nom Aleida, un nom aussi lourd à porter que son héritage puisque son père avant elle a fondé un des cartels les plus puissants d’Amérique du Sud
prénom Carmen
âge approche la
cinquantaine.
origines Colombienne, expatriée au UK et
naturalisée Britannique, allez savoir comment (sûrement par des méthodes peu catholiques, on va pas se le cacher)
espèce Sorcière statut de sang Libre, le statut de sang n’est pas si important que ça dans l’univers des cartels
Maison à Castelobruxo Elle a fait sa scolarité dans la prestigieuse école latine de
Castelobruxo, dans la maison de ton
choix.
Année d'étude Elle a obtenu son diplôme et suivi pendant plus de cinq ans un cursus dans la
chimie. Désireuse de poursuivre l'œuvre de son père, Carmen a souhaité élever son niveau et se spécialiser dans les sciences de laboratoire pour perfectionner la drogue qu’elle comptait vendre.
Orientation sexuelle bisexuelle, et comme elle est au sommet de la pyramide, personne ne trouve rien à redire. Carmen s’est mise en tête qu’elle peut obtenir n’importe qui dans son lit.
Côté cœur peut être en couple ou libre comme l’air, à toi de voir.
allégeance sa famille et l’empire qu’elle a fondé.
Avatar
Sofía Vergara, obviously
Caractère
Est-ce que l’orgueil est un défaut qui coule dans les veines des Aleida ou est-ce que c’est juste un trait de caractère absolument insupportable ? C’est le genre de question qu’il faut éviter de leur poser directement si l’on souhaite rester en vie. Carmen est née dans le luxe et la vie facile de ceux qui qui croulent sous l’or en semant la mort autour d’eux. Le nom de son père étant un petit plus pour être respectée dans ce monde de narcotrafiquants, elle a tout de même souhaité le rendre fier en menant elle-même son business. La fierté d’être la première femme de sa famille à tenir le cartel et en Europe, qui plus est, est le moteur de sa vie.
◊ Les diagnostics ne sont pas encore répandus mais Carmen est très certainement
Haut Potentiel Intellectuel. Son esprit fonctionne sur un mode extrêmement vif et acéré. Elle a la mémoire du détail, réfléchit sur plusieurs plans à la fois tout en maintenant une conversation et excelle dans l’art de la manipulation.
◊ L’échec n’est pas une option pour elle, sa
détermination est la raison pour laquelle certains cimetières sont saturés dans la banlieue de Londres.
◊ Son attachement est versatile et ne dépend que de la loyauté de ceux qui lui font face.
Possessive et
colérique quand on n’accourt pas au moindre signe d’elle, sa fureur dépasse parfois la limite du raisonnable. Son père lui a appris très tôt que la trahison appelait la Mort dans leur monde et qu’aucune tolérance à cet égard ne lui était permise. Si l’on n’est pas avec elle, on est contre elle. Et entre quatre planches, incessamment sous peu. Que les choses soient claires : Carmen a pas mal de sang sur les mains mais ça ne l’empêche pas de dormir la nuit.
Histoire
Carmen est l’enfant prodige de Carlos Aleida, un baron de la drogue colombien. Elle est l’aînée d’une fratrie dont l’arbre généalogique est un peu flou tant son père a eu de maîtresses et d’enfants illégitimes. Cela étant, Carmen est née d’un premier mariage officiel. Sa mère est morte en couche, si bien que son père l’a élevée seul, comme si c’était un garçon. Sacrée héritière de son empire dès son premier souffle, Carmen a toujours su le poids des responsabilités qui lui incombaient et cela ne lui déplaisait pas.
Très vite surnommée la Patrona pour définir un pendant féminin au titre de son père, la petite reine de la cocaïne a grandi sans jamais connaître le “non”. Si bien que c’est une enfant pourrie gâtée qui est arrivée au pouvoir, marchant fièrement dans les pas de son paternel qu’elle idolâtre.
Pour faire ses preuves et montrer qu’elle souhaitait maîtriser au plus haut point le produit qu’elle allait commercialiser pour son père, Carmen a poussé ses études plus loin que le reste de la famille pour obtenir un doctorat en chimie. Une fois diplômée, elle est devenue le bras droit officiel de son père.
Carlos Aleida ne lui a jamais imposé de défi, si ce n’est tenir le sud de la Colombie en son nom. Carmen s’est appliquée à la tâche mais s’est vite rendue compte qu’elle n’était pas à la hauteur de ses compétences. Peu avant ses trente ans, la jeune femme a donc imaginé un projet grandiose : conquérir l’Europe. Obtenant la bénédiction de son père, elle a entrepris de tisser des liens entre la Colombie et Londres pour s’offrir un port d’attache et se déployer à l’Est. La grande aventure britannique commençait alors.
A bientôt 50 ans, Carmen détient la capitale britannique comme principal joyau de sa couronne et a inondé les pays voisins de sa cocaïne. D’année en année, elle étend son territoire en éliminant ses rivaux dans un véritable bain de sang, obtenant désormais le titre de Madrina, marraine de la coke, pour asseoir son autorité.