| | Nox Malefoy ~ ne jamais regretter... | |
| Auteur | Message |
---|
Messages : 120 Date d'inscription : 15/12/2022
| Sujet: Nox Malefoy ~ ne jamais regretter... Jeu 15 Déc - 23:41 | |
|
Malefoy Nox ne jamais regretter
ft. Louis Duneton - prongs | Mangemort - Progressiste - Ministère
nom malefoy prénom nox date de naissance 29 février 1956 [24 ans] origines 100% anglais allégeance mangemort malgré lui / progressiste statut de sang sang-pur maison / métier serpentard / langue-de-plomb situation financière aisée. côté coeur / orientation sexuelle hétéro, futur marié de Circée Travers. Patronus antilope [mais ne le réalise jamais] Epouvantard que sa famille se rende compte de qui il est réellement Baguette 29 cm, Frêne, Épine de Mimbulus Mimbletonia Amortentia caramel au beurre salé, herbe mouillée, forêt d'épicéa Dons & Malédictions son nom de famille, occlumens & legillimens. a appris l'occlumencie et la legilimencie à l'ESM ◊ se sent comme le vilain petit canard ◊ progressiste ◊ mangemort malgré lui ◊ promis à circée travers ◊ doit prendre le nom de sa future femme à leur mariage ◊ aurait dû être un serdaigle ◊ adore le diabolo-grenadine ◊ son meilleur ami est un moldu ◊ envoie parfois des informations anonymes à l'Ordre du Phénix ◊ n'est bien qu'au département des mystères ◊ petit frère de lucius ◊ marqué à ses 17 ans. |
Que pensez-vous de la situation et du climat actuel qui règne sur le Royaume-Uni ? Que c'est la merde. Le monde va mal, et plus les jours passent, plus cela s'empire. Ses idées, il les garde pour lui, et aux yeux de tous, il trouve que c'est une bonne chose que le Mage Noir monte en puissance, et que l’élimination des impurs soient de plus en plus radicale. Quels sont vos idéaux ? Il a enfoui ses idéaux au plus profond de son esprit, pour ne pas avoir plus d'ennui avec sa famille. Il a beau ne pas aimer leurs idées, il aime profondément ses parents et son frère, et ne veut pas les décevoir, même si ça lui coute de participer aux missions des mangemorts. Caractère Persévérant - A peur de l'abandon - Travailleur - Secret - Introverti - Intelligent - En conflit perpétuel avec lui-même - Généreux - Débrouillard - Indépendant – Petit, Nox était vivant et joyeux mais très vite, il s’est renfermé sur lui-même, permettant ainsi de cacher ses idées au reste de sa famille. Vilain petit canard de la famille, il a vite été remis sur le droit chemin par ses parents. Sa peur d’être renié par ses proches à fait le reste. Aujourd’hui, il est assez introverti et ne fait confiance qu’à très peu de monde. Il est très indépendant, et c’est vite débrouillé seul, pour ne rien devoir à ses parents. Intelligent et persévérant, il va au bout des choses. Déteste le travail bâclé et non fini, il est capable de rester des heures à plancher dessus. Très secret, il garde au fond de lui ses réelles pensées afin que personne ne sache qui il est vraiment. Mangemort malgré lui, il suit le mouvement, mais s’arrange parfois pour donner des renseignements aux personnes concernées. Toujours en conflit avec ses pensées et ses actes, il se réfugie dans le travail pour ne pas trop penser à l’avenir, et à ce qu’il pourrait être. Il envisage de fuir les mangemorts, mais cela impliquerait d’être renié par ses proches, et il n’en a pas le courage pour le moment. Son futur mariage avec l’héritière Travers l’ angoisse un peu car il aime son indépendance et sa liberté. votre pseudo prongs Votre âge 468 004 mois Comment es-tu arrivé ici ? en transplanant, quelle question. Remarques à faire sur le forum ? Aziz Lumière ! [le cinquième élément] Présence sur le forum ? 7/7 jours. Autre chose à ajouter ? bob mauranne contre tout chacal, l'aventurier contre tout guerrier ! [indochine] A chacun sa croix le chemin est long et parsemé d'embuches
Dernière édition par Nox Malefoy le Ven 16 Déc - 9:20, édité 1 fois |
| | | Messages : 120 Date d'inscription : 15/12/2022
| Sujet: Re: Nox Malefoy ~ ne jamais regretter... Jeu 15 Déc - 23:41 | |
| Once upon a time your story begins now.
à chasser le naturel, il revient au galop
Si le monde avait voulu réellement de moi, je crois qu’il ne m’aurait pas fait naitre le 29 février. Comment on le vit après ? Mal. Cela devait tomber sur un gamin sur dix millions, c’est à moi que cela arrive. Pourtant, je n’ai jamais manqué de rien. Second d’une fratrie de deux, j’ai été choyé les premières années de ma vie, jusqu’à ce que je me montre radicalement opposé au reste de ma famille. Pourtant, je n’ai jamais compris pourquoi c’était mal de jouer avec un enfant sans pouvoir magique. On aimait bien jouer au foot dans son jardin. C’est marrant le football, mais pas pour mes parents. C’est mon frère qui m’a vendu auprès de mes parents. Et le pire, c’est que je ne lui en ai même pas voulu. Dès que j’ai su marcher, parler et penser, je le savais que j’étais différent. Le Vilain Petit Canard du Conte, c’est moi. Ici et là, sans jamais être au bon endroit. Mes parents m’ont élevé comme mon grand frère, dans la haine des moldus, et de ceux qui n’étaient pas des « purs » comme ils disaient. Les Lois des Sang-purs, je les ai toujours trouvés aberrantes et j’ai commencé à me rebeller. Un peu. Beaucoup. Parce que non, je n’avais pas envie d’être comme eux, intolérants au possible, à croire qu’on était les meilleurs parce que nous étions des « purs ». Je suis loin d’être le parfait sorcier, au contraire. Le percepteur que nous avions désespérait de me voir déclarer mes pouvoirs. En même temps, comme si j’avais besoin d’une baguette pour faire la vaisselle. Alors, les après-midis après que le percepteur était parti, je sortais – mes parents auraient dit que je faisais le mur - dans le village pour rejoindre William, le gamin moldu au coin de la rue. Il m’a appris les règles du foot, et on en a fait des parties lui et moi. Ce que je n’avais pas prévu c’est que mon frère me suive un jour. Je crois qu’il se doutait de quelque chose le parfait petit sang-pur à ses parents. Lui, c’était le fils parfait, l’ainé, la fierté de la famille. Deux ans de plus que moi, et un égo aussi énorme qu’un sumo japonais. N’empêche que lorsqu’il a compris que je n’étais pas dans ma chambre à travailler ce que le percepteur m’avait donné mais entrain de jouer aux fléchettes sur l’arbre du voisin moldu, il s’est empressé de le raconter à mes parents le soir-même. J’avais huit ans, et j’ai été privé de sortie du Manoir à vie. Assigné à résidence, ils avaient mis des enchantements tout autour du Manoir pour m’empêcher de sortir seul. Et le pire, c’est que je n’ai même pas réussi à les détester. C’est mes parents, je les aime, même si je n’aime pas leurs idées et leur façon de faire, mais j’ai toujours eu ce sentiment de ne pas vouloir les décevoir, qu’ils m’aiment pour ce que j’étais et non ce que je devrais être. Alors, j’ai enfoui mes idées saugrenues – comme avait dit ma mère – bien au fond de mon esprit. Une manière pour moi de me protéger de ce que je vivais. Je me suis plongé dans le travail du percepteur, je n’avais plus que ça à faire, j’en ai même oublié les règles du foot, et j’ai commencé à devenir le parfait petit puriste qu’ils attendaient. Ou presque.
A chasser le naturel, il revient au galop. Mais, comment rester de marbre lorsque le voisin du coin de la rue s’est fait tuer ? Parce que je le sais, je suis loin d’être bête, William il n’est pas mort à cause d’une maladie foudroyante. D’un côté je leur en veux d’avoir commanditer ce meurtre horrible mais d’un autre côté, je suis incapable de fuir la maison. Je les aime mes parents, et j’ai trop peur de me retrouver seul. Ni courageux, ni téméraire, j’ai gardé mon amertume pour moi. J’ai vu Lucius entrer à Poudlard, chez les Serpentard, et cela ne devait en être autrement. Les Malefoy doivent faire leurs classes à Serpentard. Mais en vrai, que l’on soit Serpentard ou à Poufsouffle ça changeait quoi ? On était tous logé à la même ancienne, apprendre et maitriser la magie. Si, mon assignation à résidence ne m’avait pas trop pesé, lorsque Lucius fut intégré à Poudlard, ce fut totalement autre chose. Seul dans un immense manoir, je me suis vite ennuyé. Je crois que je n’ai jamais autant lu que pendant ces deux années passées tout seul dans ma chambre. J’avais un elfe de maison, Dobby, qui me faisait parvenir tous les livres moldus ou sorciers que je voulais. Je me suis donc instruit pendant deux ans, de sciences sorcières avec le percepteur, et de sciences moldues avec mes livres, et j’ai débarqué à Poudlard, avec toujours mes principes en tête, mais jouant au rôle que mes parents voulaient. Pour avoir la paix, pour ne pas être renié, parce qu’au fond, c’est la seule chose que je voulais, être aimé par mes parents.
Le choixpeau, il a bien tenté de jouer aux rebelles et Merlin sait que j’aurais adoré aller là-bas, à la table des bleus et argents, mais le regard vert intense de mon frère posé sur moi m’a fait renoncer et supplier le Choixpeau de me mettre à Serpentard. Tous les Malefoy font Serpentard avait déclaré Lucius lorsqu’il m’avait installé à ses côtés. Ses potes, je les ai détestés dès que je les ai vus. Mulciber, Crabbe, Goyle. J’ai encore plus enfoui mes idées au fond de mon esprit. Et si j’avais pensé être un peu libre à Poudlard, cela ne fut pas le cas, mon frère surveillait tout ce que je faisais, comme si j’allais me transformer en un Gryffondor. Je suis loin d’être comme les rouges et or, aucun risque. Un Serdaigle parmi les Serpentard, voilà ce que j’étais. Je n'ai jamais pris par aux mises à tabac des nés-moldus par mes « compagnons » de maison. Déjà, je ne cautionne pas, et je ne suis pas un bagarreur. J’aurais pu les en empêcher mais mon courage est très limité, et il suffisait d’un regard de mon ainé pour que ma témérité soit stoppée nette. Je crois que mon frère il se doute de ce que je suis réellement, parce qu’il ne me lâche jamais quand on est à Poudlard. Ne pas faire de vague, rester dans le droit chemin, c’est ce que j’ai fait pendant cinq ans. Jusqu’à l’obtention de mes Buses. Et mon frère a quitté Poudlard, et pour la première fois de ma vie, je me suis senti libre. Réellement. Alors dire que j’étais le parfait progressiste, sans doute pas, les idées de mes parents étaient bien trop encrées en moi, et puis, j’avais bien vu comment il avait été traité l’héritier des Black, et moi, je ne voulais pas vivre ça. Je crois que ça m’aurait tué si mes parents m’avaient renié. La semaine avant de retourner à Poudlard, mes parents m’ont emmené avec eux à leur réunion d’anciens élèves de Poudlard. J’aurais, peut-être, dû me douter du traquenard dans lequel ils m’embarquaient, mais trop content de faire quelque chose avec eux, j’ai suivi le mouvement. Mais cette arrivée dans ce Manoir à Little Hangleton. La vision des masques noirs sur toutes les têtes, celle du Mage Noir – même si je ne l’avais jamais réellement vu – je l’aurais reconnu tout de suite. Des yeux bleus perçants, une peau si blanche, qu’elle en était presque transparente, et une prestance qui m’avait rendu muet d’effroi, tout ça m’avait glacé le sang. J’ai eu froid durant toute la cérémonie, serrant les poings pour éviter de trembler. De froid ? De trouille ? Parce que clairement oui, j’avais la trouille de ce qu’il pouvait m’arriver. Même si j’en avais une idée bien précise au fil du temps qui passait. Mon frère, il avait beau être masqué comme tous les autres, je l’ai reconnu dès qu’il a posé son regard sur moi. Ses yeux verts, je les connaissais par cœur. J’ai eu le cœur battant pendant toute la cérémonie, prêter serment à ce dingue, être ravi de le faire. J’ai eu envie de refuser, partir en courant, mais je ne crois qu’aucune des personnes présentes ne m’aurait laissé le temps de fuir, et je serais sûrement mort avant même d’avoir fait un pas vers la sortie. Alors, j’ai prêté serment, tendant mon poignet gauche à cet homme que je détestais pour ce qu’il était. Je l’ai senti le regard fier de mes parents derrière moi, et ça m’a rendu fier, content de leur faire plaisir ? J’ai un sentiment d’échec, une tornade dans laquelle je n’arrivais pas à me défaire. Mon regard est resté figé sur mon poignet gauche alors que la Marque se dessinait lentement sur ma peau. La douleur qu’elle m’infligeait n’avait rien à voir avec celle que je ressentais d’être si éloigné de mes convictions. Comment j’avais pu en arriver là ? Lorsque la dernière touche d’encre s’est inscrite sur mon poignet, indiquant que tout retour en arrière était impossible, que j’ai réalisé que j’étais passé à côté de tout ce que j’aurais dû vivre. Et que la vérité, elle était loin d’ici, mais qu’aujourd’hui, il était trop tard pour recommencer. J’ai appris le sort de dissimulation dès mon retour au Manoir. Personne ne devait savoir mon appartenance aux Mangemorts, et surtout pas les personnes présentes à Poudlard. Déjà parce que j’en avais honte, et parce que c’était ainsi. Ils œuvraient en secret.
J’ai passé mes Aspics et je suis entré à l’ESM, pour devenir Langue-de-Plomb. Les secrets, ça me connait, et c’était le seul endroit où je ne croiserais ni ma mère, ni mon père, et encore moins mon frère. Le Département des Mystères était le seul endroit où j’avais envie d’être pour avoir la paix. En quittant Poudlard, j’ai aussi quitté le Manoir familial. Ma façon à moi de me rebeller auprès de mes parents, décrétant qu’il était plus simple pour moi de vivre sur le campus de l’Ecole Supérieure du Ministère plutôt qu’au Manoir. J’ai fait des petits boulots pour me payer mes études, je ne voulais rien devoir à mes parents, ils m’en avaient, déjà assez fait. Je n’ai pas été le mangemort le plus efficace du monde, trouvant toujours l’excuse des études pour ne pas être présent aux réunions et pour ne pas participer aux missions. J’en faisais une ou deux, de temps en temps, pour avoir la paix, le mage noir n’est pas tendre avec les traitres et les déserteurs, et j’ai encore des choses à faire sur cette planète. Mais je crois que la pire mission de ma vie, elle je ne l’oublierais jamais. Mes parents m’avaient forcé à venir ce jour-là, parce que cela faisait longtemps et que le Maitre voulait la présence de tout le monde. Et si je ne voulais pas d’ennuis, j’avais plutôt intérêt à être là. J’ai donc suivi et je l’ai regretté dès le départ. L’attaque de Pré-au-Lard bien orchestrée a fait des morts, beaucoup de trop à mon gout, et des mômes. Des putains de gamins qui n’avaient rien demandé à personne. Et je ne suis pas le seul à avoir penser ça, beaucoup de mes « congénères » se sont rebellés, j’aurais pu faire la même chose, je mentirais si je prétendais le contraire, mais la stratégie la meilleure n’est-elle pas de rester proche de ses ennemis pour mieux les combattre ? Ou était-ce plutôt la facilité que de ne rien faire ? Affronter mes parents, je n’en avais pas le courage. Je les aime malgré tout, mon frère aussi, et je ne pourrais pas supporter qu’ils m’abandonnent. C’est con. J’ai quand même exprimé ce que je ressentais vis-à-vis de cette attaque, me faisant bien remettre en place par mes parents, mon père surtout. J’ai fini par faire profil bas, et j’ai laissé les déserteurs fuir le Mange Noir. Mes actions se sont faites encore plus rares, et je reconnais que ma dernière année d’étude était compliquée, je n’avais pas le temps pour les Mangemorts – et encore moins l’envie. Depuis l’attentat, l’ordre du phénix reçoit des informations anonymes. C’est ma façon à moi de me rebeller. Un jour peut-être je fuirais réellement les mangemorts, mais aujourd’hui, je ne suis pas prêt à vivre avec l’épée de Damoclès au-dessus de ma tête, à savoir quand viendront-ils me chercher pour me tuer. Je préfère rester en vie. Encore un peu. Ou peut-être pas. Mes parents m’ont convoqué un jour de juin 80. Cela faisait un an que j’étais diplômé, mes actions au sein des mangemorts n’étaient pas exceptionnelles mais elles me permettaient d’être tranquille. Je suis donc allé chez mes parents, cela faisait peut-être six mois que je ne les avais pas vus. Il y avait même mon frère, lui qui passait son temps dans son manoir de Little Wiltshire, en compagnie de sa femme enceinte, était présent. Je l’ai tout de suite senti, le traquenard, et si j’avais eu un peu plus de courage, j’aurais fait demi-tour. Mais un Malefoy n’est pas défini par son courage, bien au contraire. Si les lois – stupides – des sang-purs je les avais plus ou moins intégrées, celle sur le mariage arrangé, je reconnais que je l’avais totalement oublié. Circée Travers. Rien qu’à l’entente du nom, j’ai grincé des dents. Elle, c’était une petite conne, cinglée avec des idées que je haïssais. Même la femme de Lucius était plus sympathique à fréquenter. Le regard fier de ma mère quand elle me l’a annoncé, je crois que je ne l’oublierais jamais. Elle non plus, d’ailleurs, quand elle a vu le mien. Moi qui n’avais jamais voulu être renié de ma famille, qui avait tout fait – ou presque – pour ça, je me suis pris un revers en pleine face. Non seulement, fallait que j’épouse une connasse – je n’ai pas d’autre mot pour la décrire – mais en plus, je devais renier mon nom de famille, pour prendre le sien. La seule et unique phrase de mon père « Ses parents veulent préserver leur lignée, c’est leur fille unique. Nous, nous avons Lucius pour perpétuer notre nom » Je crois que le voisin de palier aurait mieux été considéré. « C’est ce qui arrive aux rebelles » m’avait murmuré mon frère. Je n’ai même pas répondu tellement je trouvais l’injustice flagrante. Et de toute façon, c’était soit j’acceptais, soit je pouvais faire une croix sur mes parents. L’amour rend con parfois, et dans mon cas, c’est vraiment vrai. Un jour, peut-être que je réussirais à m’extirper de là. J’ai donc accepté les termes du mariage avec la demande explicite d’obtenir Dobby. Je n’aurais jamais cru que mon père accepterait, il a fait la passation de propriétaire le lendemain. Et puis, ce n’est pas comme s’il n’avait pas d’autres elfes de maison à sa disposition. Je suis donc rentré chez moi, à Londres, en compagnie de Dobby. Nox Travers, ça ne va tellement pas ensemble en plus.
Je passe ma vie au Ministère pour oublier, et éviter de penser. Mes parents se font une joie que de préparer le mariage. La mienne, de joie, est relative, surtout lorsque l’on voit la promise. Dobby vient souvent avec moi au Ministère, je crois qu’il est fan de mon scrutoscope miniature. Un jour peut-être que j’aurais le courage de leur dire merde. A mes parents. Ou peut-être pas.
A chacun sa croix le chemin est long et parsemé d'embuches
Dernière édition par Nox Malefoy le Sam 17 Déc - 11:27, édité 1 fois |
| | | Laelia Griffith Staff ♢ Personnage éphémère ♢ Poudlard ♢ Progressiste Messages : 270 Date d'inscription : 13/10/2021
| Sujet: Re: Nox Malefoy ~ ne jamais regretter... Ven 16 Déc - 11:33 | |
| |
| | | Messages : 120 Date d'inscription : 15/12/2022
| Sujet: Re: Nox Malefoy ~ ne jamais regretter... Ven 16 Déc - 12:50 | |
| |
| | | Circée H. Travers Puriste ♢ Eliminable Messages : 93 Date d'inscription : 15/11/2022
| | | | Ethan Winchester Staff ♢ Ordre du Talion Messages : 103 Date d'inscription : 22/02/2021
| Sujet: Re: Nox Malefoy ~ ne jamais regretter... Ven 16 Déc - 16:51 | |
| |
| | | Sirius Black Ordre du Phénix Messages : 442 Date d'inscription : 27/08/2022
| | | | Messages : 120 Date d'inscription : 15/12/2022
| Sujet: Re: Nox Malefoy ~ ne jamais regretter... Sam 17 Déc - 11:29 | |
| |
| | | Ethan Winchester Staff ♢ Ordre du Talion Messages : 103 Date d'inscription : 22/02/2021
| Sujet: Re: Nox Malefoy ~ ne jamais regretter... Mar 20 Déc - 21:25 | |
| Félicitations, tu es validé·e
Le pauvre doudou il est né dans la mauvaise famille En espérant qu'il se fasse pas bouffer par Circée, bonne chance à lui Maintenant que tu as réussi à passer cette épreuve, tu peux aller créer ta fiche de lien, ainsi que partager ton carnet de voyage, rédiger ton ton journal intime ou mettre ton hibou/ta chouette dans la volière. Sois le/la bienvenu·e dans la communauté THM My unity, my family That's just like you and me |
| | |
| Sujet: Re: Nox Malefoy ~ ne jamais regretter... | |
| |
| | | | Nox Malefoy ~ ne jamais regretter... | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |