Il suffit de se souvenir, d'allumer la lumière~Antonio Moretti

Que pensez-vous de la situation et du climat actuel qui règne sur le Royaume-Uni ? Vu le monde dans lequel il a vécu, le royaume Unis lui semble si calme. Il est loin d’imaginer ce qui se passe non loin de lui vu qu’il ne croit pas à la magie.

Quels sont vos idéaux ? Votre vision de ce que le monde devrait être ? Il ne rêve pas d’un monde de Bisounours avec juste paix et amour. Il n’est pas assez naïf pour ça. Il rêve déjà d’un monde où les hôpitaux serait mieux entretenue, fourni et payé afin que les patients y soient soigné dans de bonne condition. Ensuite, il a des rêves simples, pas si ambitieux, juste un monde moins agité.

Caractère
Règle 1 :Ne lâche jamais rien. En véritable tête de mule et homme persévérant  Antonio va jusqu’au bout quand il a une idée. Et ne le lançait sur un sujet où il sait avoir raison, vous ne gagnerez pas.
Règle 2 : Aide sans jamais te poser de question.  Antonio est du genre à sauver la veuve, l’orphelin et le malfrat sans se poser de question. Il est né pour aider voilà tout ce qui compte.
Règle 3 : Apprend tout ce que tu peux et transmet le. Antonio aime apprendre, mais plus que tout il adore éduquer autrui. Pour lui un savoir est inutile s’il doit rester cacher.
Règle 4 : N’oublie jamais de faire rire et de rire. De un Antonio aime faire des blagues et des farces. De deux il a toujours un sourire accroché à sa face une fois sortie d’une urgence.

Antonio regarde droit devant lui. La journée a été dur voir un enfant mourir ce n’est jamais agréable. Il entend encore les cris des parents dans sa tête. Un frisson le parcours, il a envie de vomir. Il doit se reprendre, la vie est ainsi faite. Il le sait, il ne peut pas sauver tout le monde et pourtant il aimerait bien. Sauf que ça c’est une utopie. La mort fait parti de la vie c’est ce qui rend la vie importante. Il pousse un soupir même cette pensée ne l’aide pas à sourire un peu.
Il lâche ses clefs dans son petit bol. Il est bien décidé à se réchauffer sous une eau bouillante, mais le téléphone sonne. Il hésite à répondre. Sauf que ce n’est jamais une bonne idée de laisser son téléphone sonner. Il pousse un autre soupir et attrape le combiné.

« Antonio Moretti, j’écoute.
-Salut gamin.
-Georgio… que me veux tu ? Je t’ai déjà dis que je ne voulais plus entendre parler de l’affaire familial.
-Je sais, mais tu sais ton père  été un grand homme et on n’échappe pas à son héritage si facilement.
-Georgio, je t’en prie fait en sorte que j’y échappe. »

Antonio hésite et raccroche le combiné. Il vient sans doute de donner l’autorisation à Georgio de tuer des hommes qui veulent sa peau, car il est le fils de Nino Moretti. Antonio secoue la tête. Il ne doit pas penser à ça. Et pourtant le passé mafieux de son père lui revient souvent en pleine face. C’est une source de stresse même s’il n’a jamais voulu en faire parti. La mafia ça craint, trop violent et des contacts douteux. Il se souvient encore de ses types de la communauté de Saint Michel à Naples, ceux qui croyaient que les sorciers existaient et qu’ils fallaient les éradiquer. Ils l’ont traumatisé ces types, mais ils rapportaient beaucoup d’argent à son père même s’il les trouvait cinglé. Antonio c’est toujours demandé même enfant comment on pouvait croire que la magie était réelle. Si la magie existait, il y aurait moins de problèmes. Il hausse les épaules et commence à aller dans son salon, mais le téléphone sonne à nnouveau. Il décroche persuadé que c’est encore le meilleur ami de son père.

« Quoi Georgio ?
--Raté Antonio, c’est Anatole.
-Oh pardon. »

Antonio devient rouge. Il a un don pour s’humilier devant son professeur de thèse, Enfin son ex professeur et son ex amant aussi. Heureusement, l’homme a été son premier amant en terme de ridicule, il a vu pire que ça. Surtout que à l’époque était un jeune étudiant au début de ses études de médecines.

« Comment tu vas Anatole ?
-Parfaitement bien. Je viens à Londres dans une semaine, ça te dirait qu’on se voit ? Je pourrai te donner des nouvelles de Moussa.
-Evidemment, mardi je suis en repos. »

Ils parlent encore un peu et puis il raccroche. Antonio a retrouvé le sourire. Même s’ils ne sont plus ensemble Anatole est un ami proche. Et Moussa est un jeune homme compétent rencontré en Afrique et venu faire une partie de sa thèse dans l’ancienne université de Antonio. Alors, évidemment Antonio est ravi d’avoir de leur nouvelle. Ils pourront reparler de la faculté et aussi de l’époque où il a tout plaqué pour aller faire sa thèse en Afrique ou encore de quand ils étaient sur les routes des villages les plus pauvres pour les aider. Cette époque de sa vie lui manque.
L’Italie aussi lui manque, après tout c’est là bas qu’il a rencontré Jérémy. Le jeune australien a l’avenir prometteur. Il lui a toute suite plu même si Antonio avait dû mal avec l’adoration de Jérémy ne pensant pas la mériter. Il ne le pense toujours pas. Il a fait des trucs chouettes dans sa vies, mais c’était normal selon lui. Et puis franchement, lui qui est venu en Angleterre juste pour rester proche de Jérémy, il est plus pitoyable qu’autre chose, mais ça son jeune ami ne le saura pas. Sauf s’il se décide à lui parler de ses sentiments. Il devrait peut-être le faire lors de leur prochaine retrouvailles. Il devrait, mais pas sur qu’il le fera

Enfin le voilà le tendre, le chevaleresque, l'incorruptible Antonio J'en connais un qui dois être content

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