Remus J. Lupin - A true friend accepts who you are...

nom Lupin,  – parce que les dieux sont ironiques, un écrivain n’aurait certainement pas osé   prénom Remus (ironie, a la coda) ; il a pour deuxième prénom John ; Moony, pour ses amis proches (NDJ : pitié, utilisez le terme original pour le désigner ; notre traducteur français a fait des merveilles, mais pas dans le cas présent ; de même, il désignera les autres Maraudeurs en utilisant le terme anglais, parce que. Voilà.)   date de naissance 10/03/1960 (Poissons, mais croire à ces choses là n’est tout de même pas très rationnel)   origines anglais de naissance   allégeance côté du bien, Ordre du Phénix, par conviction et effet d’entraînement statut de sang  sang-mêlé, contaminé maison / métier Gryffondor. Et à tout ceux qui s’en étonnerait il offrira un sourire mystérieux. situation financière un peu trop de charges, rentrées d’argent trop faibles et trop variables. Actuellement libraire dans une boutique moldue, ce qui pourrait ressembler un peu à son job de rêve. Si les collègues arrêtaient de le regarder en coin avec des regards craintifs. côté coeur / orientation sexuelle s’est enfermé dans le placard, tient solidement la poignée pour maintenir la porte fermée. Patronus un Loup. Evite d’en produire en public dans sa version corporelle dans la mesure du possible, alors même qu’il le maîtrise à la perfection. Epouvantard ses amis lui tournant le dos (n’a pas encore atteint le stade de solitude où sa pire peur serait le retour de la lune). Baguette
Cyprès et crin de licorne, vingt-six centimètres, souple Amortentia Bubblegum, crottes de nez et disons… bombabouses ; en d’autres termes, il refuse de donner la réponse à cette question, et prétendra que la potion a du tourner.   Dons & Malédictions Est servi, question malédiction : est entouré d’amis glorieusement stupides.



Il a offert à chacun des Maraudeurs des disques de jazz de seconde main, au fil des années (histoire de pouvoir en écouter chez eux, pas d’excuse pour ne pas céder au Jazz). Parce qu’il joue avec le feu, Fly me to the Moon se trouve chez Sirius.
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Il a une addiction aux écharpes et vêtements chauds, pour des raisons qu’on ne développera pas. Il use aussi longtemps que possible ses affaires avant de devoir les remplacer.
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Il tient une liste mentale très précise des trucs stupides accomplis par les Maraudeurs ; cette liste ressemble étrangement à ce que les autres considéreraient comme une liste de Hauts Faits, aussi, il est compliqué de savoir si, pour chaque nouvel élément s’y ajoutant, il convient de se rendre au pub pour célébrer ou oublier.
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Ne demandez pas comment il fait, mais il y a toujours dans ses poches du chocolat noir. Il en proposera assez facilement à la cantonade lorsque les circonstances l’exigent. Ca ressemble presque à du deal, à ce stade.  
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Sa saison préférée est l’automne.
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Participe à un groupe d’étude expérimental une fois par mois, qui lui demande de se déplacer sur le continent. Ca le fatigue beaucoup, et les tests lui laissent parfois  des marques physiques, mais il ne peut s’y soustraire, quoi que lui conseillent invariablement ses collègues en le voyant revenir dans un sale état. Il a signé un contrat, et à près tout c’est pour le bien commun. Les jours sont variables, il pose ses congés en fonction, et il met cette condition chaque fois qu’il trouve un emploi quelque part.
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Il a gardé tous les souvenirs possibles et imaginables d’instants avec les Maraudeurs, dans une boîte à chaussure en carton. C’est son trésor le plus précieux. Il se compose de photos, de vieux tickets, de lettres, d’emballages froissés et de bouts de parchemins disparates. Tous ces fragments n’ont pas de prix. Il se jetterait dans les flammes pour les en sortir.
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Chaque année, pour Noël, lui et ses parents font griller des marshmallows dans la cheminée, et son père leur lit un Conte de Noël. C’est immuable et confortable comme le plus épais des pullovers.
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Il est très sensible aux odeurs et aux bruits, particulièrement avant et après une pleine lune, au point que rester dans certains environnements lui coûte.
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Il boit presque exclusivement du thé, noir, anglais, non aromatisé. De l’alcool à l’occasion, mais son métabolisme le processe de sorte qu’il faut des quantités importantes pour qu’il en ressente des effets. ...de l’eau, quand sa mère insiste pour lui rappeler que c’est la plus saine des boissons.
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Son père avait une collection de livres de contes ayant trait aux loups, en raison de l’étymologie de son prénom, Lyall. Un été, après une conversation houleuse, après des cris et des mots déchirants, père et fils ont brûlé chacun de ces livres. Ca a été un moment à la fois cathartique et traumatisant. Il ne veut plus voir brûler aucun livre. Quel qu’en soit le contenu.