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 Smoke on the water, fire in the sky | Opale

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Callum Pritchard
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MessageSujet: Smoke on the water, fire in the sky | Opale   Smoke on the water, fire in the sky | Opale EmptyLun 30 Jan - 17:40





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Smoke on the water, fire in the sky
@Opale Marceau & @Callum Pritchard
Smoke on the water

Même si Gauwain Robards était, est, et serait ce meilleur ami devant l’éternel, Callum Pritchard devait faire en sorte de côtoyer d’autres personnes. Surtout quand ces dernières possédaient le même don que lui. Le natif de Dunbar n’évoquait point sa mère, parce que celle-ci n’avait pas le jugement adéquat. Et surtout, il était son Loukoum à la fraise et parler de ces aptitudes n’était jamais à l’ordre du jour. L’Infirmière de l’ESM et de l’UME répondait toujours présente cependant. C’était plutôt du côté de son fils unique qu’il fallait se tourner. Ce dernier ne voulant pas que sa mère, s’inquiète ou interrompt ces choses si importantes qu’il faisait en sorte que de l’admirer. Sa mère était un modèle. Et, elle serait peut-être contraire à ce qu’il prenne pour référente une autre représentante de la gente féminine ?

Certes légèrement moins âgée mais dont le cœur de matriarche se sentirait à déraison, éclipsée ? Mais, elle possédait cette même aptitude et le regard gris clair s’en souvenait avec certains détails très précis. En ce jour, où il était venu en aide à une petite fille adorable qui n’avait plus eu le contrôle de ses émotions. Or, il avait répondu présent. Malgré la convocation pour sa mère avortée et ce blâme qui n’en avait pas résulté. De cela, l’ancien Poufsouffle en était certain : la femme rousse, -Opale Marceau était son identité-, avait œuvré pour cela. Pour que sa mère n’ait pas d’ennuis, -là ; était l’importance, lui c’était secondaire-, et que la plainte déposée contre elle, soit retirée de son casier au Ministère.

En plus de ces interrogations qui avaient comme première envie, son don, il y avait aussi des remerciements à offrir. Même s’il demeurait assuré que sa future interlocutrice n’en voudrait pas. Elle lui avait paru humble. Et, maternelle. Aimante aussi. Avec une froideur et une réserve, qu’elle n’occultait pas. Toutefois, il n’avait pas ressenti ça, l’Écossais. Il avait juste discerné une certaine propension à la douceur, le concernant. Et … même s’il ne s’en ferait pas une accointance proche, au moins, il ne voudrait pas laisser quelques reconnaissances dans l’oubli. Il n’avait pas été élevé comme ceci. Que dirait sa mère ? Et Monsieur Robards, s’ils l’apprenaient ? Ce n’était pas dans sa nature, de toute manière.

L’ancien disciple d’Helga, en plus de sa présence, s’était acquitté d’un léger présent. Qu’il tenait entre les mains et qui serait destiné à sa future vis-à-vis, si elle ne le congédiait pas. Parce qu’il avait aisément compris toutes les subtilités françaises que lui évoquait ce nom : Marceau, il était allé s’enquérir auprès de la petite amie de son meilleur ami, pour une boutique qui vendrait des macarons. Ladurée, typiquement français. Ça le faisait sourire, de son sourire solaire, alors qu’il pénétrait dans l’immense bâtisse séculaire. Sachant parfaitement où il devait se rendre.

Étant donné que la belle femme rousse, se trouvait dans le même Département de cet homme qu’il considérait comme un père. Une figure paternelle, que lui, n’avait jamais vraiment connu. Or, le natif de Birmingham avait rempli ce rôle à quelques reprises. Et ça, ça lui suffisait à l’Aquamancien. Qui se trouvait alors à quelques pas de sa destination. Le bureau de cette splendide femme. Se rappellerait-elle lui ? Et surtout, il fallait qu’il lui montre ses aptitudes en la matière du maniement de l’eau. Ou lui rappeler justement ce geste qu’elle avait fait dans l’ascenseur du Ministère et qui lui avait permis de déduire, qu’elle aussi, était dotée de cette capacité.

Elle était sûrement là. C’était le bruit que ses hauts talons faisaient sur le sol, qui trahissait élégamment sa présence. Toujours avec ce même sourire prêt à chasser les nuages, -il l’avait (enfin) récupéré et Merlin soit loué à ce propos ou Trystan Robards-, le jeune homme aux mèches auburn toqua à la porte afin de s’annoncer. Quelques coups brefs et répétés avant qu’on le laisse entrer. Qu’elle, le laisse entrer.

- Bonjour Madame Marceau. Je m’excuse de vous déranger et de prendre de votre temps … Une légère grimace contrite, pour le coup. Je n’ai pas pris de rendez-vous, vous devez être sûrement occupée et peut-être vous vous souvenez pas de moi … Une autre grimace, alors l’ancien nageur venait de poser rapidement la petite boîte couleur menthe sur le bureau de l’employée du Ministère. J’ai pris ça pour vous. Parce que votre nom m’évoque la France et ses macarons … et surtout pour vous remercier … parce que ma mère n’a pas eu de soucis. Moi non plus, d’ailleurs. Un silence. Merci. Beaucoup.

Si elle acceptait cette petite faveur, il en viendrait à converser de leurs dons respectifs. Cependant, elle était peut-être vraiment occupée et il la dérangeait, n’est-ce pas ? Au moins, ce ne sera que partie remise. Pour la prochaine fois.


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Dernière édition par Callum Pritchard le Mar 7 Nov - 9:44, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Smoke on the water, fire in the sky | Opale   Smoke on the water, fire in the sky | Opale EmptySam 25 Fév - 1:13


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@Callum Pritchard & Opale Marceau
Septembre 1980


Fermant la porte de ton bureau derrière toi, tu laisses échapper un soupir de soulagement en appuyant ton dos contre la planche de bois, les doigts serrés autour des papiers que tu as enfin récupérés. Ta petite expédition jusqu'au département des catastrophes magiques a profondément mis à mal ta patience, et comme souvent ce sont d'autres agents du Ministère les responsables – des hommes, bien sûr. Déjà qu'ils sont majoritaires ici en temps normal, mais alors depuis que la rentrée de Poudlard a été repoussée, tu as l'impression que tes collègues femmes sont encore plus rares. Tu supposes que les mères parmi elles ont choisi – si tant est que ce soit un choix, ce dont l'inutilité alarmante de beaucoup de pères te fait douter – de rester avec leurs enfants tant qu'elles ne pouvaient pas les confier à l'école. Seront-ils vraiment plus en sécurité là-bas ? Par Morgane tu espères que oui. Pour être honnête, tu fondes beaucoup d'espoir dans le fait que Dumbledore s'apprête à céder sa place, bien qu'attentive aux rumeurs courant dans les couloirs du Ministère au sujet de son potentiel remplaçant. Plusieurs noms te sont remontés aux oreilles, mais rien de confirmé – tu traites donc ces informations comme des suppositions plus ou moins adéquates, rien de plus. D'ici à obtenir une réponse officielle, tu espères que le choix de la Ministre de la Magie sera le bon. Même si tu n'as plus d'enfant à l'école – à Poudlard, tout du moins –, tu n'as pas de mal à t'imaginer la peur et l'angoisse de tous les parents ayant appris l'explosion de ce lieu censé recueillir, héberger et protéger leurs rejetons. Tu les as toi-même ressenties lorsque Jade a été blessée à Pré-au-Lard, et c'est un cocktail d'émotions qui ne peut s'oublier – encore moins en y ajoutant ta rage ardente de faire payer les responsables.

Secouant légèrement la tête pour te sortir de tes pensées, tu t'écartes de la porte et rejoins ton bureau pour y déposer le mince dossier qui t'a tant pris la tête. De maudits balais. Après un nouveau soupir plus ténu, tu te tournes vers ton armoire que tu sondes d'un regard, te mettant à réfléchir. Tu sais que les négociations vont être ardues, mais tu peux t'en sortir, tu en es sûre. Et pour ça, te voilà présent à déambuler dans ton bureau pour rassembler tous les accords qui retracent vos antécédents de commerce de balais avec vos différents partenaires européens. Un dossier solide, c'est ce qu'il te faut. Et c'est lorsque tu ajoutes à la pile l'archive de l'accord conclus avec la Suisse que des coups sont donnés à ta porte. Tu fronces légèrement les sourcils, n'attendant aucune visite, puis rassembles rapidement tous les papiers dans une pochette qui anonymise ainsi le tout. Là seulement, tu invites l'inconnu à entrer, te tenant quant à toi toujours derrière ton bureau, face à la porte.

Tu reconnais sans mal le jeune homme qui apparaît alors dans l'encadrement comme Callum Pritchard. Votre rencontre remonte à deux mois plus tôt, lorsque vous êtes tous les deux venus en aide à une petite fille ayant perdu le contrôle de ses pouvoirs magiques dans un couloir du Ministère. Tu gardes un bon souvenir de ce garçon, bien que tu ne le connaisses pas tant que ça. « Bonjour Madame Marceau. Je m’excuse de vous déranger et de prendre de votre temps … » « Bonjour. » Tu esquisses un sourire poli, le laissant continuer, espérant savoir ce qui l'amène ici. Après tout, tu ne crois pas avoir entendu son nom parmi ceux des nouveaux et nouvelles stagiaires de ton département. « Je n’ai pas pris de rendez-vous, vous devez être sûrement occupée et peut-être vous vous souvenez pas de moi … » Tu secoues légèrement la tête de gauche à droite pour lui signifier qu'il se trompe – sur le dernier point tout du moins. « Je me souviens de vous, monsieur Pritchard. » Son nom ajouté comme une preuve que tu ne mens pas, tu t'apprêtes à lui demander les raisons de sa venu lorsqu'il vient déposer sur ton bureau une petite boîte couleur menthe. Dessus, sept lettres qui te parlent instantanément : Ladurée. « J’ai pris ça pour vous. Parce que votre nom m’évoque la France et ses macarons … et surtout pour vous remercier … parce que ma mère n’a pas eu de soucis. Moi non plus, d’ailleurs. » Pour être honnête, tu avais déjà oublié que tu lui avais rendu ce service. Ça te semblait être la chose naturelle à faire vu la situation, alors tu l'as faite. Tu ne pensais pas avoir le droit à tant de reconnaissance pour si peu. « Merci. Beaucoup. » Tes lèvres s'ornent d'un sourire sincère alors que ton sourire glisse de la boîte de macarons à son visage qui semble presque gêné. « Il ne fallait pas vous donner tant de mal. Vous avez très bien agi lors de l'incident et vous avez aidé la petite Enfys, vous ne méritiez pas d'être sanctionné pour cela. » Et tu t'es simplement assurée que ce ne soit pas le cas, sachant toujours trouver avec qui parler au Ministère pour arranger tes affaires – c'est bien là tout le talent d'une politicienne, après tout. « C'est très gentil, cependant. Merci beaucoup d'avoir pensé à moi. Et puis je dois admettre que les macarons font partie de mes pâtisseries préférées. » Les macarons sont un délice incomparables aux mets anglais, tu l'affirmerais sans mal. « Je ne pensais pas que beaucoup de personnes connaissaient Ladurée en Angleterre. Vous êtes déjà allé en France, Monsieur Pritchard ? » Ce qui expliquerait que lui en sache autant : à Paris – la ville touristique de ton pays natal – il est impossible de ne pas entendre ce nom lorsqu'on s'intéresse un peu aux mets sucrés français. « Vous aviez rendez-vous avec quelqu'un d'autre du département ? Si oui, je ne veux pas vous retenir plus longtemps, mais c'est très aimable à vous d'être passé m'offrir ceci. » Tu ne voudrais pas que ta curiosité empiète sur ce qu'il a prévu, supposant qu'il est simplement venu en coup de vent pour te remercier à nouveau de l'avoir aidé la dernière fois.
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Je ne sais pas parler d'amour
Me glace quand t'es aux alentours, fais même de nombreux faits pour que nos plongeons ne soient qu'des plats. Rapidement coulent les eaux troubles dès que tes yeux troublent mes pas.

Je ne peux bluffer mes blessures, quand tu t'approches, ben c'est l'émoi. Je ne peux bluffer mes fêlures, quand tu t'approches je n'suis plus là.
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MessageSujet: Re: Smoke on the water, fire in the sky | Opale   Smoke on the water, fire in the sky | Opale EmptyMar 7 Nov - 10:15





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Callum Pritchard, était généralement connu comme le jeune homme qui ne se laissait pas submerger par ses émotions. C'était du moins, ce que Kiera Pritchard lui avait toujours appris. Que prendre ses décisions sous le coup des sentiments, était un échec à coup sûr. Parce que l'instinct, -bien qu'il était parfois une très bonne chose-, pouvait s'avérer être problématique pour s'extirper des situations jugées inextricables par autrui. Or, l'Écossais, n'en avait jamais vécu de telles, bien que la perte de la motricité de son épaule pourrait être un exemple quelque peu fâcheux néanmoins. Cependant, si le natif de Dunbar se retrouvait devant cette porte encore close, c'était qu'il y avait bien une raison à sa démarche.

Bien que la femme rousse qui était derrière cette fâmeuse porte, était pour le moins impressionnante. Cette dernière avait tout mis en œuvre afin que sa mère et lui-même ne soient pas inquiétés par des représailles inhérentes à la grande Institution séculaire. Lui, il s'en fichait clairement d'avoir un blâme sur son dossier pourtant impeccable, c'était uniquement sa mère qui prévalait sur le reste. Alors, il ne pouvait s'empêcher de sourire l'Aquamancien, bien qu'extrêmement anxieux tout en tenant la boîte qui contenait son présent. Comment allait-elle réagir, cette femme à l'Aura plus que conséquente ? Peut-être, allait-elle lui rire au nez, en prétextant que ce cadeau ne valait pas grande chose ?

Il n'eut pas le temps de s'enfermer dans de telles pensées moroses, l'ancien Poufsouffle que celle qu'il était venu voir, lui permettait d'entrer dans son antre. Et ... instinctivement et sans en être conscient, l'ancien Jaune et Noir fut pris d'une décharge d'anxiété se fichant en plein dans sa colonne vertébrale. Elle l'avait salué et elle se souvenait de lui. Comme un jeune homme qui avait bien agi lors de cet incident dont le moteur premier avait été une petite fille, qui, n'avait pas su maîtriser ce qu'elle pouvait ressentir. Comment allait-elle, d'ailleurs ? Allait-elle bien ?

- Elle avait besoin d'aide et elle était paniquée par ce qu'elle ne comprenait pas et qui était en train de la submerger. Alors, j'ai agi. Un silence, assorti d'un sourire solaire qui était revenu illuminer ses traits à nouveau. Oh ! Je suis content si ça vous plaît ! J'adore ça. Ma mère essaye d'en faire mais ... on va dire que c'est compliqué, les macarons. Pour ne pas dire que sa mère, n'avait pas forcément de belles prouesses en cuisine à son actif. Que c'était même, tout le contraire qui se produisait à chaque fois, qu'elle tentait de suivre une recette à la lettre.

Ou, qu'elle en déviait pour faire quelque chose de plus immangeable encore.
En repensant à l'Infirmière de l'UME et de l'EMS, le jeune homme eut une lueur tendre dans son regard gris clair, parce que c'était sa mère qui lui avait montré Paris. Qui lui avait fait découvrir l'architecture de cette ville que les autres pays qualifiaient de plus romantique.

- Alors oui. Ma mère, m'a déjà emmené à Paris. Et ... je n'ai pas vraiment réussi à dire quelques mots dans votre langue natale ... Un autre silence, et une question simple où se terrait une politesse franche. D'où venez-vous ? De Paris même ? Avant d'hocher sa tête aux mèches auburn négativement, et avec un sourire. Parce qu'il n'avait aucun rendez-vous de prévu et que c'était bien elle, qu'il était venu voir.

Mais comment aborder ce sujet, sans paraître trop impoli ou intrusif ? Hum. Il avait l'habitude d'annoncer toujours les bonnes ou les mauvaises nouvelles, alors ... ça ne devrait pas être si difficile. Non ?

- Je ... je n'ai rendez-vous avec personne au sein du Ministère. Enfin, pas cette fois du moins. Un soupir, avant de continuer son laïus, non sans perdre cet éternel sourire présent sur ses traits. J'ai vu ... que ... enfin ... Peut-être qu'une démonstration valait bien mieux que mille mots, non ? C'était ce que lui aurait suggéré Gauwain Robards, en premier lieu. Alors ... avisant de l'eau non loin d'eux, l'Écossais usa de son don devant cette femme rousse, sans s'en cacher. J'ai cru avoir vu cette spécificité chez vous et ... je me questionnais quant à la maîtriser complètement.

Avant une autre précision, jugée des plus importantes :

- C'est héréditaire. Je l'ai de ma mère. Et ... vous ? La gêne du début, avait laissé la place à l'assurance de l'instant. Peut-être, allait-elle le congédier pour un péché d'orgueil ? Il ne lui en voudrait sûrement pas, de toute façon.


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MessageSujet: Re: Smoke on the water, fire in the sky | Opale   Smoke on the water, fire in the sky | Opale EmptyDim 31 Mar - 1:28


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Ce n'est qu'une fois que tu t'es assurée qu'aucun papier sur ton bureau ne puisse dévoiler d'informations sur tes dossiers en cours que tu acceptes que la personne ayant toqué à ta porte entre dans les lieux. Une précaution que tu prends toujours, que tu attendes ou non quelqu'un. Tu appelles ça du professionnalisme, mais tu as aussi une certaine tendance à la méfiance excessive. Tu n'as pas de rendez-vous prévu à cette heure, et le visage qui apparaît dans l'encadrement de la porte tandis qu'elle s'ouvre te confirme que rien de tel ne figurait sur ton planning du jour. Tu accueilles cependant avec politesse le visiteur que tu reconnais comme Callum Pritchard, lui offrant un sourire tout en lui assurant que tu te souviens bien de lui. Tu as une bonne mémoire des visages, c'est vrai, que ce soit pour tes ennemis – politiques ou au sein du bureau des services secrets – ou pour les personnes qui te font bonne impression. Callum, lui, t'a marqué d'une bonne façon en venant en aide à une enfant. « Elle avait besoin d'aide et elle était paniquée par ce qu'elle ne comprenait pas et qui était en train de la submerger. Alors, j'ai agi. » Tu hoches la tête face à son sourire qui semble immense comparé au tien, plus léger. Tu n'es pas la plus expressive qui soit, il faut le dire, mais le présent qu'il t'apporte te touche réellement et tu veilles à le lui faire savoir. Il n'aurait pas dû se donner tant de mal, pourtant : il s'est comporté bravement auprès d'Enfys et ne méritait pas d'être puni pour cela, raison pour laquelle tu t'es assurée qu'aucun employé du Ministère ne vienne lui reprocher son absence à un rendez-vous. Tu acceptes cependant avec plaisir les macarons de la célèbre marque française, déjà ravie à l'idée de pouvoir les rapporter chez toi pour que Tamsin puisse aussi y goûter. « Oh ! Je suis content si ça vous plaît ! J'adore ça. Ma mère essaye d'en faire mais ... on va dire que c'est compliqué, les macarons. » « C'est tout un art, de faire des macarons. Et j'ai beau être Française, j'en suis bien incapable moi-même, » admets-tu avec un rictus amusé. On passera sur tes talents en pâtisserie, de toute façon. Si tu maîtrises les grands classiques que tes enfants adoraient lorsqu'ils étaient petits, ils ne vont pas plus loin et tu n'as jamais vraiment essayé de les perfectionner. Pourtant tes origines honorent bien plus la pâtisserie que le pays où tu as décidé de construire ta vie d'adulte. La France est mondialement connue pour sa gastronomie et Ladurée en est un des piliers en terme de mets sucrés. Ainsi, tu es assez étonnée qu'un jeune homme dont le nom n'a aucune consonnances françaises et qui n'en a pas non plus l'accent t'en offre. « Alors oui. Ma mère, m'a déjà emmené à Paris. Et ... je n'ai pas vraiment réussi à dire quelques mots dans votre langue natale ... » Tu esquisses un nouveau sourire à sa remarque. « C'est une langue compliquée, même pour les natifs, » assures-tu, comme si tu voulais le rassurer. Pourtant, Morgane et Merlin savent que tu as maudit les th lorsque, enfant, tu as commencé à apprendre l'Anglais comme le voulaient tes parents. « D'où venez-vous ? De Paris même ? » Tu secoues doucement la tête de gauche à droite. « Non, de Toulouse. C'est plus au Sud, » expliques-tu, sans désirer entrer dans les détails car tu ne penses pas que ce soit utile de lui détailler la géographie de ton pays natal et ses villes majeures.

D'autant plus que tu supposes qu'il n'est passé te voir qu'en coup de vent avant un véritable rendez-vous avec un autre membre du Ministère, ce que tu comprends sans mal. Tu ne souhaites nullement le retarder si tel est le cas, le remerciant alors pour sa petite attention et lui offrant une occasion de s'éclipser afin de ne pas manquer de ponctualité. Mais pour toute réponse, le jeune homme répond par la négative d'un hochement de tête et sourit. Il semble hésiter un instant avant de reprendre la parole. « Je ... je n'ai rendez-vous avec personne au sein du Ministère. Enfin, pas cette fois du moins. » Même si ton visage reste relativement impassible, comme il l'est toujours, tu t'étonnes qu'il se soit rendu au Ministère seulement pour t'offrir quelques macarons. Le fait que son sourire se ternisse t'intrigue mais, voyant qu'il s'apprête à poursuivre, tu ne l'interromps pas. « J'ai vu ... que ... enfin ... » Rien ne semble lui venir d'assez clair pour que tu comprennes ce qu'il essaie de te dire, si bien que tes sourcils se plissent d'un air interrogatif. Tu ne comptes pas lui faire de reproches mais tu souhaiterais savoir ce qui l'amène ici outre sa délicate attention à ton égard en guise de remerciement. C'est sans un mot que le jeune homme tente alors de s'exprimer : l'eau qui s'écoule habituellement de la petite fontaine disposée dans un coin de ton bureau s'en échappe pour venir jusqu'à ses mains sous ton regard surpris. Tu ne t'étais pas imaginée que cela puisse être à propos de ton don d'aquamancie qu'il souhaite te revoir, ne te souvenant même pas le lui avoir montré. « J'ai cru avoir vu cette spécificité chez vous et ... je me questionnais quant à la maîtriser complètement. » Si tu comprends cette volonté sans mal, ayant toi-même désiré manier convenablement cette magie si particulière avec laquelle tu es née, tu es surprise que ce soit vers toi qu'il se tourne pour cela. Es-tu la seule aquamancienne qu'il connaisse ? « C'est héréditaire. Je l'ai de ma mère. Et ... vous ? » Malgré toi, tu te raidis légèrement face à sa question. Tu n'aimes pas parler des Marceau, craignant toujours qu'en dire trop puisse t'être préjudiciable. Tu te contentes donc d'une réponse vague mais d'un ton que tu veilles à garder neutre. « De l'un de mes grands-parents. » Tu n'es jamais très bavarde, lorsqu'il s'agit de la famille dans laquelle tu as vu le jour. « Si votre mère est aquamancienne aussi, pourquoi ne pas vous tourner vers elle pour vous aider à maîtriser ce don ? » Tu le questionnes sans une once d'agressivité ou de reproche, simplement intriguée de cette demande impromptue à laquelle tu ne t'attendais pas le moins du monde.
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MessageSujet: Re: Smoke on the water, fire in the sky | Opale   Smoke on the water, fire in the sky | Opale EmptyMer 1 Mai - 17:25





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Que dire de cette femme, à l'aura impressionnante dont il serait aisé de se tasser rien qu'en étant dans son bureau à elle ? Pour Callum Pritchard, c'était un peu ce qui se produisait. Conscient, qu'en face de lui, se trouvait une femme forte et pour le moins indépendante qui aurait pu très bien le congédier alors qu'il s'était pratiquement invité dans son sanctuaire. Et ce, même pourvu de macarons, digne emblème des pâtisseries françaises raffinées. Malgré que l'Aquamancien ait pu en goûter dans un établissement prestigieux anglais qui se donnait pour thème de faire valoir les mets gastronomiques de ce pays qu'était la France, rien n'égalait les petites mignardises présentes dans la boîte couleur vert anis.

Ce faisant, l'Écossais était pour le moins satisfait d'avoir pu octroyer à cette magnifique femme, -comment ne pas la trouver splendide ; lui qui avait une propension à apprécier les demoiselles à la chevelure de feu-, même si cette dernière n'était pas une grande cuisinière à l'image de cette mère adorée par l'ancien Jaune et Noir, qui en était si fier.
Et qui était une image paternelle en plus d'être maternelle, bien évidemment.

- Qu'est-ce que vous savez faire d'autre comme mignardises à la française ? Genre ... des croi-ssants ? Il n'était pas sûr de la prononciation à la française mais au moins, le jeune homme avait essayé. ... je remarque, rien qu'avec ce mot ... qu'elle est plus que compliquée. Un silence assorti de ce même sourire solaire qu'il pouvait octroyer aux gens estimés comme aux personnes méconnues. Et, cette femme à la tenue si singulière faisait partie de ces âmes pour lesquelles, l'ancien Poufsouffle pouvait miser. Toulouse ? Avec l'accent qui chante, c'est ça ?

Malgré l'essence britannique qui émanait d'elle, cela était l'intention qui en résultait. Du moins, ça s'entendait. Ou ça se percevait même si honnêtement, en termes d'accents, il était assez servi avec le sien, le natif de Dunbar.
Or, ce n'était pas ceci qui l'intéressait. S'il était venu dans ce sanctuaire, c'était avec une idée bien précise, qu'il venait de démontrer, le meilleur ami de Gauwain Robards. Son idée, elle consistait à demander une main qui serait susceptible de l'aider, si la trentenaire en face de lui, le souhaitait. Cependant, elle avait amplement raison en mentionnant cette mère qui serait celle à qui il aurait dû demander. En premier lieu.

Toutefois, ça restait assez compliqué.
Cherchant ses mots, afin qu'ils soient appropriés au contexte, Callum Pritchard fixant de son regard gris clair sans ciller, Opale Marceau. Son interlocutrice qui lui avait déjà sauvé la mise au Ministère de la Magie. Une fois.

- Même si ... mon don me vient de ma mère ... elle n'a jamais cherché à le maîtriser ni à tenter de faire quelque chose avec. Un sourire qui se voulait bien plus avenant, parce qu'il possédait une certaine confiance, sans qu'il ne se l'explique réellement. ... c'est peut-être idiot ou fou, ou totalement déraisonné ... mais j'ai envie que vous m'apprenez. Vous. Juste vous. Parce que ... j'ai aimé comment vous avez su gérer les émotions de cette jeune fille et que vous ne m'avez pas repoussé. Alors que vous auriez pu. Parce que je n'avais rien à faire là. Est-ce que ça fonctionnerait ? Seule la réponse de sa vis-à-vis, le lui dirait. Et, il croisait tout ce qu'il pouvait pour que le Destin ou la Fortune lui soient favorables.


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MessageSujet: Re: Smoke on the water, fire in the sky | Opale   Smoke on the water, fire in the sky | Opale EmptyMer 8 Mai - 21:14


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Septembre 1980


Malgré tes origines françaises et ton goût certain pour les bonnes choses, tu n'es pas une grande pâtissière. Il faut dire que l'idée de passer des heures derrière les fourneaux à t'améliorer ne t'a jamais attirée, toi qui préfères les passer au Ministère à régler des conflits et à négocier des accords. Tu maîtrises les bases de la pâtisserie, celles qui suffisaient à enchanter tes enfants lors des goûters ou pour les anniversaires, mais ça s'arrête là. Tamsin pourrait d'ailleurs qu'elle passe beaucoup plus de temps à te mijoter de bons petits plats que l'inverse, même si tu sais faire des efforts pour lui faire plaisir lorsqu'elle rentre tard de ses entraînements. Tu ne lui as cependant jamais fait de macarons, ces mets étant bien trop ardus à préparer pour que tu t'y risques. « Qu'est-ce que vous savez faire d'autre comme mignardises à la française ? Genre ... des croi-ssants ? » La prononciation laborieuse de Callum t'arrache un sourire, pas moqueur pour deux sous cependant. « ... je remarque, rien qu'avec ce mot ... qu'elle est plus que compliquée. » Tu approuves d'un hochement de tête. « C'est certain, mais j'adore ma langue natale, » reconnais-tu sans mal. Tu aimes profondément le français, comme tu adorais ton pays natal, et d'ailleurs tu ne l'as pas quitté de gaieté de cœur. Tu t'es d'ailleurs évertuée à apprendre à tes enfants cette langue en même temps qu'ils apprenaient l'anglais, ne voulant pas qu'elle se perde avec toi et que ça leur serait utile un jour. « J'ai déjà fait des croissants, oui. Mais je suis plus douée pour les madeleines. Et occasionnellement les éclairs au chocolat. » C'est plus rare, néanmoins. Les madeleines, c'est facile, et puis tes enfants adoraient – et adorent toujours – ça. « Toulouse ? Avec l'accent qui chante, c'est ça ? » « C'est ça, » confirmes-tu avec un léger sourire amusé. Les Britanniques s'en rendent rarement compte, tout obnubilés qu'ils sont par ton accent français que presque vingt années au Royaume-Uni n'ont pas effacé.

Tu ne t'attendais pas à ce que Callum Pritchard revienne te voir à propos de ton don d'aquamancie – pour être honnête, tu ne te rappelles même pas t'en être servi devant lui – et encore moins à ce qu'il sous-entende que tu pourrais l'aider à maîtriser le sien. Vous ne vous connaissez pas, après tout, et même s'il t'a fait bonne impression tu ne te souviens pas lui avoir laissé croire que tu donnais des cours particuliers sur ton temps libre déjà bien réduit par tes missions pour les services secrets. Puisque son don lui vient de sa mère et qu'il semble avoir de bonnes relations avec elle, étant venu de sa part au Ministère le jour de votre rencontre, tu t'étonnes qu'il ne se tourne pas vers elle pour un tel enseignement. « Même si ... mon don me vient de ma mère ... elle n'a jamais cherché à le maîtriser ni à tenter de faire quelque chose avec. » « Je vois. » Ton regard reste neutre mais l'analyse discrètement, comme si malgré toi tu avais besoin d'être certaine qu'il n'ait une idée derrière la tête. Son sourire à lui s'étire de plus belle. « ... c'est peut-être idiot ou fou, ou totalement déraisonné ... mais j'ai envie que vous m'apprenez. Vous. Juste vous. Parce que ... j'ai aimé comment vous avez su gérer les émotions de cette jeune fille et que vous ne m'avez pas repoussé. Alors que vous auriez pu. Parce que je n'avais rien à faire là. » « Vous aidiez cette petite mieux que quiconque ce jour-là, j'aurais été idiote de vous en empêcher. » La fillette semblait terrifiée par la plupart des personnes qui l'entouraient après l'incident, mais pas par lui. Sans doute parce qu'il était doux, bien plus que les agents du Ministère qui s'étaient approchés d'elle pour la disputer. « Et honnêtement, je ne sais pas si je serais une très bonne professeure. J'ai appris toute seule à maîtriser mon don, alors je doute que mes conseils puissent être applicables à d'autres aquamanciens. » Tu es une autodidacte, difficile de t'imaginer comme enseignante quand tu n'en as pas eue toi-même.
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Je ne sais pas parler d'amour
Me glace quand t'es aux alentours, fais même de nombreux faits pour que nos plongeons ne soient qu'des plats. Rapidement coulent les eaux troubles dès que tes yeux troublent mes pas.

Je ne peux bluffer mes blessures, quand tu t'approches, ben c'est l'émoi. Je ne peux bluffer mes fêlures, quand tu t'approches je n'suis plus là.
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Callum Pritchard
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MessageSujet: Re: Smoke on the water, fire in the sky | Opale   Smoke on the water, fire in the sky | Opale EmptyMer 5 Juin - 11:05





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Kiera Pritchard était une mère exceptionnelle, ayant élevée seule son fils sans qu'il n'ait pour autant souffert d'un manque de figure paternelle. Parce que l'Infirmière, à la fois de l'UME et de l'ESM, gérait les deux sans pour autant avoir un quelconque manque à assouvir. Même si, au niveau de la tenue d'un foyer impeccable et d'une cuisine somme toute assez mangeable, la mère de Callum Pritchard était à des lieues d'être une excellente fée du logis. Cette dernière savait tout de même se débrouiller mais force était de constater que les plats annoncés n'étaient aucunement à la hauteur de ce que l'on pouvait escompter d'eux.

Cela était sûr et certain, que quand Gauwain Robards était invité chez les Pritchard, ce dernier était pour le moins épargné des quelques mets préparés pourtant avec amour, par la mère de famille écossaise.
En ce qui concernait celle qui faisait face à l'ancien Poufsouffle, celle-ci faisait naître un certain appétit chez l'Aquamancien. Les quelques mots, qu'elle avait employé de cette langue natale qu'elle adorait, le jeune homme aux mèches auburn, visualisait magnifiquement bien les mignardises qui y étaient associées. Non sans les avoir testées pour autant. Ce qui était fort dommage ...

Alors qu'il en mourrait d'envie.
Mais là, n'était assurément pas le sujet.

- Wow. Vous êtes vraiment douée dans tout ceci et pour être assez honnête, ça me donne plutôt envie. Un sourire solaire pour appuyer ses dires où ne transparaissait qu'une seule et unique vérité.

Toutefois, même si l'ancien Jaune et Noir aurait adoré ingurgiter les quelques mignardises sublimées par Opale Marceau en personne, le natif de Dunbar n'était nullement présent dans son bureau pour cet état de fait. Il était bel et bien présent en son sanctuaire, pour ce Don qu'il partageait à la fois avec sa mère et avec cette femme à l'aura si douce mais tout aussi implacable. Et, se retrouvant alors à argumenter quelque peu quant au choix de son interlocutrice pour lui apprendre, plutôt que sa propre génitrice.
Non pas que l'Écossaise aurait été une mauvaise pédagogue mais cette dernière devait se concentrer plus que de raison pour faire valoir cette capacité au regard du monde.

Alors que pour la vis-à-vis de son fils, cela avait été semble-t-il, totalement l'inverse qui s'était produit sous son regard gris clair.
Et c'était aussi en partie pour cela, qu'il était en ce lieu. Ici, tentant de convaincre la Française de l'aider en le tutorant.

- Enfys était adorable et je n'ai pas pu passer outre sans me retourner. Elle avait besoin d'être rassurée et elle a accepté que je le fasse. Un tendre sourire plus que bienveillant, avant que les iris argentés brillent d'une lueur sensiblement nouvelle. Et fugace. Ce qui m'a interpellé chez vous, ce fut cette propension à utiliser votre aptitude sans réfléchir. C'était fluide. Alors que, j'ai parfois encore quelques ratés de ce côté-là. Un silence. ... je veux bien entendre et écouter vos conseils Madame Marceau.

Pourquoi, ne pas essayer après tout ? Ça n'engageait à rien, n'est-ce pas ? Sauf peut-être le temps plus que précieux de l'employée du Ministère. Et ça, malgré tout, ça refroidissait un peu le disciple d'Helga.


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