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 Collision vénineuse - Flashback (1976) - Isaac Flint

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Ares D. Zabini
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Collision vénineuse - Flashback (1976) - Isaac Flint Empty
MessageSujet: Collision vénineuse - Flashback (1976) - Isaac Flint   Collision vénineuse - Flashback (1976) - Isaac Flint EmptySam 30 Juil - 14:36

Décembre 1976

De garde, le docteur Zabini avait passé 24 heures mouvementées à l’hôpital pour les maladies et blessures magiques. Sans qu’il n’eut le temps de s’en rendre compte, tant les urgences s’était enchainées, en ce week-end hivernal, la nuit avait sauvagement chassé le jour. Puis, tout aussi rapidement la nuit s’était changée en jour. Il était déjà 17h30, l’heure de partir. La relève de garde pour les prochaines 24 heures étant arrivée. Heureusement car la fatigue commençait à se faire sentir et ses muscles lui faisaient un mal de manticore. Pris de sommeil, il avait du mal à se souvenir de l’ordre exact dans lequel il avait soigné ses patients.  Il ne rêvait que d’une chose, pouvoir se glisser dans son lit. Il se souvenait que tout avait commencé par un accouchement hors du commun. De la fumée sortait des oreilles, et de la bouche de la future mère chaque fois qu’elle poussait. Une réaction due à un sortilège qui avait mal tourné. Ne supportant pas la douleur de ses contractions, la sorcière avait tenté de se jeter un sortilège du peynekilleur.  Elle ne maitrisait pas le sortilège qui n’avait pas fonctionné et le résultat était très étrange. Un simple finite incantatem n’était pas suffisant à régler le problème et il avait fallu d’intervention de deux collègues du service de pathologie des sortilèges.  Après avoir mis au monde le petit sorcier et s’être assuré de son parfait état de santé, le médicomage s’était ensuite occupé de plusieurs empoisonnements, avant de s’occuper d’un homme qui avait perdu son nez dans un duel. Ou était-ce l’inverse ? Suivirent une désartibulation suite à un accident de transplanage et toute une série de patients avec de la fièvre, des hallucinations, de la morve violette qui coulait du nez. Une maladie hivernale que personne à l’hôpital n’avait encore jamais vue et qui semblait se propager rapidement dans l’hôpital.  Sans doute un nouveau virus. Heureusement, il semblait bénin.  La journée de l’antidotiste s’était terminée par la confection en urgence d’une potion pousse-os et d’un philtre de paix pour un homme estropié par un hippogriffe qu’il avait eu l’inconscience d’insulter.

Emmitouflé dans une grosse cape, Arès sortit de l’hôpital. Après de telles gardes, il aimait marcher plusieurs kilomètres pour se changer les idées et s’aérer avant de rentrer chez lui.  Il avançait devant l’hôpital en laissant la trace de son passage sur le manteau blanc qui camouflait le sol. Avec ce froid, digne des terres natales de la famille Dolohov, qui lui piquait les narines, il ne marcha pas bien longtemps avant de se résoudre à transplanner directement sur le chemin de traverse.  Il ne tenait pas vraiment à tousser, avoir de la fièvre, des hallucinations et de la morve violette qui lui coulait du nez. Il aurait donné tout l’or de son coffre à Gringotts pour se jeter directement dans son lit dont il rêvait. Il ne pouvait pas se le permettre. Il lui fallait encore préparer des potions pour la boutique de sa sœur dont les réserves avaient commencé à s’amoindrir depuis qu’elle était elle-même hospitalisée. Il avait recruté un vendeur pour tenir la boutique mais il savait très bien que sa sœur n’avait confiance dans les compétences en élixirs en personne d’autres que leur mère, Arès ou le professeur Slughorn.  Il monta rapidement dans son appartement, au-dessus de la boutique, pour poser sa grosse cape, avant de passer par la boutique pour descendre à la cave préparer ses potions. Dans la boutique la poussière lui chatouillait le nez « Le ménage fait partie de tes tâches Rufus »  dit-il à l’adresse de l’employé.   « Si tu ne connais pas de sortilèges pour faire le ménage, demande à ta mère de t’en apprendre ou je ne sais pas, trouve-toi un elfe de maison ou même au pire fait ça comme un moldu. »   Sans attendre la réponse, de jeune homme, il se dirigea dans la cave qui servait d’atelier à la boutique. Depuis l’escalier, il entendît le dénommé Rufus râler et le traiter de lutin de Cornouailles. Le mulâtre leva les yeux au ciel. Il n’avait pas le temps d’aller lui demander de lui répéter en face, ce qu’il venait de dire

Durant trois heures, Arès contacta plusieurs potions, philtres, poisons et élixirs en tout genre. Peau de serpent cornu, bave de carpeau racines de mandragore, yeux de tritons, urine d’éruptif, cheveu d’or d’une sirène. Il avait tous les ingrédients pour concocter sa dernière mixture. Il le fît avec soin. Heureusement, celle-ci ne demandait pas plus de trente minutes de préparation. D’un geste soigné de la baguette, il remua le contenu de son chaudron doucement, trois fois dans le sens des aiguilles d’une montre puis six fois dans le sens inverse le liquide verdâtre pris finalement une couleur orangée. Sa potion était donc prête. En l’espace de trois heures et trente minutes, il venait de confectionner six potions différentes qu’il versait à présent dans des fioles.

D’un geste très gracieux de la baguette, il fît léviter une cinquantaine de fioles et remonta les escaliers.  L’exercice était périlleux et toute son attention était portée sur les fioles qu’il dirigeait avec sa baguette.  Dans le magasin, il sentît quelque chose ou plutôt quelqu’un lui heurter le front de plein fouet. Un choc qui fût suffisant pour lui faire baisser sa garde et surtout sa baguette.  Le bruit du verre des cinquante fioles qui s’écrasèrent sur le sol résonnait en écho dans toute la boutique. Non ! Epuisé, il avait envie d’hurler voire de pleurer « Bouse de dragon »  pesta-t-il au même moment où il entendit une voix s’excuser. Il s’apprêtait à insulter  le responsable de ce drame mais lorsqu’il croisa son regard, il fût incapable de dire un mot, pétrifié par sa beauté.  Son visage lui était familier mais il n’arrivait pas à se souvenir d’où il le connaissait. De Poudllard peut être ? En tout cas, il le trouvait splendide. De quoi oublier sa colère. « Ça ne fait rien » dit-il en adressant un sourire et une tape dans le dos au beau jeune homme qui lui faisait-face.  Non. Ares. Non. Tu ne peux pas te laisser attirer par un homme. C’est mal tu le sais. Lui disait une petite voix capricieuse sur sa tête. Elle avait raison. Il devait chasser de son esprit tout attirance pour le sorcier.

Il posa ensuite son regard sur le sol sur lequel il pointa sa baguette pour lancer un sortilège de récurage « Recurvite ». Pendant que petit-à-petit,  les liquides aux couleurs de l’arc-en-ciel qui avaient recouverts le sol s’évaporèrent, il se tourna vers le vendeur qui se trouvait derrière la caisse. «Prends-en de la graine Rufus » lui dit-il avant de lui dire qu’il pouvait rentrer chez lui.  La boutique allait fermer dès que ce charmant client serait parti. L’odeur des potions éclatées commençait à enivrer Arès et lui faire tourner la tête. Ou bien était-ce charmant sorcier ?


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Isaac Flint
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MessageSujet: Re: Collision vénineuse - Flashback (1976) - Isaac Flint   Collision vénineuse - Flashback (1976) - Isaac Flint EmptyDim 16 Oct - 23:15


Collision


Le pas léger, Isaac déambule sur le chemin de Traverse en laissant traîner son regard sur les vitrines des boutiques qu’il rencontre. Il a tout son temps aujourd’hui : il est payé pour faire des courses pour une de ses clientes. L’avantage et l'inconvénient d’être escort : on lui fait faire tout et n’importe quoi. Ce jour-là, c’était de l’argent facile que l’ancien Serpentard se faisait. Pour un sachet de racine d’asphodèle en poudre (et de la bleue, s’il vous plait !) ainsi qu’une potion contre le vieillissement de la peau, un créneau de deux heures était vraiment exagéré. Décidément, la bourgeoisie puriste n’avait plus aucune notion de l’argent. Sa cliente dilapidait l’argent de son défunt mari en convoquant Isaac pour discuter autour d’un thé, pour l’escorter dans les salons de beauté ou l’envoyer faire quelques emplettes. Le jeune homme était l’escort le plus heureux du monde car selon lui, elle le payait à rien faire et cela lui convenait parfaitement. Ainsi donc, il se baladait pour acheter le nécessaire et ne se priverait pas de faire un tour chez Fleury & Bott pour son propre plaisir cette fois.

En arrivant devant la boutique d’un potionniste, Isaac s’arrête net. La devanture est chargée d’objets éveillant sa curiosité si bien qu’il entre sans plus attendre. A l’intérieur, pas de trace du propriétaire mais il entend des voix au loin, probablement dans l’arrière-boutique. N’ayant pas envie de se casser la tête à consulter toutes les étiquettes, l’escort décide d’attendre qu’on veuille bien le recevoir pour demander conseil. En attendant, il promène son regard émerveillé sur les étagères, détaillant des fioles remplies de liquides aux textures fascinantes. Certaines sont si épaisses qu’on peine à voir au travers, dans d’autres flottent des plantes ou parties non-identifiées de l’anatomie de créatures magiques, certaines laissent même échapper des bulles, semblant bouillonner de l’intérieur.

Fasciné, Isaac se promène, parfaitement distrait de sa mission première. Il se déplace lentement le long de la vitrine, le nez en l’air, sans même regarder où il met les pieds et soudain… Collision ! Une cascade de fioles dégringole à ses pieds dans un fracas assourdissant. Les yeux ronds, l’ancien Serpentard s’immobilise devant l’homme qu’il vient de bousculer. Certainement l’hôte de ces lieux. Il est furieux et Isaac n’a aucun mal à comprendre pourquoi. Il vient de lui faire perdre des Mornilles et des Mornilles de travail à cause de sa maladresse. Immédiatement, le jeune homme se baisse pour ramasser les bouts de verre brisés au milieu des flaques dont les couleurs vives se mélangent sur le plancher. "Je suis vraiment désolé, je ne vous ai pas entendu arriver et j’admirais votre vitrine." Quelques bouts de fioles et bouchons en main, Isaac se redresse, l’air penaud. "Je paierai pour les dégâts, je vous le promets !" L’homme devant lui avait l’air fortement contrarié quelques secondes auparavant mais à présent, le voilà qui sourit et lui administre une petite tape dans le dos en lui assurant qu’il n’y a là rien de grave. Isaac ne comprend pas tout de suite que son joli minois est à l’origine de l’apaisement du potionniste. "Si, j’insiste, ces potions doivent représenter des heures de travail." Il paiera avec le salaire versé par sa cliente à la notion légère de l’argent. Tant pis, ça lui apprendra à être distrait de la sorte.


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MessageSujet: Re: Collision vénineuse - Flashback (1976) - Isaac Flint   Collision vénineuse - Flashback (1976) - Isaac Flint EmptyLun 14 Aoû - 13:43

TW: Fantasmes sexuels -homosexualité

"Je suis vraiment désolé, je ne vous ai pas entendu arriver et j’admirais votre vitrine." . Arès ne dit rien. Il se contentait de sourire à son interlocuteur.  Si le  jeune sorcier maladroit admirait la vitrine du magasin de sa sœur, le frère de la propriétaire lui admirait le jeune homme qui lui faisait face.  Ce qui était en train de se produire était complètement irrationnel. C’était à croire que le brun ténébreux avait dans les veines du sang de vélane ou de sirène. Il n’y avait pas d’autres explications possibles à l’envoutement qu’il exerçait sur lui. Le médicomage fixait celui qu’il aurait voulu tuer quelques secondes auparavant comme s’il était un Dieu sur terre. Il avait envie de se noyer dans son regard. De se perdre dans son sourire. D’explorer chaque millimètres des courbes de son corps d’éphèbe. "Je paierai pour les dégâts, je vous le promets !" lui dit le responsable du désastre comme pour se faire pardonner . Arès hocha de la tête. Il ne comptait pas lui faire payer la moindre noise.   « Ne vous en faîtes pour ça ! Ce n’est rien » répondit-il  toujours sous le charme de son interlocuteur. Comment pouvait-il exiger quoi que ce soit d’un si beau jeune homme.  Toujours cette voix dans sa tête qui l’intime de résister et pourtant il ne peut pas. Il est complètement envouté par le jeune homme. "Si, j’insiste, ces potions doivent représenter des heures de travail." Ce n’est pas faux. Enfin, c’est surtout le travail avant à l’hôpital qui l’avait épuisé et ce qui l’énervait c’était de se dire qu’il avait perdu son temps à préparer ces potions supplémentaires pour rien et qu’il aurait pu dormir. En même temps, ce n’était pas pour rien. Il ne l’aurait pas croisé sinon. Le destin avait voulu qu’ils se rentrent l’un dans l’autre. Il en était sûr.  Se rentrer l’un dans l’autre ? Un sourire en coin apparu sur son visage à cette idée. Voilà une idée qui lui plaisait. Si seulement le sorcier voulait le payer en nature... Il chassa cette idée de son esprit. « Laissez tomber, je vous dis. »

Il s’écarta ensuite du jeune homme pour aller verrouiller la porte du magasin. Il était largement l’heure de fermer la boutique. Il n’était donc pas question qu’un nouveau client n’entre. « Ne vous inquiétez pas, je ne vous retient pas en otage !  » dit-il en laissant échapper un petit rire. « C’est juste pour ne pas quelqu’un d’autre n’entre. Vous serez mon dernier client. Mais je vous en prie. Prenez votre temps.  » .  Le mulâtre observait du coin de l’œil le sorcier sous toutes les coutures. Par Merlin, ce qu’il était séduisant.  D’une certaine façon, l’idée de se retrouver seul dans le magasin avec ce sorcier lui plaisait.  Il espérait qu’il prendrait tout son temps. L’espace de quelques secondes il se plut à rêver que le jeune homme s’approchait vers lui et l’embrassait sauvagement. Un baiser qu’Ares lui rendait à la perfection avant d’aller le plaquer contre le comptoir où se trouvait la caisse. Dans son rêve, le jeune homme lui remboursait largement son dû et il finissait par l’emmener dans son appartement au-dessus de la boutique où ils recommençaient de plus belles.  Il chassa ses idées déplacées de son esprit et s’approcha de son client sans même se douter que ce serait bientôt lui qui serait son client.

  « Dr. Arès Zabini, antidotiste à Sainte Mangouste » lui dit-il en lui tendant la main pour la lui serrer. Il s’était présenté en tant que médecin car il savait que cela était souvent un bon atout de drague. Alors, autant en profiter. « C’est la boutique de ma sœur Awa. Mais je l’aide de temps à autres. Ce soir, c’est moi qui tiens la boutique. je suis votre homme avait-il eu envie d’ajouter mais il calma ses ardeurs et dit plus simplement : Je suis à votre service, si jamais vous avez besoin de moi. » . Mon pauvre Arès si seulement tu t’étais douté que c’était lui qui offrait ses services.


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Dernière édition par Ares D. Zabini le Dim 10 Déc - 19:26, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Collision vénineuse - Flashback (1976) - Isaac Flint   Collision vénineuse - Flashback (1976) - Isaac Flint EmptyLun 18 Sep - 16:06


Collision


Isaac se confond en excuses tout en aidant l’apothicaire à ramasser les morceaux de verre brisé. Certes, il est maladroit mais bien élevé ! Conscient du travail qu’il vient de foutre en l’air (puis par terre), il propose de dédommager le commerçant pour cette perte. Il se sent bête d’avoir rêvassé comme un gamin sans regarder où il allait. Cela étant, le potionniste lui assure qu’il ne lui en tient pas rigueur… avant de l’enfermer dans le magasin. Malgré son beau sourire, Flint se tient sur ses gardes. "Heuuu…" Est-ce que l’Irlandais serait tombé sur un sadique qui voudrait lui faire payer la potion perdue par une séance de torture ? La note serait sacrément exagérée ! La main d’Isaac commence à chercher sa baguette quand soudain, son interlocuteur se met à rire et lui assure qu’il ne s’agit pas d’une prise d’otage. Faut dire que l’escort a légèrement changé de couleur et fait une drôle de tête. Cela étant, les explications du propriétaire de la boutique parviennent à le convaincre de sa bonne foi et l’ancien Serpentard se détend aussitôt.

Comme si les convenances s’effritaient un peu en fermant l’établissement à des clients retardataires, le beau jeune homme se présente. Isaac apprend ainsi qu’il n’est pas que commerçant mais qu’il est antidotiste à Sainte Mangouste. Intéressant… À son tour, l’Irlandais lui serre la main mais il sait d’avance que son titre à lui n’est guère reluisant pour espérant briller en société. "Isaac Flint, hum… Escort." Voilà, c’est dit. Au moins, cela permettra de justifier les achats à venir. "J’étais venu chercher de la racine d’asphodèle bleue en poudre, une potion contre le vieillissement de la peau et des feuilles de mandragore à infuser." Les propriétés aphrodisiaques de la mandragore n’étant plus à prouver, Isaac en utilise régulièrement avec les client.es avec qui n’ont pas assez de sex appeal à son goût. C’est un petit coup de pouce joker qu’il s’octroie de temps en temps mais il doit avouer que s’ils avaient tous l’aura du docteur Zabini, il y a longtemps que les feuilles de mandragore auraient pourri dans ses placards. "les deux premiers articles sont pour une de mes cliente et le troisième… ma foi, c’est pour contrer les risques du métier," ajoute-t-il en riant pour dédramatiser la scène. Il sait fort bien que son métier met la plupart des gens mal à l’aise, y compris ceux qui ont recours à ses services. Néanmoins, l’Irlandais n’a jamais eu honte de son statut professionnel. C’est un métier comme un autre qui lui permet de payer son loyer étant donné que ses géniteurs l’ont déshérité. Cependant Isaac considère comme une chance le fait qu’ils l’aient mis à la porte. Ainsi, il n’aurait jamais fait de si belles rencontres et n’aurait jamais mené la vie normale qu’il connaît actuellement. Lui qui ne sortait de sa prison dorée que pour accompagner ses parents aux réceptions mondaines, il n’aurait jamais eu le loisir de choisir lui-même ses potions ni de rencontrer d’aussi charmants antidotistes.


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MessageSujet: Re: Collision vénineuse - Flashback (1976) - Isaac Flint   Collision vénineuse - Flashback (1976) - Isaac Flint EmptyDim 10 Déc - 19:54

TW: homosexualité


Ces présentations étaient à mille lieux de celles que le mulâtre aurait pu imaginer. Le souffle du Zabini s’arrêta lorsque le charmant sorcier se présenta. "Isaac Flint, hum… Escort." . Ce qui lui fît cet effet n’était pas tant la profession du sorcier que son prénom. Isaac. En entendant ce prénom, il ne pu s’empêcher de voir apparaître sous ses yeux le visage de son ex-meilleur ami. L’homme qu’il n’a pas su s’empêcher d’aimer. L’homme de tous ses désirs. Celui qui ne voulait plus jamais entendre parler de lui. Ce prénom lui donne un frisson. Il faut croire que la beauté est une caractéristique de ce prénom. Qu’il se nomme Wellington ou Flint, les Isaac sont totalement au goût d’Ares. « Enchanté, I.... I... Isaac» dit-il en ayant du mal à prononcer son prénom. Quand à sa profession, Arès n’émet aucun jugement. Le jeune homme fait bien ce qu’il veut de son corps. Au contraire, le médicomage se montre intéressé par son métier. Il n’a jamais eu recours à du sexe tarifé avant ce soir mais ce mec l’attire. Son physique et son prénom l’attirent. Il a envie de réaliser le fantasme qu’il vient d’avoir. Qu’importe combien de galions, il faut débourser. Une fois n’est pas coutume non ? "J’étais venu chercher de la racine d’asphodèle bleue en poudre, une potion contre le vieillissement de la peau et des feuilles de mandragore à infuser." . Le médicomage se contente de sourire. Il sait bien à quoi servent tous ces produits. Les deux premiers le surprennent d’ailleurs un peu. Il est un peu jeune pour en avoir besoin. Le médicomage ne dit cependant rien et se contente d’invoquer les articles demandés d’un geste de la baguette. « Accio Racine d’asphodèle blue en poudre, potion anti peau de vieille et feuilles de mandragores à infuser » . Le médicomage dépose les objets sur le comptoir laissant le sorcier observer si cela lui convient. Sans que le vendeur ne pose plus de question, le client se justifie de ses achats. "Les deux premiers articles sont pour une de mes cliente et le troisième… ma foi, c’est pour contrer les risques du métier," Le mulâtre adresse un sourire charmeur à son client. «Je comprends mieux les deux premiers ! Pour le dernier, vous avez raison ! Il faut faire attention ! J’espère que vous en prenez tous les jours.» il saurait dommage qu’un si beau garçon se retrouve avec des maladies sexuellement transmissibles. «D’ailleurs si vous voulez, je peux vous faire un check-up à ce sujet. Mon appartement se trouve juste au-dessus. Pas d’obligation bien sûr ! Mais comme je vous l’ai dit je suis médicomage. Et la consultation est offerte ! . Les feuilles de mandragores infusées c’est bien, mais il faut tout de même faire des contrôles réguliers et le médicomage s’inquiétait pour la santé de son client. Accessoirement, il prendrait bien du plaisir à l’ausculter, surtout qu’il lui faudrait contrôler ses parties intimes. A ce sujet, il était de plus en plus tenter par les services que proposais le jeune homme même s’il n’osait pas lui demander ouvertement s’il acceptait également les hommes comme clients et qu’elles étaient ses tarifs. «Si vous ne voulez pas de check-up, vous pouvez aussi monter prendre un verre, ou plusieurs, si cela vous dit ! » . Attention Arès, tu es en train de jouer un jeu dangereux. Très dangereux.


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