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 montre les moi !

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Antonio Moretti
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Antonio Moretti
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MessageSujet: montre les moi !   montre les moi ! EmptyMar 7 Nov - 21:36


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@Jérémy Baker & Antonio Moretti
8 octobre 1980


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Antonio et Jérémy ont enfin un jour de congé en même temps, le premier depuis des semaines et il en est ravi. Même si ça veut dire se faire trainer il ne sait où par Jérémy avec un moyen de transport remuant qu’il a dit son amant. Antonio ne sait pas si c’est une bonne chose ou non, mais il s’est promis de tenter d’avoir confiance en Jérémy et ses idées farfelues.  Puis ça le changera de l’ambiance un peu morose de l’hôpital en ce moment. Et il est ravi de voir son amant enfin sortir de sa coquille et accepter de le représenter au monde magique sans se préoccuper du risque lattent d’une attaque de ces foutues puristes à la noix.

« Oh allez tu ne veux pas m’en dire plus sur où tu m’emmène ? Je ne sais pas comment m’habiller moi du coup. »

Cela fait deux fois qu’il change de vêtement de peur d’être trop habillé ou pas assez, Jérémy persiste à ne rien lui dire. Il gromelle pour la forme et décide finalement de mettre un costard à l’italienne très classe, mais pas le plus riche qu’il ait. Tant pis s’il fait trop habillé au moins il sera chic. Il vient embrasser Jérémy une fois prêt.

« Tu es impossible garnement qui aime se jouer de moi hein ? »

Il sourit amusé et lui dit que tout est bon. Il le suit dans la rue et est surpris quand il le conduit dans une ruelle à l’écart et lui dit de se tenir fermement à lui, de ne lâcher sous aucun prétexte. Antonio hoche la tête et obéit. Il est surpris quand un espèce de vortex les englouti d’une manière très désagréable, lui tordant l’estomac et le faisant tourner jusqu’à atterrir de nouveau sur terre. Il a la tête qui tourne et il s’écarte juste avant de vomir. Il crache et s’essuie les lèvres. Il se redresse incapable de parler. Il lui faut un instant avant de se reprendre et de pouvoir parler.

« C’était quoi …ça… ? »

Il a relevé la tête pour constater qu’ils ne sont plus du tout au même endroit. Ils sont dans la campagne bien loin de Londres et ses bâtiments parfois étouffant. Il ne s’attendait pas à ça. Comment ils ont atterri ici ?. La magie est fascinante. Il a un sourire aux lèvres et les yeux brillant, alors qu’il observe ce qui l’entoure. Ils sont devant un espèce de stade avec pas grand-chose autours. Un évènement de petite envergure semble se préparer. Il y a des gens en cape autours d’eux qui parlent joyeusement. Certains ont de la peinture sur le visage comme pour un évènement sportif avec plein de couleur qui doivent représenter des équipes. Néanmoins ce n’est sans doute qu’un petit truc, parce que y a très peu de gens. Il n’y a qu’une centaine de personne qui se dirige vers l’entrée de ce lieu. Il se tourne vers Jérémy.

« Et maintenant je peux savoir ? »


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Jérémy Baker
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Jérémy Baker
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MessageSujet: Re: montre les moi !   montre les moi ! EmptyDim 26 Nov - 14:55


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Le match de Quidditch opposait les Harpies de Holyhead aux Canons de Chudley. J’ignorais pourquoi j’avais décidé de l’emmener. Peut-être pour essayer de me prouver qu’il ne risquait rien ? Que je me fichais que l’on nous voie ensemble ? J’angoissais, rien qu’à l’idée qu’il puisse de nouveau subir une attaque. J’avais eu si peur de le perdre ce jour-là, juste parce que j’étais sorcier. Le travail me permettait de ne pas penser. Ni à ce que pouvait risquer Antonio en étant avec moi. Ni à la présence de mon géniteur sur le territoire anglais. Je ne l’avais pas recroisé mais depuis qu’il était là, je me sentais bien moins en sécurité qu’avant. Cela faisait longtemps que je ne regardais plus derrière moi, et depuis quelques semaines, je me surprenais à le faire. Et ça m’horrifiait. L’état dans lequel ce sale con pouvait me mettre. Le boulot m’empêchait aussi de penser à Jayden. Je n’avais eu aucune nouvelle, cela dit je n’avais pas non plus fait en sorte d’en avoir. Mais cela m’inquiétait. Réellement. Il avait beau être un chasseur de sorcier, être tout ce que je détestais, il restait mon frère. Même si je ne savais toujours pas comment agir avec lui si je le voyais à nouveau. Je préférais ne pas penser. Et les moindres petits instants où mon esprit n’était pas occupé à travailler, cela tournait en boucle. Le congé que nous avions tous les deux, me partageait entre un sentiment d’angoisse et un sentiment d’excitation. Parce que je voulais lui montrer comment on s’éclatait chez les Sorciers, et parce que j’avais trop de choses en tête pour laisser mon esprit vagabonder.

J’étais le plus sportif de nous deux. J’avais toujours besoin de bouger. Tout le temps. La boxe me défoulait, me vidait la tête, et lâchait toute la colère que j’avais en moi. Le judo canalisait ce sentiment de colère. Le rugby m’empêchait de penser au reste. Je n’avais jamais vraiment fait de Quidditch. Je n’étais pas forcément des plus à l’aise sur un balai volant. Je préférais les courses d’autruches. Mais j’aimais aller le voir Quidditch. Et aujourd’hui, j’avais décidé d’y emmener Antonio. Mettre de côté mes angoisses, et passer la journée avec Anton’, lui faire découvrir ce que c’était un vrai sport. Il me faisait rire devant sa penderie. Le mec le plus classe du monde, c’était lui. Toujours bien habillé même dans les situations les plus délurées. Alors que je portais un vieux jean – troué – mon tee-shirt des ACDC et mon éternelle polaire – parce que ouais, il fait froid dans ce pays. Et mon blouson en cuir noir. « Tu irais en pyjama que cela ne se remarquerait pas » ai-je lancé, alors qu’il passait un costume. Je crois que le mot jogging n’existe pas dans son vocabulaire. Cela dit, là où l’on allait personne ne remarquerait sa manière d’être. Les sorciers pouvaient s’habiller de manière très farfelue lorsqu’ils allaient voir un match de Quidditch. Je lui ai fais un grand sourire. « Peut-être » me suis-je contenté de répondre, en l’entrainant dans la ruelle pour transplaner. Le transplanage d’escorte n’était pas ce qu’il y avait de meilleur. Ça donnait envie de vomir, cela donnait mal à la tête. On avait l’impression de se faire arracher toutes les entrailles… une sensation détestable. Mais nécessaire. C’était le moyen de transport le plus rapide, et malheureusement pour Anton’, il ne pourrait pas y échapper. Je l’ai attrapé par la taille. J’entendais déjà les voix des sorciers au loin qui émanait du stade de quidditch de Londres. « Transplanage d’escorte. » Je lui ai tendu une chocogrenouille « Tiens, ça ira mieux avec ça ». Le chocolat faisait toujours des miracles. Et les cinq gouttes de potion magique « Attire-Moldu » à l’intérieur, afin qu’il puisse passer outre le sortilège du Repousse-Moldu et voir ce pour quoi nous étions ici.

J’ai sorti de ma poche une écharpe des Harpies de Holyhead que je lui ai passé autour du cou. « Bienvenu au Stade de Quidditch de Londres. » lui ai-je murmuré à l’oreille, avant de lui en embrasser le lobe. « Aujourd’hui tu vas assister à ce que l’on fait de mieux dans le monde sorcier. Vous avez le football, nous avons le quidditch ». Je lui ai attrapé le bras pour le trainer dans la file des supporters. « Et quand tu sortiras, le football te semblera bien fade… ». Le foot, en Italie, c’était une institution. Mais face au Quidditch, le foot était largement enfoncé. Bon, j’admets, j’ai jamais aimé le foot. Sauf au Mali avec les gamins, mais pour les gosses, je suis prêt à tout, même à pratiquer un sport que je déteste. Juste pour leur faire plaisir.



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MessageSujet: Re: montre les moi !   montre les moi ! EmptyJeu 14 Déc - 12:30


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Antonio a secoué la tête en retenant une grimace alors qu’il s’imaginait en pyjama. Non ce n’est pas possible. Jamais il ne pourrait se balader dehors autrement que dans un de ses vêtements chic à la limite dans un jean noir et t-shirt assez classe avec sa veste en cuir italien. Son goût vestimentaire lui venait de son père et c’est sans doute l’une des rares choses qu’il a gardé en fuyant l’Italie. Il ne peut se passer de son style de vêtements. Et il sait qu’au fond ça plaît à Jérémy même si son amant le préfère sans doute nu dans ses bras et inversement tout aussi vrai pour lui.
Il aurait d’ailleurs aimé rester là avec lui et juste profiter de ce moment rien qu’à eux, mais il sait aussi que c’est un effort considérable pour Jérémy de le ramener dans son monde. Antonio ne veut pas gâcher ça alors il ne fait rien pour le charmer et l’inciter à rester là. Depuis son attaque fin juillet, Jérémy à tout le temps peur pour lui et il n’a pas montré d’enthousiasme et d’envie de le ramener de nouveau dans le monde sorcier. Alors, cette journée est particulière et il fera tout pour ne pas détourner son amant de son objectif premier.
Le transplanage a été difficile et il a encore une forte envie de vomir pendant encore de longue minute. Il se colle à son amant et prend la chocogrenouille qu’il lui tend. Le chocolat en question lui est plus familier bien que la première fois il a sursauté au saut de la friandise et avait refusé de la manger. Il lui avait fallut une semaine pour accepter d’en croquer une et de se rendre compte que c’était bien juste du chocolat. Là il croque sans hésitation dans le chocolat en remerciant son amant dans sa langue natale.
Le chocolat avait un goût un petit différent, mais c’était parfait. Il se sent mieux si ce n’est que la topographie du lieu a changer. L’immense stade devant lui avec plein de monde est impressionnant. Il ignore ce qui vient de se passer, mais il ne se pose pas de questions sur ce truc apparue devant lui et tout ses sorciers. Enfin s’il s’en pose, mais il a avant tout les yeux brillant d’excitation. Il regarde son amant qui lui passe une écharpe au couleur d’une équipe de sport sans doute et lui dit bienvenue au stade de Quidditch.

« Quidditch hein ? J’ai hâte de découvrir alors. »

Antonio s’est tourné et à enlacer son amant pour venir l’embrasser. Il est excité par ce baiser sur le lobe, mais encore une fois il ne fait pas part de ça à son amant. Ils auront la soirée voir la nuit pour se laisser aller dans les bras de l’autre. Là il voulait le découvrir l’univers de son amant. Il l’a suivi dans le stade au milieu d’une foule excité. C’était semblable au terrain moldu si on oublie le fait que les buts ou plutôt les espèce d’anneau de but était a plusieurs mètre du sol.

« Explique moi les règles avant que ça commence. »


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Jérémy Baker
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MessageSujet: Re: montre les moi !   montre les moi ! EmptySam 6 Jan - 13:12


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Même si j’avais décidé de laisser mes angoisses de côté pour l’après-midi, je ne me sentais tout de même pas des plus à l’aise. Il y avait trop de monde, et je me suis surpris à regarder derrière moi – ce que je n’avais plus fait depuis qu’on avait posé bagages en Angleterre – pour être sûr qu’il n’y avait ni mon géniteur qui trainait, ni un putain de mangemort qui s’en prendrait encore à Anton. Réaction irraisonnée, je le savais, mais je ne pouvais rien y faire. Cette peur me prenait aux tripes. Anton, il m’avait tant aidé à surmonter mes angoisses et mes cauchemars que je ne pouvais pas le perdre. Pas comme ça. J’étais un sorcier, et c’était à cause de cette condition de merde qu’il s’était fait agresser. Et j’aurais donné tout l’or que je possédais pour n’avoir jamais reçu ce gène. Pour n’être qu’un humble moldu. La vie aurait été bien plus facile.

Le quidditch était le sport préféré des sorciers. Et je me disais qu’au stade, Anton ne risquait pas de subir une attaque. Il y avait bien trop de monde, pour attaquer un homme isolé. Depuis qu’il était sorti de Sainte-Mangouste, j’admets que je n’avais pas été des plus prompt à lui faire découvrir mon monde, que je détestais. J’ai répondu à son baiser, avant de le trainer dans la file qui nous ferait entrer dans le stade. Cela faisait longtemps que je n’étais pas allé à un match de quidditch, mais je n’arrivais pas à me détendre. Les regards incessants autour de moi m’horrifiaient. Comment j’avais pu retomber si bas ? A avoir peur comme un collégien que mon connard de paternel déboule du coin de la rue. Il ne connaissait même pas cet endroit, et si tant est qu’il le connaisse, qu’est-ce qu’il viendrait y faire. Il ne verrait qu’une colline sans rien autour. Les moldus ne pouvaient voir le stade et ses environs. Et une fois à l’intérieur des barrières que formaient le sortilèges « Repousse-Moldu » aucun moldu ne pouvait nous voir. Ni les bâtiments, ni les sorciers. Cameron Baker ne pouvait pas être là. Les mangemorts, en revanche. Je me suis giflé mentalement. Non, il n’y avait aucun mangemort, aucun chasseur, juste des supporters qui se rendaient à un match de quidditch. Rien de plus. Et un moldu au milieu.

Le stade était immense. Et l’ambiance qui y régnait nous faisait oublier tout le reste. Ou presque. Ça hurlait dans tous les coins, les drapeaux des différentes équipes volaient dans les airs. Les feux d’artifice explosaient dans les gradins. J’ai attrapé la main d’Antonio en m’asseyant à côté de trois jeunes sorciers, la lui serrant – peut-être – un peu fort. Au moins, tant qu’il me tenait la main, j’étais sûr qu’il ne lui arriverait rien. « C’est très simple. Il faut envoyer la balle dans un des trois anneaux que tu vois ». Comme au football. Mettre des buts. Rien de plus compliqué. « C’est comme au foot. Tu tires dans la lucarne ». A quelques détails près, c’était exactement pareil. « Les joueurs jouent avec des balais volants ». Je lui avais déjà dit qu’on pouvait se déplacer en balai ?! J’admets que je ne me souvenais plus. « Ils sont sept. Trois Poursuiveurs qui mettent les buts, et qui volent vite. Un gardien qui rattrape le Souaffle, c’est la balle de jeu. Deux Batteurs qui essaient d’empêcher les Poursuiveurs d’atteindre les buts, en leur envoyant des Cognards, tu verras ce sont de vraies saletés ces trucs-là. Et enfin l’Attrapeur, qui a une vitesse de vol plus rapide que la moyenne, qui a des yeux de lynx pour repérer une minuscule petite balle qui vole hyper vite, le vif d’or ». Un pétard a fusé à mes oreilles me faisant sursauter. « Nous on est pour les Harpies de Holyhead. Une équipe composée exclusivement de filles, et des sacrées joueuses ». Et il avait pas intérêt à être pour l’autre équipe. Je le largue direct, s’il me fait ça.



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MessageSujet: Re: montre les moi !   montre les moi ! EmptyLun 12 Fév - 20:25


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Antonio observe son amant qui est sur les nerfs. Il l’est souvent depuis son attaque et le médecin tente de ne pas trop y penser, car il sait que Jérémy n’aime pas qu’il lui fasse remarquer qu’il ressemble à un lapin ayant entendu un renard. Il ne dit donc rien et se contente de garder sa main dans celle de Jérémy en caressant par moment le dos de sa main. Et il se fait souriant devant tant de nouveauté espérant que son excitation calme un peu Jérémy et ses angoisses.

« Ya pas trois but au foot, tu le sais hein et pas plus de balai volant. »

Se moque t’il gentiment quand son amant compare ce jeu avec le football. Antonio doit avouer qu’avec tout les petit paramètre qui rentre en jeu, il a du mal a comparer les deux jeux. Il faut dire qu’il n’est pas sorcier et qu’il n’éprouve pas un besoin constant de rapprocher une chose d’une autre pour le comprendre. Il ne sait pas trop expliquer. Après cela lui va la manie de Jérémy de tout comparer pour lui expliquer, ça rend certaine chose vraiment plus facile à comprendre.

« Comment une balle de jeu peut être un sale truc ? Je ne comprends pas. Et pourquoi des gens veulent l’envoyer sur d’autre gens si c’est un sale truc ? »

Antonio observe le terrain avant que quelque chose ne vienne le frapper : son amant a parlé de balai volant. Il n’est pas fou hein ? Il regarde Jérémy un peu bizarrement. Il a du mal à imaginer son mec un balai entre les cuisses à voler dans les airs en riant comme une sorcière de films clichés. L’image le fait sourire amusé par la scène dont Jérémy n’a aucune idée.

« Je veux que tu me fasses voler amore, s’il te plaît. »

L’idée de voir le monde de plus haut, lui plairait bien surtout en compagnie de Jérémy qu’il pourrait serrer fort pour se tenir. Après rien ne dit qu’il accepte surtout que peut être qu’il faut un permis pour le balai et peut être que son amant ne sait pas. Il ne connait rien là-dessus, il s’imagine juste des truc avec un petit sourire aux lèvres en imaginant ce moment spécial rien qu’à eux.

« D’accord pour les harpies de Holyhead… même si le nom est bizarre. »

Antonio passe une main sur les hanches des son amant alors qu’il vient de sursauter à cause du pétard trop proche d’eux. Il se veut rassurant dans ce geste, un rappel de sa proximité et du fait qu’ils ne risquent rien ici. Après tout ils sont dans un lieu public entrain de regarder un match d’un sport appeler Quidditch, il n’y a pas de raison que quoi ce soir se passe mal. Même s’il est vrai qu’au vu des récents événements aussi bien côté moldu que sorcier, il y a peut être de quoi être sur les nerfs. Le monde semble aux prises d’une rage folle en ce moment et Antonio espère que ça se calmera

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Jérémy Baker
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MessageSujet: Re: montre les moi !   montre les moi ! EmptyVen 15 Mar - 9:55


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Je ne sais pas pourquoi je l’avais emmené ici. Autant de monde m’angoissait. Pourtant, il ne pouvait pas être ici. Il ne connaissait ni le lieu, ni le sport. Mais depuis que je savais qu’il était en Angleterre, j’avais cessé d’être serein. A regarder derrière moi, sursauter au moindre bruit étrange. Mes nuits s’en trouvaient agiter, et ce n’était pas l’agression d’Antonio qui allait me détendre. Bien au contraire. C’était nettement pire, parce qu’en plus de surveiller mes arrières, je surveillais celle de l’italien. Si Cameron Baker ne pouvait pas se promener dans tous les coins sorciers, les mangemorts eux le pouvaient. Et qui me disait que l’un d’entre eux ne nous avait pas suivis ? J’avais pris, pourtant, sur moi pour l’emmener jusqu’au stade. En me disant qu’il n’allait rien arriver et que cela ferait plaisir à Antonio de découvrir le monde sorcier, mais honnêtement, je n’étais pas sûr de réitérer l’expérience.

J’ai haussé les épaules à sa remarque. Bien sûr qu’il n’y avait ni trois buts, ni balais volants au foot, mais c’était juste pour qu’il comprenne le principe du jeu. Mettre des buts. Il n’y avait rien à retenir de plus. Bon, si, que cela se passe dans les airs et qu’il y avait des Cognards pour empêcher les Poursuiveurs de marquer les buts. Même si je n’étais pas un sportif de haut niveau – j’avais autre chose à faire – j’aimais bien pratiquer le sport, judo et boxe étant mes deux favoris, mais je n’avais jamais fait de Quidditch, préférant la course sur Autruche, bien plus amusante – et casse-gueule aussi. Je lui ai fait un sourire à sa remarque. Il était étrange qu’il ne tique pas sur « balai volant » mais après tout, pourquoi pas. « Pour t’empêcher de marquer des buts » ai-je répondu, avec une simplicité évidente. « Les Batteurs ils vont envoyer les Cognards sur les Poursuiveurs pour les empêcher de marquer… comme les défenseurs au foot, ils défendent les buts. Bah là c’pareil, ce sont les Batteurs qui font le taf » ai-je repris avant qu’Anton ne se tourne vers moi. Je crois que l’information « balai volant » venait d’arriver à son cerveau. Bon, la demande qui suivit je ne m’y attendais pas. J’ai arqué un sourcil, cherchant la bonne réponse à cette demande. « J’ai jamais appris à monter sur un balai, mais je peux t’apprendre à faire de l’autruche » ai-je repris, un peu plus enthousiaste. Avant que ce crétin de pétard ne vrille mes oreilles.

Et Merlin que je me détestais de sursauter ainsi, au moindre bruit. Pendant une seconde, je me suis demandé si je ne devrais pas retourner voir la psychomage. Mais pour lui dire quoi ? Que mon paternel était en Angleterre ? Que mon mec se fût fait agresser par un mangemort ? Que je crevais de trouille de croiser mon géniteur dans les rues, ou que l’on m’annonce la mort d’Antonio ? J’ai chassé cette idée de mon esprit. Elle ne m’avait jamais aidé, et me citer des évidences je n’avais pas besoin d’elle. Les évidences, je savais les reconnaitre. J’ai peur de mon géniteur. J’ai peur de perdre Antonio. J’ai mis ces pensées dans un coin de ma tête, elles allaient revenir suffisamment vite quand je me retrouverais dans mon lit, pas besoin de me pourrir la soirée maintenant. J’ai fait un sourire à l’italien. De toute façon, il n’avait pas le droit d’être pour quelqu’un d’autre. « Holyhead c’est une ville au Pays-de-Galle et les Harpies, ce sont des créatures magiques pas très sympathiques…. Et les filles, là, ce sont des tueuses sur un terrain de quidditch… » Les joueurs de foot, c’étaient des bisounours à côtés des filles.



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MessageSujet: Re: montre les moi !   montre les moi ! EmptyJeu 18 Avr - 22:42


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Antonio l’a regardé avec un air bizarre quand il lui a dit comme une évidence absolue que les balles étranges sont là pour empêcher les joueurs de marquer des buts. C’est bizarre. Une balle qui semble avoir conscience et qui est violente c’est juste étrange. Heureusement son australien vient apporter des précisions avant qu’il n’ait pu poser des questions sur tout ça. Il pense mieux comprendre quand il lui parle de batteur qui envoie une balle sur l’autre équipe pour empêcher ces derniers de gagner. Le jeu lui semble brutal, mais un peu plus clair comme ça. Enfin il en a un peu l’impression même si certaine chose lui échappe encore.

« On va dire que je commence à comprendre le concept du jeu et des roles de chacuns. Cela sera peut être mieux quand je les aurais vu jouer. »

Il regarde le terrain et tente de comprendre qui est qui, mais c’est encore bien trop flou pour lui. Cela viendra sans doute avec le temps ou en demandant un magazine sur ce jeu à son amant. Après, il ne va pas mentir mais déjà le foot c’est pas son truc et les sport d’équipe en général il ne suit pas tout. Il ne se souvient pas d’avoir vu un seul match de foot de sa vie ou alors du très amateur avec des règles très mal suivi.

« Jamais ? Attend quoi ? Tu as bien dis une autruche ? C’est bizarre, mais pourquoi pas. »

Il tente de lui faire oublier ce maudit pétard qui semble l’avoir affolé. Il ne veut pas Jérémy se concentre sur le négatif. Aujourd’hui c’est une journée pour eux et ils vont en profiter. IL ne laissera jamais rien entacher son plaisir d’être dans le monde de son amant en sa compagnie. Il caresse encore le bas de son dos.

« J’ai déjà du mal à connaitre londres et ses alentours, je connais encore moins le pays de galles. Tu sais bien que je connais mieux des villes comme Ouagadougou, Kiev, Orléans ou même Valence que l’angleterre et le reste du royaume unis. »

Le royaume-unis ne l’a jamais vraiment attiré et pourtant, il n’a pas hésiter longtemps avant de dire oui à un poste au royal hospital. C’est une expérience comme une autre et il aime découvrir de nouvelle chose. Surtout que ça ne fait pas de mal de se poser un peu après avoir parcouru le monde dans le but d’aider autrui tout en apprenant le plus de chose possible. Il doit avouer que le soleil de l’egypte ou de Madagascar lui manque par moment, mais jamais autant que son Italie natale dans laquelle il ne peut jamais reste bien longtemps.

« J’ai hate de les voir en action dans ce cas. »

Il se concentre un peu sur le terrain, parce qu’à caresser Jérémy en le calinant il sait que bientôt il aura tout sauf envie de suivre un match de quidditch. Il faut donc qu’il se fasse violence et qu’il regarde ces joueurs sur leur balai.


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MessageSujet: Re: montre les moi !   montre les moi ! EmptyVen 26 Avr - 18:51


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Il n’y avait rien de plus simple que de suivre un match de Quidditch. Il suffisait de regarder le Souaffle passer de mains en mains et arriver dans les buts. Hurler quand les filles marquaient, huer quand c’était l’équipe adverse. Et toujours, absolument toujours garder un œil sur les deux Attrapeurs. C’était facile, ils n’avaient jamais le souaffle, et tournait comme deux vautours autour de leur proie. Et lorsqu’ils partaient comme des maboules à fond les ballons, c’est qu’ils avaient vu le Vif d’or. Rien de plus simple. J’ai acquiescé d’un signe de tête. « T’as juste à crier quand les filles marquent un but » ai-je répondu en souriant. Cela faisait longtemps que je n’étais pas venu voir un match de quidditch. Ce n’était pas le jeu le plus populaire en Australie, même si les plus grosses villes avaient une équipe et que nous avions une équipe nationale, le quidditch n’était pas très répandu. On préférait effectivement les courses d’Autruches, et les sports moldus bien plus en vogue, comme le rugby, par exemple. On avait une très bonne équipe, d’ailleurs. Mais, l’Australie avait quand même qualifié son équipe de Quidditch pour la dernière coupe du monde. Certes, nous n’avions pas gagné, et nous en étions encore très loin, mais on avait eu le mérite d’arriver jusque-là.

Je lui ai fais un grand sourire, un peu vantard. « Y’a rien de bizarre. Vous faites des courses hippiques vous, bah nous on fait pareil mais sur des autruches… et crois-moi ça court très vite. Et c’est tout un art de rester dessus… » ai-je lancé, assez fier. « Tu as devant toi, le champion de courses d’autruche que nous avions fait dans mon école ». Cela ne servait à rien pour mon métier, mais ça me rendait hyper fier. Mais au fond, je savais que je ne pourrais jamais lui montrer ce qu’était une course d’autruche, pour ça il me faudrait revenir en Australie, et j’avais beau aimer mon pays, c’était celui qui me faisait le plus peur. Et jamais je n’y remettrais les pieds, tant que mon géniteur était en vie. L’Australie ne resterait qu’un lointain souvenir, là où j’avais vécu les pires années de ma vie, et même si j’avais eu des années magnifiques par la suite, je n’y remettrais plus un orteil. Tant qu’il habiterait là-bas. Il ne me resterait que la nostalgie de Hamelin et de l’université de Sydney. J’étais même plus de m’y retrouver si je revenais à Darwin. Cela faisait tellement longtemps que j’y étais parti, que je ne me souvenais même plus comment retourner dans la maison de mes parents. C’était même un peu perturbant. J’ai eu un sourire à ses propos. Le Royaume-Uni, j’y avais trouvé ma place et un équilibre que je n’avais pas eu jusqu’à présent. Même si l’idée de repartir en humanitaire me plaisait et faisait son chemin, l’Angleterre je m’y sentais réellement chez moi. Libre de faire ce que je voulais sans surveiller mes arrières, sursauter à tous les bruits étranges, avoir peur de le croiser au détour d’une rue. J’y étais bien, et surtout apaisé. Jusqu’à ce qu’il pointe sa tronche ici. Je lui en voulais tellement de venir troubler la sérénité que j’avais réussi à acquérir en posant mes valises dans la ville de Londres. « Je sais… on ira visiter un de ces jours… j’te montrerais tous les lieux magnifiques du Royaume-Uni » Et il y en avait. Tant.

Dans les gradins, les supporters commençaient à s’agiter, signe que le match n’allait pas tarder à démarrer. Les banderoles à l’effigie des Harpies venaient d’apparaitre dans la première moitié du stade, l’autre moitié c’étaient les supporters des Canons de Chudley qui hurlaient. J’aimais pas les bruits stridents qui venaient à mes oreilles, j’avais jamais aimé ça, mais depuis l’arrivée de mon géniteur et l’agression d’Antonio, je le supportais encore moins. Je me suis vu, serrer un peu fort mes cuisses sur lesquelles mes mains étaient posées. Je le détestais tellement de me mettre dans cet état. Je me suis concentré sur le présentateur qui venait d’arriver, se lançant un sortilège d’amplificateur de voix. Quand les Canons sont entrés la moitié du stade a hurlé en les applaudissant. Mais lorsque ce fut les Harpies qui firent leur entrée, j’ai soupçonné les supporters d’avoir, eux aussi, usé du sortilège amplificatum, tant cela a hurlé fort. Il faut dire que les Harpies, elles étaient justes sublimes et très bonnes joueuses. Elles n’avaient peur de rien, et elles avaient une hargne de dingue lorsqu’elles étaient sur un terrain. Elles faisaient parties des meilleures équipes du Royaume-Uni, et elles n’avaient absolument pas volé leur place. « Ça va jouer vite, tu vois la grosse balle que le type en blanc a dans les mains ? C’est le Souaffle celui que tu dois suivre. Les trois poursuiveurs c’est les dossards 1 à 3. Les deux Batteurs, ce sont ceux qui ont une batte dans la main. » Logique imparable. « Mais occupe-toi seulement des poursuiveurs, de toute façon tu n’arriverais pas à voir les sept joueurs évoluer dans le stade. » Ils volaient bien trop vite pour que même nous – qui avions l’habitude puissions tout voir – alors un non-maj qui n’avait jamais vu un match de sa vie, c’était chose totalement impossible.

J’ai sorti des lorgnettes de ma poche que je lui ai tendu. « Tiens, c’est comme des jumelles. Tu peux regarder dedans. Tu verras mieux » Et puis à la fin du match, il pourra se refaire le match pour suivre toutes les actions. Les lorgnettes, c’était hyper pratique.



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