche directe, en égal, et cela inspirait non seulement la confiance, mais un refus des artifices, en retour.

« Je suis moins assidu que mon grand-père, je… j’ai les yeux plutôt tourné vers Londres. Mais j’ai lu vos articles. Ils sont efficaces et bien écrits. Honnêtes. On sent que vous aimez parler avec les gens. C’est sans doute ce qui fait un grand journaliste. »

Le père de Meredith était aussi différent qu’il était possible de sa mère. Là où elle avait accueilli Gauwain avec un froid mépris, lui offrait un sourire et un intérêt marqué. Là où tout de cette femme disait sa lignée aristocratique, lui était un homme appartenant au peuple du Pays de Galle, vêtu de façon confortable et pratique. Là où elle se tenait raide et impeccable, il avait une attitude amicale, était entouré, ne rechignait clairement pas à montrer son affection à sa fille, publiquement, sans s’embarrasser de ses collègues. Il y avait une chaleur, une fierté, dans les yeux de Colin Hawthorne, qui avait de quoi stupéfaire, quand on pensait qu’il avait dû réussir à aimer, vingt années plus tôt, la glaciale comtesse.

Même leurs environnements semblaient opposés, elle qui se tenait dans des appartements privés, séparés du commun des mortels, tandis que lui semblait avoir pour quartier général une rédaction vrombissant de vie et de bruit, qu’il ne rechignait pas à quitter.

Pour son travail ou, fort heureusement pour eux, pour passer du temps avec sa fille. Gauwain ne fut pas fâché de savoir qu’ils allaient quitté la salle de rédaction, réalisant, facilement, que sa petite amie concentrait un peu trop les regards. Il n’avait pas envie de devoir calmer un moldu ou deux, surtout si c’était des collègues de son futur beau-père.

Il se détendait en quittant le bâtiment, en compagnie de son Hermine et de Colin… ...et ce fut son erreur. Car en bon journaliste, Monsieur Hawthorne choisit ce moment, pour le questionner.

…..et c’était le genre de sujets qui ne toléraient pas d’erreurs.

Il chassa la raideur quasi instinctive, générée par la conscience qu’il devait ne pas échouer à cet interrogatoire, s’il ne voulait pas perdre la confiance d’un père, qui lui confiait ce qu’il avait de plus cher.

« Nous nous sommes rencontrés à l’école. Je… j’étais dans l’année suivant celle de Meredith. Et dès le premier jour, quand je l’ai vue pour la première fois… elle était tellement jolie que j’ai été ébloui. C’était comme voir une étoile, pour la première fois. »

Il sourit, pour lui-même, avec une douceur certaine. Il était pris dans les souvenirs, clairs comme si la journée s’était déroulée la veille. La lumière des bougies dans le Hall. Cette petite fille, dans la Maison qu’il allait rejoindre. ...un peu plus tard, les larmes qu’il avait réussi à chasser, en lui partageant son trésor, en lui faisant un cadeau qui serait un symbole, un objectif, une promesse d’avenir. De cela, il ne confia rien. Il garda cet instant, pour eux, comme un autre trésor, qui leur appartenait.

« Par la suite, Meredith a toujours été un modèle pour moi. Un exemple. Votre fille est… sans doute une des personnes les plus douées que je connaisse. J’ai eu la chance qu’elle me tutore. Qu’elle m’aide… et qu’elle m’aime. Comme je l’aime en retour. »

Il ne regardait plus Colin Hawthorne, en cet instant, mais les beaux yeux verts de la jeune femme dont il n’avait pas un instant lâché la main, alors même qu’ils avançaient vers le port de Cardiff. De justesse, il se rappela qu’ils n’étaient pas seuls.

« ...je veux dire… avec votre permission, Monsieur. »

Avait-il fait un faux pas ? Serait-il persona non grata, traité avec la même distance que par Fenella de Vermandois ? Ou allaient-ils pouvoir déjeuner tous ensemble, l’esprit léger ? Au gré de conversations qui lui permettraient d’en savoir plus sur celui qu’il était amené à revoir souvent dans le futur ?


Learning how to change the World
One step at a time
Revenir en haut Aller en bas
Meredith Hawthorne
Etudes supérieures ♢ Ministère ♢ Vélane
Meredith Hawthorne
Etudes supérieures ♢ Ministère ♢ Vélane
Messages :
1112

Date d'inscription :
22/09/2021



Mae ffortiwn yn ffafrio'r dewr* | Gauwain Empty
MessageSujet: Re: Mae ffortiwn yn ffafrio'r dewr* | Gauwain   Mae ffortiwn yn ffafrio'r dewr* | Gauwain EmptyLun 13 Nov - 12:15


Mae ffortiwn yn ffafrio'r dewr
@Meredith Hawthorne & @Gauwain Robards
Cerdded i dewi sant yn nhir cymru – trydydd rownd

Crédits gifs : Tumblr, Imgur & Gfycat

- Si je suis adoubé par votre grand-père, vous m'en voyez ravi Gauwain. Un sourire tendre de la part de Colin Hawthorne, à l'attention de Gauwain Robards. Une autre âme Galloise qui partageait la vie de sa 'fille' unique. Et qui, s'il en croyait les missives que celle-ci lui envoyait, la comblait de liesse. Alors, la poignée de main, fut à la fois paternelle et amicale. Afin d'accueillir le jeune homme avec ferveur et plaisir. Ce compliment, tel que vous venez de me l'énoncer est un réel plaisir pour les oreilles. J'essaye de faire au mieux, pour un journalisme sincère et de terrain. Quelque chose qui pourrait faire écho à ceux et celles qui me lisent. Mais, je comprends parfaitement votre ouverture sur Londres. Il le faut, justement. Cela vous permettra d'être toujours plus critique.

L'homme plus âgé eut encore un sourire avenant et poli. Empli d'une affection infinie pour la belle blonde, qui n'avait de cesse de contempler avec amour, cet échange verbal entre les deux hommes présents dans sa jeune vie. Il y avait aussi son Parrain, mais il n'était point ici. Même si, au regard vert absinthe concentré, la situation aurait été parfaite dans ce cas-là. Or, le Français était absent et il restait dès lors, ces deux âmes que Meredith Hawthorne aimait par-dessus tout. La Franco-Galloise, bien que sujette à certaines œillades plus qu'attentives provenant des collaborateurs de son 'père', n'y faisait nullement cas. Attendant que celui, qu'ils étaient venus voir en couple, daigne vouloir s'extirper des locaux du Western Mail, alors qu'il avait une prédilection manifeste pour son travail au sein de ce journal.

En effet, le Journaliste pouvait rester des heures entières sans se sustenter réellement. Grapillant des repas frugaux ici et là, pour se donner la force de continuer son article. Il était dès lors respecté pour son abnégation qui n'avait aucune limite, si ce ne fut celle de la fatigue elle-même et du précieux temps qui pouvait s'égrener. Mais ici, il en possédait du temps. Et celui-ci était plus que précieux, pour le passer en compagnie de l'ancienne Serpentard et de celui qui partageait sa vie et qu'il apprenait alors à connaître. S'en faire une idée, au-delà des mots écrits sur le papier.

- Je vois. Meredith fait cet effet à bon nombre de personnes. Dès lors, qu'on vient poser son regard sur elle. Et ... Un sourire, tout en observant alternativement l'un et l'autre membre de ce couple parfaitement assorti. Je crois que c'est ainsi que Meredith m'a parlé de vous. Que dès, qu'elle vous a vu, son cœur et son âme en ont été chamboulés. Et, je suis plus qu'heureux de rencontrer ce jeune homme qui a permis un tel miracle sur ma fille. Un baiser, à la naissance des longues mèches blondes.
- Si je suis une étoile, comme Gauwain aime tant me surnommer ... il est un soleil. Qui réchauffe quand les heures sont sombres et qui illumine quand celles-ci sont empreintes de doutes.

Avant que le Gallois, ne lui fasse subitement rosir ses joues pâles. Avec une honnêteté qui ne la laissa point de marbre. Et que le regard brun, couleur de cacao chaud ne rencontre les prunelles à la couleur de fée verte, pour s'y noyer. Une caresse sur la joue de son Ours, avec une tendresse infinie, quitte à ce que l'Hermine oublie momentanément que son Père était en train de les observer à distance. Sans mot dire. Avant un baiser langoureux pour sceller cette promesse dans leur langue commune. Un Serment apte à chasser les Ombres.

- Caru Ti, Gauwain Robards. Am Byth. Et un sourire de la part de Colin Hawthorne, qui fut attendri d'avoir été ainsi demandé pour une permission : celle d'aimer la belle blonde, qui était la prunelle de ses yeux.
- Hum. Là encore, je crois que ma fille a trouvé l'amour de sa vie et que sans vous, cela serait un cauchemar éveillé. Vous avez ma permission. Sans nul doute, Gauwain. Tant que vous la rendez heureuse, j'en serais heureux. Et ... j'ai bien envie de dire que cela est le cas. À nouveau, un tendre sourire : J'ai pour habitude de célébrer les bonnes nouvelles de ce genre, au Customs Shed. J'espère que cela vous conviendra.


Mae ffortiwn yn ffafrio'r dewr* | Gauwain Vzolan10


MEREDITH HAWTHORNE

"The road to Hell is paved with good intentions"


Revenir en haut Aller en bas
Gauwain Robards
Etudes supérieures ♢ Ministère
Gauwain Robards
Etudes supérieures ♢ Ministère
Messages :
301

Date d'inscription :
27/09/2021



Mae ffortiwn yn ffafrio'r dewr* | Gauwain Empty
MessageSujet: Re: Mae ffortiwn yn ffafrio'r dewr* | Gauwain   Mae ffortiwn yn ffafrio'r dewr* | Gauwain EmptyMar 30 Jan - 19:19


Mae ffortiwn yn ffafrio'r dewr
@Meredith Hawthorne & @Gauwain Robards
Cerdded i dewi sant yn nhir cymru – trydydd rownd

Crédits gifs : Tumblr, Imgur & Gfycat

Dans l'histoire de l'humanité et dans tout ce que les siècles avaient compté de rencontres avec la belle-famille, il était certain qu'il y avait eu des débuts plus difficiles. L'Ours et l'Hermine en étaient les preuves vivantes, eux qui avaient eu à affronter une Fenella de Vermandois dépitée de découvrir qui tenait le bras de sa fille, et un Trystan Robards qui goûtait peu qu’une jeune femme lui tienne tête. Oui, ils avaient eu leur lot de problèmes à ce niveau-là.

Aussi, si des universitaires s’étaient penchés sur le sujet, la science aurait pu s'étonner de constater qu'ils contrevenaient à la règle du "Jamais deux sans trois."

Le miracle actuel tenait, cela ne faisait aucun doute, à la personnalité de Colin Hawthorne. L’homme se plaçait, depuis le début de leur rencontre, non dans le jugement mais dans l'écoute et l'ouverture à l'autre. Il semblait soucieux du bien commun, et appliquait manifestement ses principes autant à la sphère personnelle que professionnelle. De fait, Gauvain, du peu qu'il avait déjà découvert sur le journaliste, ne serait pas surpris d'apprendre, un jour prochain, le respect dont il bénéficiait au sein de sa Rédaction.

Pour l'instant, cela dit, on s’était éloignés du monde de la Presse : c'était le cœur de père qui dictait la conversation, et non les intérêts journalistiques. Des compliments avaient été offerts de bon coeur, embarrassant le jeune homme, tout en faisant sa fierté, dans ce qu'il offrait d'approbation paternelle et de sentiments réciproques.

Du baiser sans équivoque que son Hermine lui dédia, il goûta chaque nuance, chaque instant, et sa saveur sucrée lui fit oublier momentanément, comme à l'Hermine, la présence de Colin Hawthorne. Fort heureusement pour les amoureux, ce dernier ne sembla pas leur en tenir rigueur, ne retirant ni l'approbation donnée, ni la proposition de déjeuner.

Ce dont le jeune Gallois, dont l’estomac commençait à s’agiter, lui était infiniment reconnaissant.

Le Customs Shed était un bâtiment de briques rouges et de verre, situé près du port de Cardiff, non loin, en réalité, de la ruelle sorcière où la mère de Gauvain avait sa boutique. L'étudiant n'y avait, pourtant, jamais mis les pieds. Bien que le lieu lui soit étranger, de l'instant où ils y entrèrent tous les trois, il s'y sentit comme chez lui ; ce ne fit que renforcer l’appréciation qu’il s’était faite du père de sa compagne. Il ne regrettait vraiment pas d’avoir fait le déplacement jusqu’ici.

On les dirigea vers un coin tranquille et confortable de la salle, d’où ils pouvaient voir le port et les bateaux amarrés. Ses yeux parcoururent rapidement la carte, mais il savait qu'il allait prendre une grillade de poisson. De fait, à présent qu’ils étaient installés, main dans celle de Meredith, Gauvain se sentit libre de revenir à ce qui comptait le plus, s'autorisant à verbaliser ce qu’il éprouvait, au vu de toutes leurs interactions :

« Je vous remercie, de m'accueillir ainsi. De... de nous donner votre approbation. Pour être totalement honnête, la mère de Meredith n'a pas été aussi enthousiaste. Alors... Avoir votre soutien est d'autant plus précieux. »

Il offrit un sourire à Meredith, pour qu’elle puisse ressentir l’ampleur de son soulagement, de son affection, et de son amour. Avant un petit rire et un commentaire qui lui vaudrait peut-être une petite tape :

« Vous êtes très différent d'elle. Et je dis ça comme un compliment. Comment vous êtes-vous rencontrés ? »

Les deux étaient suffisamment différents pour qu’il n’aie pas besoin d’explications sur le fait qu’ils vivent séparés. Et de toute façon, il n’allait pas amener Colin Hawthorne sur des terrains qui fâchent.


Learning how to change the World
One step at a time
Revenir en haut Aller en bas
Meredith Hawthorne
Etudes supérieures ♢ Ministère ♢ Vélane
Meredith Hawthorne
Etudes supérieures ♢ Ministère ♢ Vélane
Messages :
1112

Date d'inscription :
22/09/2021



Mae ffortiwn yn ffafrio'r dewr* | Gauwain Empty
MessageSujet: Re: Mae ffortiwn yn ffafrio'r dewr* | Gauwain   Mae ffortiwn yn ffafrio'r dewr* | Gauwain EmptyVen 2 Fév - 19:15


Mae ffortiwn yn ffafrio'r dewr
@Meredith Hawthorne & @Gauwain Robards
Cerdded i dewi sant yn nhir cymru – trydydd rownd

Crédits gifs : Tumblr, Imgur & Gfycat

Colin Hawthorne était sensiblement singulier, au regard de Fenella de Vermandois.
En effet, Meredith Hawthorne n'avait nullement craint de lui présenter officiellement Gauwain Robards. Bien au contraire. Parce que le Journaliste comprendrait aisément le Lien qui unissait dès à présent les deux amants, face au monde. Pour la Comtesse, cela avait été plus que différent. Mais, malgré toutes ces réticences avérées, la noble Française avait compris. Que rien ne serait jamais en mesure de séparer les deux aspirants Auror. Bien au contraire. Tout serait en mesure de renforcer leur Union.

Le Moldu, qui avait été mis au courant de l'univers dans lequel évoluait sa fille unique était pour le moins heureux de rencontrer celui qui faisait battre le cœur de la jeune femme blonde sous sa poitrine généreuse. Le Gallois, la Présidente du Bureau des Élèves de l'École Supérieure du Ministère, n'avait d'yeux que pour lui. En témoignait ces œillades vert absinthe des plus charmantes à l'intention de celui, dont l'ancienne Verte et Argent ne lâchait point la main. L'ancien Serpentard, avait toujours été le plus important.
Et, cela était encore bien plus probant aujourd'hui.

Souriant de cette délicieuse entrevue, l'homme plus âgé les convia dans un établissement qu'il affectionnait particulièrement. Les mets y étaient délicieux. Les présentations soignées. Et l'ambiance sensiblement parfaite, pour rendre cette rencontre encore plus réjouissante. Avec un pincement de ses lèvres pleines et rouges, et un froncement adorable de son joli nez, la demi-Vélane devait bien se rendre à l'évidence : il lui faudrait interrompre ce moment de liesse octroyé par ce baiser empreint de délice et de volupté.

Car son 'père', n'accepterait peut-être point d'être mis de côté. Même si celui-ci avait approuvé le jeune homme brun, à la seconde même où il l'avait aperçu. Une main serrée sous cette table de restaurant qui les accueillait, et un plissement espiègle du nez de la belle blonde, en réponse aux palabres idéales de son compagnon. Qu'elle pouvait apprécier cet instant ! Il y avait cependant un absent : son Parrain. Car, si ce dernier avait été présent, cela aurait été somme toute divin !

- Comment pourrais-je ne pas vous accueillir Gauwain ? Un rire tendre de Colin Hawthorne, alors qu'il jetait une œillade des plus intéressée à cette carte appétissante. Fenella est une femme ... sûre de ses positions. Et de ses avis. Mais, elle est une Mère avant tout. Et, s'inquiètera toujours pour sa fille. Un silence. Un sourire. Or, tout comme moi, elle saura reconnaître votre valeur Gauwain. Cela viendra. Je ne me fais aucun souci à ce propos.
- Père ... tu n'es point obligé de répondre.
- Meredith. Cela ne me dérange pas.

À nouveau, un silence. Teinté d'un sourire rempli d'affection :

- J'ai rencontré la Mère de Meredith, lors d'une excursion en France. J'étais tout juste diplômé de mon école de journalisme et j'avais envie de voir un autre pays. On dit toujours que la France est un magnifique pays et que la raffinerie y est de mise. Fenella, a sans conteste, confirmé ces deux croyances. Je fus instantanément charmé.
- Avez-vous choisi Mademoiselle ? Messieurs ? Un jeune employé préposé au service, qui n'avait d'yeux que pour l'ancienne Serpentard, qui elle, ne l'avait remarqué. Qu'à moitié.


Mae ffortiwn yn ffafrio'r dewr* | Gauwain Vzolan10


MEREDITH HAWTHORNE

"The road to Hell is paved with good intentions"


Revenir en haut Aller en bas
Gauwain Robards
Etudes supérieures ♢ Ministère
Gauwain Robards
Etudes supérieures ♢ Ministère
Messages :
301

Date d'inscription :
27/09/2021



Mae ffortiwn yn ffafrio'r dewr* | Gauwain Empty
MessageSujet: Re: Mae ffortiwn yn ffafrio'r dewr* | Gauwain   Mae ffortiwn yn ffafrio'r dewr* | Gauwain EmptySam 16 Mar - 18:45


Mae ffortiwn yn ffafrio'r dewr
@Meredith Hawthorne & @Gauwain Robards
Cerdded i dewi sant yn nhir cymru – trydydd rownd

Crédits gifs : Tumblr, Imgur & Gfycat

Décidément, tout se déroulait d’une façon bien plus favorable, en comparaison de ce que Gauwain avait pu redouter. Pas la moindre pique, pas le moindre commentaire de reproche ou d’avertissement. Tout se déroulait en terres galloises de la façon la plus parfaite et la plus naturelle qui soit. Dans des sourires pleins de bienveillance, et une atmosphère qui invitait à la détente et à une certaine honnêteté.

Honnêteté qui amena le jeune homme à grimacer en entendant le portrait qui était fait de Fenella de Vermandois, échangeant un regard avec Meredith avant d’offrir un commentaire :

« Je sais pas, elle a l’air… enfin… elle a vraiment pas l’air enchantée. Je suis preneur de conseils. »

Parce qu’on n’amadouait pas comme ça un dragon. Il y avait, maintenant qu’il y réfléchissait, des livres entiers sur cette discipline, et pour approcher un Maggyar ou u Vert Gallois, les spécialistes partageaient bien volontiers des conseils, non ? Sans doute Colin Hawthorne pouvait-il leur venir en aide ? Après tout, il avait approché de près la Comtesse, il avait sans doute des astuces pour éviter une émasculation sur la seule base d’un amour mutuel.

Le récit de la rencontre n’amena pas de réponse directe à la question de l’apprivoisement de Fenella de Vermandois, mais l’étudiant écouta avec un sourire, la description de cet amour d’été. Il avait craint, à l’avertissement de Meredith, d’avoir franchi une limite, s’être aventuré sur des terrains par trop personnels, mais l’homme ne s’était pas formalisé, au contraire, évoquant ce qui avait dû être une relation hors normes.

Le fait que rien ne parut étrange à Gauwain Robards, dans les explications de son futur beau-père, était probablement la preuve que la scolarité à Poudlard présentait quelques lacunes, particulièrement dans des matières enseignées en terrain moldu. Le fait que les souvenirs des moments passés n’interpelaient pas plus le journaliste gallois était, d’autre part, une forme de compliment à une certaine forme de Magie.

Le même phénomène, peut-être, amena à ce que l’on interrompe opportunément les confidences, pour ramener l’attention sur des détails bien plus pragmatiques et ancrés dans le présent.

Le jeune Gallois eut un grognement audible et lança un regard d’avertissement au serveur qui s’était approché, et qui ne détachait pas ses yeux de la belle Serpentard ; il sentit sa mâchoire se crisper, l’agacement monter, alors qu’il commandait :

« Je vais vous prendre la Grillade de Neptune. ….sans le merlan. Et toi, fy Calon ? »

La référence au merlan disait silencieusement qu’il avait vu la façon dont l’autre type regardait sa copine. Quant à la question posée à Meredith, elle venait indiquer au gars, si nécessaire, que la demoiselle n’était pas prise. Et… s’il fallait aller plus loin, il irait plus loin. Dans le respect des lois magiques, tout de même.

« Vous voulez trinquer ? A nous deux ? »

Voilà, cette fois, le message était passé de la façon la plus claire et pacifique possible. La prochaine phase verrait le déclenchement d’hostilités plus directes.

Cela lui ferait-il perdre des points aux yeux de Colin Hawthorne ? Ou au contraire, approuverait-il ? Comprendrait-il, peut-être, lui qui était sorti avec la Comtesse qui avait transmis à sa fille une part de beauté, tandis que les dieux gallois avaient complété ses qualités pour faire d’elle la plus belle des femmes ?


Learning how to change the World
One step at a time
Revenir en haut Aller en bas
Meredith Hawthorne
Etudes supérieures ♢ Ministère ♢ Vélane
Meredith Hawthorne
Etudes supérieures ♢ Ministère ♢ Vélane
Messages :
1112

Date d'inscription :
22/09/2021



Mae ffortiwn yn ffafrio'r dewr* | Gauwain Empty
MessageSujet: Re: Mae ffortiwn yn ffafrio'r dewr* | Gauwain   Mae ffortiwn yn ffafrio'r dewr* | Gauwain EmptyDim 17 Mar - 9:05


Mae ffortiwn yn ffafrio'r dewr
@Meredith Hawthorne & @Gauwain Robards
Cerdded i dewi sant yn nhir cymru – trydydd rownd

Crédits gifs : Tumblr, Imgur & Gfycat

Gauwain Robards avait l'air de se satisfaire de ces instants en compagnie de Colin Hawthorne, n'est-il pas ?
Cela était du moins, la pensée inhérente à Meredith Hawthorne, qui n'avait alors d'yeux que pour son Gallois de petit ami, qui lui, paraissait être en terrain connu. Parce que le Journaliste du Western Mail était, de ce fait, bien plus avenant que cette femme qui lui avait donné la vie et son ascendance de Créature, et que l'ancien Serpentard se devait de vaincre un jour prochain, car la Vélane était bien la plus dangereuse des Créations de Dame Nature, quand il s'agissait de protéger sa fille unique.

Or, le 'père' de la belle blonde avait une certaine confiance en son jeune interlocuteur. La Comtesse de Vermandois, reconnue pour être inflexible et pourvue d'un cœur fait de glace, pouvait cependant, -exceptionnellement toutefois-, courber un peu l'échine et ses convictions. Avec un sourire, le Gallois accueillit la réflexion de son acolyte, non sans émettre un léger rire suite à ses quelques palabres, qui étaient largement empreintes de sérieux et qui dépeignaient à elles seules, une vérité absolue.

- Fenella est reconnue pour être une femme froide. Qui ferait tout pour protéger sa fille, surtout si dans son âme et dans son cœur, on daigne la lui soustraire. Mais ... ne portez-vous pas l'héritage d'un Chevalier des légendes arthuriennes, Gauwain ? N'êtes-vous point disposé à secourir votre Belle, envers et encore tous ? Surtout envers un Dragon ? Un silence. ... Meredith, tu n'en diras pas un mot à ta mère, s'il te plait ?
- Non, Père. Bien sûr que non. Un léger rire flûté de la demi-Vélane, occulté pa une main élégante. Car, cette dernière imaginait très bien une future réaction qui incomberait à sa Mère et qui lui soufflait avec aisance que celle-ci serait loin d'être satisfaite. Je reconnais que Mère, peut être comparée aisément à un Vert Gallois, si elle est courroucée ou simplement contrariée. Sa domesticité ne souhaite aucunement lui déplaire, car cette dernière sait pertinemment les risques encourus. Un silence. ... mais Mère, est une personne exceptionnelle et je n'en voudrais aucune autre. Je crois, fy Arth, qu'il faut t'armer de patience pour réussir à la charmer pour qu'elle puisse voir de quel jeune homme merveilleux, je suis tombée follement amoureuse. Un sourire rouge grenat et un regard absinthe où se nichait l'Amour dans son essence la plus pure.
- Eh bien ... je crois que vous avez la réponse à vos craintes Gauwain. Il faut laisser du temps à Fenella, pour qu'elle puisse vous apprivoiser. Si au départ, elle s'arrête au simple fait que vous lui voliez sa seule et unique descendance, elle doit comprendre que vous êtes celui qui a été désigné par le Destin, pour ma Meredith. Et, seulement vous. Mais cela, je ne crois point devoir vous l'expliquer. Un clin d'œil avenant du patriarche avant que celui-ci ne soit interrompu.

Interrompu par un autre jeune homme en tenue apprêtée afin de faire le service à leur table, et qui, n'avait de cesse de contempler l'aspirante Auror qui elle, ne s'en formalisait aucunement. Tant elle en avait eu l'habitude dans les couloirs de Poudlard, entre ceux qui lui déclamaient des odes à sa beauté et d'autres plus aventureux, qui tentaient de lui porter ses affaires pour se montrer des plus galants et des plus investis quant à l'idée triviale que les prunelles vert absinthe pouvaient alors les contempler. Or, il n'y avait qu'un représentant de la gente masculine qui faisait battre le cœur de la Présidente du Bureau des Élèves de l'École Supérieure du Ministère et qui était présentement, jaloux.
Comment pouvait-elle résister longuement à cet état de fait, la demi-Vélane ?

Cette dernière vint lentement frotter son joli nez qui se mit à se froncer sur la joue de son Gallois tant aimé, mordillant légèrement la peau fine. Cela était pour lui signifier, qu'il était clairement à son goût de réagir ainsi. Et, qu'il serait agréablement récompensé. Peu importe la déception grandissante qui naissait dans les prunelles du serveur en place.

- La Grillade de Neptune, mais sans le merlan. C'est noté. Et vous, mademoiselle ? Monsieur ?
- La même chose que mon fiancé. Ce dernier terminera mon assiette, si je n'ai plus faim. Un sourire rouge grenat, d'une politesse feinte, alors que Colin Hawthorne lui, pesait encore le pour et le contre quant au choix même de son mets.
- Mettez-moi, la même chose que tout le monde. Le serveur parti donner la commande de cette table en cuisine, la figure paternelle eut un hochement de tête appréciatif suite à l'interrogation légitime de son vis-à-vis. Trinquons. À vous deux. À l'avenir. Parce que j'aimerais avoir des petits-enfants, un jour prochain ! Une exclamation rieuse qui paralysa momentanément l'ancienne Verte et Argent, qui ne voulait aucunement emprunter cette voie. Du moins, pour l'instant.


Mae ffortiwn yn ffafrio'r dewr* | Gauwain Vzolan10


MEREDITH HAWTHORNE

"The road to Hell is paved with good intentions"


Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé


Mae ffortiwn yn ffafrio'r dewr* | Gauwain Empty
MessageSujet: Re: Mae ffortiwn yn ffafrio'r dewr* | Gauwain   Mae ffortiwn yn ffafrio'r dewr* | Gauwain Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
Mae ffortiwn yn ffafrio'r dewr* | Gauwain
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Looking everywhere only to find | Gauwain
» A l'attention de Gauwain Robards
» Things happen, but we don't really know why | Gauwain
» Your tears don't fall, they crash around me | Gauwain
» Liens de Gauwain - Speak well of your friend; of your enemy say nothing.

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
The Hunted Marauders :: Le Royaume-Uni magique :: Le reste du Royaume-Uni :: Pays de Galles-
Sauter vers: