Sujet: Until my last breath, you'll never know... Dim 12 Déc - 21:42
Brassens : La mauvaise réputation Starmania : Quand on arrive en ville Téléphone : La bombe humaine Trust : Antisocial Téléphone : Un autre monde Goldmann : Envole-moi Balavoine : Tous les cris, les sos Cabrel : Encore et encore Niagara : J'ai vu Axel Bauer : Eteins la lumière Mylène Farmer : Désenchantée The Cranberries : Zombie Dolly : Je ne veux pas rester sage Saez : Jeune et con Noir Désir : Le vent nous portera Renaud : Docteur Renaud, Mister Renard Evanescence : Bring me to life Pagny : Ma liberté de penser Matmatah : La cerise Saez : Jeunesse lève-toi Shaka Ponk : My name is Stain .
Sujet: Re: Until my last breath, you'll never know... Dim 12 Déc - 22:30
On appelle cela l'irrévérence, l'insolence, l'effronterie, l'audace, le non conformisme... Un électron qui fait bouger les lignes, qui découpe des lucarnes dans les murs, jusqu'à ce que les fenêtres soient suffisamment larges pour l'esprit. L'impertinence n'aura jamais été aussi pertinente. D'ailleurs... d'autres nomment aussi cela la liberté. Aude Revier
Une part tellement importante de nos vies, se déroule dans nos têtes - en souvenirs ou en imagination, en spéculations, ou en interprétations. PicoLyer
Je fais ce que je peux. Avec mes silences, et le reste. Avec mes peurs de bête. Avec mes cris d'enfant, qui ne débordent plus. Je fais ce que je peux. Dans ce petit bain de cruauté, et de lumière. Dans les éclats de sucre, et de mensonge. Dans la délicatesse. Dans la violence du temps, qui piétine nos rêves. Dans nos petits pataugements précieux. Un matin après l'autre. Un oubli après l'autre. Un mot sur le suivant. Je fais comme tout le monde. Avec le ciel, et sans les dieux.
La même démarche me fait chercher le bruit caché dans le silence, le mouvement dans l'immobilité, la vie dans l'inanimé, l'infini dans le fini, des formes dans le vide, et moi-même dans l'anonymat. Joan Miro
Je porte accroché au plus haut des entrailles, à la place où la foudre à frappé trop souvent, un cœur où chaque mot a laissé son entaille, et où ma vie s'égoutte au moindre mouvement. Pierre Reverdy
Ce qui m'effraie, ce n'est pas l'oppression des méchants, mais l'indifférence des bons. Martin Luther King
On mesure l'érosion en scrutant les fonds de mer. Mais a-t-on seulement idée de la ruine, que les bourrasques de la vie, laissent au fond de nous ? Tous les débris des naufrages ne sont pas visibles, heureusement, sinon les côtes ne seraient plus fréquentables. Fatou Diome
Etre fidèle à soi-même, c'est écouter dans le hurlement du monde, son propre murmure, et en suivre la direction. Roxanne Bouchard
Une mauvaise herbe, est une plante qui a maitrisé toutes les compétences de survie, sauf celle d'apprendre à grandir dans le rang. Soyez une mauvaise herbe... Douglas Larson
Au début, on croit mourir à chaque blessure. On met un point d'honneur, à souffrir tout son soûl. Et puis on s'habitue à endurer n'importe quoi, et à survivre à tout prix. Virginie Despentes
Ils ont essayé de nous enterrer, mais ils ne savaient pas que nous étions des graines. Proverbe méxicain
Libres sont ceux qui créent, pas ceux qui copient, et libres sont ceux qui pensent, pas ceux qui obéissent. Enseigner, c'est enseigner à douter. Eduardo Galeano
Dernière édition par Constantine H Kane le Sam 18 Déc - 15:33, édité 1 fois
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Sujet: Re: Until my last breath, you'll never know... Dim 12 Déc - 22:47
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Sujet: Re: Until my last breath, you'll never know... Jeu 23 Déc - 15:55
Coming out
Tu ne sais pas qui je suis Toi qui me regarde ainsi Que vois-tu ? Un petit garçon battu ? Mais je suis plus que ça Je n'obéis pas à cette voix-là Criarde et violente Qui déclenche des tempêtes Et des épouvantes J'ai un cœur qui bat Abîmé de tes doigts Un esprit malheureux Malade et peureux Une seconde existence Bien loin de ta présence Des rêves plein la tête Et des ténèbres analphabètes L'amour s'est envolé Comme l'enfance dont tu m'as privé Des tourbillons me tordent le ventre Mes entrailles pleurent ta folie débordante Des mains qui jouent Sur des chemins remplis de cailloux Des plaies sanguines Maintenant des cicatrices malignes De l'encre noire et sombre Couvrant mes veines et ma honte Ou étais-tu , Dans tes pas perdus ? Je te hais comme je t'aime Je me déteste moi-même Le miroir de l'horreur Approche ma laideur Cet être que je ne suis pas Et que tu as façonné malgré toi Ce mauvais garçon Ce voyou des bas-fonds Cet homme torturé Et complètement taré Qui confonds les idées Et cette putain de vérité Ecrasante et dominatrice M'enfermant à tout jamais dans la matrice Je meurs à petit feu Mais résister encore un peu Gueuler à la sale face du monde Que les vermines folles et immondes Envahiront la cité Pour faire entrer la lumière des fêlés