Dura Lex, sed lex | Nollan Blake Emerson

nom Emerson prénom Nollan, Blake   âge 30 ans (né le 26.01.1950 (Verseau))   origines Pur produit Américain, né à New-York dans le quartier de Brooklyn   allégeance Côté du Bien statut de sang Sang-Mêlé maison / métier Pas Poudlard. Ilvermorny, Womatou. Maison des Guerriers. / Auror. coté cœur / orientation sexuelle Hétérosexuel. Patronus Malamute de l’Alaska. Epouvantard Une énième trahison. Baguette /. Amortentia L’odeur envoûtante d’une Dutch Baby pommes caramel, tout juste sortie du four ; les effluves sucrées d’Eden Shane encore présentes dans les draps et celles de sa disparition. Et aussi, le menthol présent dans mes cigarettes. Dons & Malédictions Manumage (magie sans baguette) depuis ma sortie d’Ilvermorny et aptitude approfondie à l’IUFA (équivalence américaine du parcours Auror à l’ESM). Niveau assez élevé.



J'ai sur les épaules, le poids de la fierté. Mon père : Mason Emerson, c'est le Chef des Aurors du MACUSA. C'est l'un de mes modèles, si ce n'est le plus important. Y'a aussi mon Parrain : MJ Greene et Elvira Carter. Des symboles. Et, ma mère : Ethel Emerson, née Robards, l'Artiste aux multiples facettes que j'admire. ◊ Mon père, il est à l'initiative de cette sorte de don que j'ai dû faire fructifier après Ilvermorny. Lui, il a cette aptitude. Ce fait de se servir de la magie, sans vecteur pour la canaliser. Alors, pour le rendre fier : j'ai essayé. Ça, s'est pas fait en un jour. Y'a eu des années de pratique pour parvenir à un niveau assez stable et maîtrisé (en gros et pour être plus clair : pas faire de la merde). Je crois que c'est même pire qu'Animagus. J'avais peut-être ça, dans le sang. Qui sait ? ◊ Ma mère, elle a toujours cet éternel sourire niché sur ses lèvres d'actrice. Elle brille sur les planches, autant sorcières que non-maj'. Mais, la seule fois où je l'ai vue pleurer, c'est devant une photo. Une toute vieille en noir et blanc, où je la reconnais facilement. Elle, la blonde, entourée de deux bruns. Ce cliché, elle m'en a fait cadeau quand je suis parti de New-York pour arriver sur Londres. ◊ En parlant de blonde, y'en a une autre qui a débarqué dans mon bureau du Ministère de la Magie. J'étais même pas encore bien installé, qu'elle m'a voulu comme tuteur. Et, je crois que si j'avais refusé ce jour-là, Blondie m'aurait cramé sur place. C'est pas que j'ai peur, c'est qu'elle peut foutre les boules, quand elle est sérieuse. Du coup, je suis son Auror référent, celui qui lui montre la voie. En plus de son parcours à l'ESM. ◊ Je suis d'un naturel extrêmement sociable, et je peux tisser des liens assez facilement. La preuve en est avec Elvira Carter, l'Auror britannique que j'ai assisté à mon arrivée sur Londres. Certains auraient été réticents, mais pas moi. Parce que j'ai appris des méthodes et j'ai pu transmettre les miennes. Ce qui fait qu'avec ma collègue, il suffit juste d'un échange de regards pour qu'on se comprenne. Pas besoin de longs discours. Puis, sans mentir, c'est chiant. ◊ La paperasse, je l'ai en horreur. Faire des rapports, est une partie intégrante du taf d'Auror, mais j'y peux rien, ça me met hors de moi. Je suis homme de terrain moi, pas homme de papier. C'est pas en remplissant des kilomètres de parchemin, qu'on va résoudre une putain d'affaire ! Et, pour tout avouer, j'ai l'impression que le Ministère de la Magie, il est un peu trop protocolaire. C'est relativement chiant. ◊ A mes trente ans, Blondie m'a offert un cadeau précieux. Une plume gravée de mes initiales. 'Pour ces rapports que tu aimes tant !', qu'elle m'a dit. J'ai plutôt eu l'impression qu'elle se foutait ouvertement de ma gueule, avec son petit air espiègle. Mais, sa plume malgré sa petite pique (pas fausse en même temps), je la garde comme un trésor. ◊ Mon auteur préféré est un auteur non-maj' : Herman Melville. Le gars qui a écrit Moby Dick, livre que je connais par cœur pour l'avoir lu tellement de fois. C'est fou comme le capitaine Achab, peut être inspirant, une jambe arrachée par ce cachalot dont il a juré de se venger. ◊ Y'a mon accent américain qui ressort le plus souvent quand je suis agacé. Mais, pour être honnête, il m'en faut pas mal. J'ai quand même une once de flegme britannique hérité de ma mère. Et ça, c'est pas rien. Ça me permet de garder la tête froide. Surtout que l'être humain peut être à même de faire subir à son prochain les pires atrocités. ◊ MJ Greene et Blondie pourront vous le certifier : je tremble d'effroi à l'apparition d'une Jelly anglaise. J'aime pas ça, c'est pas ma faute. C'est pas bon (même si mon Parrain en pense le contraire) et c'est pas beau. Généralement, je ne mange un plat que si son visuel est attractif. Que si la disposition dans l'assiette me plait. Et les couleurs. Et l'odeur. Je suis pas compliqué, juste réaliste. ◊ Blondie, toujours elle, m'a fait découvrir ses films préférés. Des films d'horreur que ça s'appelle. Notamment le dernier en date : Alien, le huitième passager. Sans mentir, l'autre avec un truc qui lui sort du bide, c'est moi qui tente une cuillerée de Jelly. Même ambiance.