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 Descends de ton poney (Damian)

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Livia Rowle
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Livia Rowle
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MessageSujet: Descends de ton poney (Damian)   Descends de ton poney (Damian) EmptyDim 16 Oct - 12:20


Descends de ton poney


Il est tard et Liva quitte Sainte Mangouste avec un arrière-goût de frustration. Après plusieurs mois de travail acharné, elle vient de comprendre qu’elle a fait fausse route sur son expérimentation. Et ce, sans trouver de solution. L’épidémiologiste en a ras le bol, de ce genre d’impasses. Et en plus de ça, Zeitmann lui pète les rouleaux avec son règlement à la mord-moi-le-noeud qui bride l’avancée de la science. A son arrivée, elle s’était réjouie d’accueillir un directeur de sang Pur mais rapidement, ce pleutre a dévoilé son vrai visage. Il n’est absolument pas animé par le désir de conserver la pureté de la race sorcière, bien au contraire. Ses idées progressistes fatiguent Livia si bien qu’elle n’évite autant que possible à l’hôpital. Actuellement, elle enchaîne ses tests sur des grenouilles qui claquent toutes les unes après les autres, qu’est-ce que ça vaut ? Si c’est pour inventer un nouveau traitement à destination de la population sorcière, pourquoi les expérimenter sur des animaux complètement stupides ? Franchement, elle ne demande rien de déconnant. Juste une expérimentation ou deux sur la race sorcière, pas plus. Même un hybride, ça passerait. Ou quelqu’un qui ne manquera à personne si jamais l’expérience venait à capoter. En fait, il suffirait que ça marche sur une poignée de personnes pour lancer la machine. Le but n’était pas de tuer tout le monde mais de guérir les gens, au contraire. Mais non, Laszlo Zeitmann est pour la lenteur du progrès. Fantastique. La fille adoptive des Rowle écume de rage. L’année dernière, si cet abruti laxiste avait eu un peu plus de couilles, la tuberculose sorcière aurait bénéficié d’un remède efficace beaucoup plus tôt et n’aurait pas flirté avec les records de morts causées par la dragoncelle. Merde à la fin ! Ce mec désire-t-il vraiment la ruine de ce pays ? C’est pour ça qu’il s’est expatrié ici ? Putain…

Livia n’a pas envie de rentrer. Du moins pas tout de suite, elle a besoin de marcher. Il est tard mais qu’importe, elle ignore quelle heure il est, elle travaille souvent sans regarder les horloges qui ornent les murs du service. Qui se soucie du temps qui passe lorsqu’il s’agit de ce qui n’a pas encore été inventé ? C’est une facette de son travail que la jeune femme apprécie. Elle évolue en parfaite autonomie sans qu’on vienne lui prendre la tête. Elle ne conçoit pas de potions ou de vaccins dans l’urgence de la situation, elle est bien plus avant-gardiste que ça : elle travaille pour des problèmes qui n’existent pas encore. L’excuse imparable pour bosser comme une ermite dans la paix la plus totale. Cela étant, même si elle a tout le temps qu’elle souhaite, Livia est furieuse de se confronter à l’échec. Elle n’en veut pas, pas une seule seconde. Les défaitistes affirment que c’est dans les échecs que l’on puise sa force pour rebondir mais la Rowle, ça la fait bien marrer. Non, c’est des victoires qu’on tire toute sa puissance, pas l’inverse. Dans la même veine, elle déteste les abrutis qui clament à qui veut bien l’entendre que l’important, c’est de participer. Mon cul ! Ce sont des phrases de perdants qui ne font absolument pas partie du vocabulaire de l’épidémiologiste.

Ses pas la mènent loin de Sainte Mangouste, sur les bords de la Tamise. Peut-être à la frontière de la zone non magique, elle ne sait pas trop. Près de ces eaux noircies par la nuit qui font prendre au noble fleuve des allures de Styx. L’ancienne Poufsouffle s’accoude à la barrière pour se pencher au-dessus des flots et perdre son regard dans l’obscurité. Elle trouve une certaine beauté dans les reflets de la Lune à la surface de l’eau, les remous la fascinent autant que les tourbillons qui aspirent les éléments les plus faibles dans les profondeurs de la Tamise. L’envie de fumer la prend soudain, comme un exutoire à sa frustration. Elle tire de la poche arrière de son jean son étui à cigarette et en glisse une entre ses lèvres. Du bout de sa baguette jaillit un Incendio modéré pour libérer la nicotine dans ses poumons. Qu’elle soit en territoire Moldu ou non, elle s’en tape. Ils peuvent bien la regarder utiliser la magie et en être choqués, ça la fera pas boiter. Elle veut juste qu’on lui foute la paix et fumer sa clope tranquille.

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MessageSujet: Re: Descends de ton poney (Damian)   Descends de ton poney (Damian) EmptySam 14 Jan - 11:30


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C’était fou comme une putain de bonne soirée pouvait basculer si facilement en règlements de compte. Tout ça, parce que j’avais laissé traîner mes mains sur le cul de Mandy, qu’elle avait pas dit non et que j’avais même continué. Mandy, c’est la blondasse pas farouche. Qui sucerait même pour une clope, si je le lui demandais. Mandy, c’est la nana qui écarte ses cuisses plus vite que son ombre sans se poser plus de questions. J’en étais là de mes réflexions, avec quelques verres dans le nez, quand la miss en question venait de se foutre sur mes genoux, m’empêchant de voir la poitrine de Codie bouger en rythme sur la musique. C’était un putain de sacrilège, ça. Que mon regard sombre capte le décolleté de Mandy plutôt que celui de Codie. À gerber, celui de Codie. Je suis sûr que y’a même pas assez de coton sur cette terre, pour lui faire une poitrine correcte à cette pute.

La soirée, c’est chez Bryan, qu’elle se déroule. Pour une fois, c’était pas chez moi. Pas que j’en avais pas envie, mais la dernière fois que mon Parrain s’était pointé à l’improviste, -je l’aime comme un père ce con-, il avait fallu que je désinfecte mon appartement placé en quarantaine pour qu’il puisse revenir et me faire un topo meilleur de la situation. J’y avais passé une bonne partie de ma journée à rendre mon appart’ impeccable. Et du coup, j’allais pas me foutre dans la même merde, si Cameron revenait me rendre visite. Du coup, on allait dégueulasser chez Bryan. C’était parfait. Puis, j’avais à fêter mes excellentes notes, malgré que j’en branlais pas vraiment une. La faute à une intelligence que je grillais parfois par des substances illicites.

Comme celle, que je venais de me sniffer sur la table en verre du salon de la mère de Bryan. Sa mère, je l’ai déjà sautée. C’est l’archétype même de la femme bourge qui en pipe pas une, parce que son mari lui interdit de le faire. Miss Cooper, c’est une coquine. C’était parce que j’étais venu apporter des photocopies à son fils qui était malade, qu’elle m’a sauté dessus la gourgandine. J’ai fini dans son lit et elle sur ma bite. Autant dire, que ce fut un geste qui rapproche. Mais là, je suis bien à des lieues de l’avoir en tête, la daronne de mon pote. Tout ce que je veux, c’est afonner encore cul sec, un verre entier de Vodka pas coupée. Y’a un ami expatrié d’Union-Soviétique qui s’est permis de ramener ça de chez lui. Bah putain … ça douille.

Y’avait bien un moment, quand même où malgré ma résistance accrue à tous les éléments prohibés en libre-service lors de cette soirée, je devais prendre l’air. Expirer un grand coup ou gerber. Au choix. Pour ensuite repartir pump it up, jusqu’au moment de poser mon cul dans l’Amphi’ immense de l’Université. En train de décuver sur les bancs inconfortables tout en imaginant ce que je pourrais faire au séant (que c’est poli ça dit donc) de la nouvelle professeure de Marketing International. Elle était venue juste là pour un module de cours, baaaaah avec ma gueule, elle sera pas déçue du voyage la Farah.

- Yo’, faut que je bouge. Que je grogne entre les dents, poussant la jeune femme (toujours sur moi ; c’est dire l’implication de la demoiselle), pour la foutre sur le canapé et étirer mes longues jambes. Ta soirée, elle était chouette mais j’ai des envies d’évasion et de plus voir vos tronches de con.

Évidemment que ça s’offusque. Mais moi, je m’en tape alors que je prends LA bouteille de Vodka amenée par Igor, en otage et le restant d’un paquet de clopes qui traînait par là. Avec un rire né des démons de l’Enfer, -je vous salue bien bas suppôts de Satan-, je descendais les escaliers quatre à quatre du logement de Bryan, sa daronne qui était bonne et son père le cocu, pour me fondre dans le Londres du petit matin. Celui, où y’avait pas la populace grouillante des étudiants qui partaient en cours ou les dudes qui allaient boulotter. Là, je savais pas pourquoi mais je me ramenais jusqu’à la Tamise. M’accoudant à la rambarde d’acier qui surplombait le fleuve.

Jusqu’à ce qu’une odeur familière me fît tourner la tête, pour contempler de mon regard sombre, la personne qui avait eu la même idée. Une femme. En train de fumer une clope. C’était toujours sexy, une nana qui se jetait corps et âme sur la nicotine. Même si à vue de nez, elle devait avoir la quarantaine. J’étais sacrément doué pour repérer les MILF. Cherchant dans la poche de mon jean, je trouvais pas le briquet qui allait avec le paquet de clopes.

Ouais, Wilson. Il était resté sur la table, le con.
Bon. Engageons la conversation.

- Salut. T’as pas un briquet, que tu sortirais d’entre tes seins ? J’ai oublié le mien et j’ai besoin, d’une clope. Je m’approchais avec un sourire. Je pense pas que t’apprécies le vouvoiement, ou je me trompe ? Les ‘femmes’, ces créatures si bandantes mais tellement susceptibles.


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MessageSujet: Re: Descends de ton poney (Damian)   Descends de ton poney (Damian) EmptyJeu 29 Juin - 23:00


Descends de ton poney


Tirant comme une damnée sur sa clope, Livia rumine. A ce train-là, elle va finir le paquet avant de rentrer chez elle… et continuer à retourner ses problèmes dans sa tête toute la nuit. Certaines personnes saines d’esprit ont le réflexe de sortir, côtoyer du monde pour se changer les idées et oublier ce qui les tracasse mais l’épidémiologiste ne mange pas de ce pain-là. Non, quand il y a un truc qui la fait chier, elle se terre au fond de sa caverne et n’en ressort que lorsqu’elle est passée à autre chose. Bon là, elle a fait un détour avant de rejoindre sa tanière mais c’est pas pour autant qu’elle en est devenue une grande extravertie. Ce qui signifie que le moment est terriblement mal choisi pour le badaud qui s’avance dans sa direction pour engager la conversation. Elle l’entend arriver dans son dos et vu qu’il n’y a qu’elle accoudée à cette rambarde, l’ancienne Poufsouffle est presque certaine qu’il va engager la conversation.

Ça ne manque pas. Et putain, elle n’est pas déçue. L’haleine chargée d’alcool souffle dans sa direction des paroles peu flatteuses sur un ton qui ne promet rien de respectueux. Et un Moldu, en plus… Elle a marché si loin que ça ? Elle ignore ce qu’il veut dire par “briquet”, mais comme il enchaîne avec une envie de clope, Livia devine qu’il s’agit de l'ustensile moldu pour allumer les cigarettes. Amateur… Elle, elle a pas besoin de ces conneries pour s’en griller une. Et de toute façon, même si elle possédait un briquet, elle ne le lui donnerait pas. Ce connard-là, il a oublié que quand on a besoin d’un truc, il vaut mieux être poli.

De mauvaise humeur, la scientifique décide de l’ignorer mais face à son indifférence, l’indésirable insiste en se montrant de plus en plus familier. Excédée par ce comportement intrusif, Livia finit par trouver une manière assez piquante pour lui répondre. Puisqu’il s’attend à voir jaillir un truc d’entre ses seins, la Rowle plonge sa main dans son décolleté et en ressort un magnifique doigt d’honneur qu’elle brandit sous son nez. "Ta clope, tu peux te la mettre où je pense. Barre-toi de là !" L’ordre claque comme un avertissement dans la nuit. Faut pas qu’il la chauffe trop longtemps parce qu’elle est remontée à bloc. Et ce genre de comportement trop sûr de lui est un petit rappel sur la façon dont agissent la plupart des hommes face à Livia. Ils ne sont pas en terrain conquis avec elle, qu’ils se foutent bien ça dans le crâne. D’ailleurs, n’importe quelle femme aurait tourné les talons pour s’éloigner de cet abruti mais pas la Rowle. Son orgueil prend beaucoup trop de place pour ça. Et puis c’est SA rambarde au bord du fleuve, elle l’a trouvée avant. C’est à lui de traîner son cul ailleurs pour trouver quelqu’un d’autre à emmerder. Sauf que ça, il a pas l’air de comprendre… "Oh ! T’es sourd ou quoi ? Dégage de là, j’ai rien pour toi !" crache-t-elle dans toute l’arrogance qui lui est propre.


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MessageSujet: Re: Descends de ton poney (Damian)   Descends de ton poney (Damian) EmptyJeu 7 Mar - 15:40


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Y'avait pas grand chose qui avait le mérite de me déstabiliser. Mise à part mon Parrain et sa putain d'envie que je chie droit pour diriger sa société. Mais chier droit, j'aimais pas ça. Surtout quand j'étais en manque d'alcool et d'une poudre blanchâtre à me foutre dans le nez. Là, je reniflais. Parce que j'avais pas ma dose et qu'il fallait que je l'aie. Sinon, j'allais être d'une humeur de merde, durant la soirée. Déjà, que niveau nanas qui avaient le mérite de s'empaler sur ma bite, y'avait pas grand monde alors ... je me devais de me barrer pour tenter d'aller voir ailleurs ce qui se tramait.

Personne, -ou presque-, m'avait retenu. Et, j'étais parti comme un voleur. Parce que j'avais certainement mieux à faire que de me coltiner le restant d'une soirée naze à devoir réviser mes partiels à un moment donné. C'était ce que je faisais, quand je m'emmerdais. Alors que parfois, l'alcool se substituait à l'hémoglobine que je pouvais avoir dans mes veines. Et, je me privais pas non plus, pour foutre une branlée à ceux qui m'emmerdaient. Et, je devais avouer qu'y en avait pas mal de ce genre-là.

Avec un long soupir, plus tourné vers le manque que vers l'ennui, j'avais trouvé une nouvelle proie. Accoudée à une rambarde et qui s'en grillait une. Pourvu d'une gentillesse qui me caractérisait, -tout à fait ; je voyais pas d'autre mot pour qualifier mon approche-, je venais lui demander une clope, -ou un briquet ; je sais plus à ce stade- avec quelques paroles en plus, dont j'avais le secret. Moi, j'attendais clairement un tour de magie : un briquet qui sorte de son soutif. Le genre de sorcellerie qui aurait eu toute mon attention. Mais, au lieu de ça, voilà que je me retrouvais avec un majeur en plein dans la tronche.

Si Nate aurait hurlé au scandale et critiqué les règles de bienséance dont était dépourvu la quarantenaire, moi, je me mis à exploser de rire. D'un rire gras qui emplissait l'espace ambiant et étouffait le silence. J'aimais ce genre de geste. J'appréciais, qu'on y aille pas par quatre chemins. Parce que ça servait à rien de se faire des courbettes, comme le faisait mon enculé de jumeau, à qui le monde magique avait ouvert ses portes depuis qu'il était en âge de causer, ce fils de pute.

- Charmant. Je sifflotais ce mot, totalement séduit. Je suis sûr que t'as une clope. Ou ton kink, c'est de dire non, aux vilains garçons et à tout ce qu'ils te demandent ? Sérieusement, j'étais CLAIREMENT pas prêt de partir. Surtout pas avec une MILF de ce genre, et totalement bonnasse. Mais, j'attendais toujours une clope, moi. Un briquet ?La masturbation ça rend sourd à ce qu'il paraît. Et crois-moi, que je t'ai très bien entendue. Un sourire en coin, parce qu'elle était vachement plus que bandante avec dix grammes d'alcool dans le sang et autant de coke dans les veines.


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