Nous sommes un ~Tahia Heredia-Davies

Que pensez-vous de la situation et du climat actuel qui règne sur le Royaume-Uni ?  Une chape de plomb est tombé sur son cœur quand elle a su ce que sa sœur avait fait et pourtant, elle n’a pas su en vouloir à Kaelia. Pour l’enfant qu’elle est toute la situation actuelle est angoissante et incompréhensible, mais elle reste persuadé que sa sœur était une fille bien et elle la défendra face au monde entier. Néanmoins, elle n’approuve ni les chasseurs, ni les mangemorts même si elle est loin de comprendre toute les subtilités, elle sait qu’ils sont dangereux et méchant.

Quels sont vos idéaux ? Votre vision de ce que le monde devrait être ? Celui d’une enfant qui grandit le cœur emplie d’espoir et de fleurs. Elle imagine un monde doux où tout le monde est heureux et en paix. Elle ne souhaite voir personne laissé de côté, triste ou autre. Et pourtant, elle a conscience de la noirceur tapis insidieusement derrière chaque être vivant, mais elle voudrait la voir disparaitre à jamais celle là.

Caractère Ici vous pourrez décrire le caractère de votre personnage en quelques lignes. Ironique
Règle 1 : Ne rend pas le monde plus triste, apporte chaleur et douceur autours de toi. Tahia a toujours était une enfant douce, tendre, chaleureuse et bienveillante qui veille à ce que chaque personne autours d’elle ait toujours le sourire aux lèvres. Son optimiste  -parfois béat- et le côté désintéressé de ses actions adorable permettent de réaliser ça plus simplement
Règle 2 : Imagine puis invente, rien n’est impossible si tu y crois. Tahia est une enfant débordant d’imagination et particulièrement habile pour créer. La plupart du temps, elle y arrive sans mal et quand elle échoue, elle recommence étant particulièrement persévérante dans tout ce qu’elle entreprend.
Règle 3 : Trouve le chemin le plus court et le temps le moins long pour arriver à tes fins. Tahia n’a aucune patiente. Elle aime quand les choses vont vite et que tout est bien fait. Malheureusement vitesse et perfection ne font pas toujours bon ménage surtout quand on est d’une maladresse sans nom comme elle.
Règle 4 : N’aie pas peur de vivre des aventures pour en apprendre plus sur le monde. Parfois Tahia est un peu trop téméraire et l’audace dont elle fait preuve pour découvrir quelques nouveauté ou créer ne fait qu’attiser son côté téméraire, impulsif par moment.
Règle 5 : N’oublie pas que le monde est plus doux lorsqu’on regarde le ciel. Grande rêveuse, Tahia est parfois d’un utopisme à fendre le cœur. Pourtant, elle sait que le monde est dangereux, mais elle espère qu’il puisse être doux un jour, sans mal, sans douleur, sans la peur qui vient hanter ses cauchemars.
Règle 6 : Remercie ceux qui t’ont tendu la mains. L’enfant qui a vécu le pire est particulièrement reconnaissante et loyal envers chaque personne qui lui a tendu la main dans sa vie. Peu importe ce que le monde pensera d’eux, elle les soutiendra jusqu’au bout.
Règle 7 : n’oublie jamais et ne retient plus tes larmes. Tahia a longtemps ignoré la douleur et la colère qui furent sienne après la mort des siens. Il lui a fallut bons nombre de thérapie et l’acte de son frère puis de sa sœur pour les accepter et reconnaitre qu’elle avait la rancune tenace envers beaucoup d’acteur de cette histoire. Il lui a fallut ça aussi pour accepter le fait qu’elle a le droit d’avoir plus de peurs que les autre, d’être souvent nerveuse et de laisser couler ses larmes quand ça ne va pas. Elle est sensible et elle doit l’accepter pour avancer.
Règle 8 : La nourriture est ton amie. La gamine est une grande gourmande. Elle pourrait passer sa vie à manger s’il n’y avait pas le risque de vomir si on mange trop. Néanmoins, elle ne se gêne pas pour voler un petit gateau dès que l’envie lui prend.
Règle 9 : Amuse toi aussi longtemps que tu le pourra. Tahia ne rate jamais une occasion de s’amuser ou de faire une bonne blague. Elle profite avant tout du moment présent quand elle le peut et elle verra les conséquences après.
Règle 10 : Ne mens pas. Tahia a dû mentir à sa sœur, à son frère et elle en a souffert. Elle n’a jamais pu partager avec eux ce qu’elle était et elle se demande si ça n’aurait pas changé les choses pour eux. Alors, elle a décidé de ne plus mentir, d’être franche quitte à blesser. Cela vaut mieux que de le regretter plus tard.
Règle 11 : Si on t’attaque répond avec humour. Sans doute que son cousin l’a aidé, mais désormais lorsqu’on lui cherche des poux elle ne se prive pas pour répondre avec sarcasme et ironie tout en gardant un sourire insolent sur les lèvres.
Règle 12 : Honore le passé, vit le présent. Si Tahia a beaucoup de respect pour son passé, elle a désormais décider d’avancer quoi qu’il lui en coute. Elle a décidé d’être une battante, parce que c’est ainsi qu’elle rendra le plus honneur à sa famille.

~Et l’aube était prête à venir, Quand les ombres ont figé son sourire ~ 10 juin 1974

Tahia suit une bulle de savon que sa sœur vient de faire. Un rire enfantin se fait entendre, alors qu’elle saute pour l’éclater retombant sur une bassine d’eau qu’elle renverse. Sa mère la dispute un peu pour la forme dans la langue chantante des iles où elle est née, mais sous le sourire doux de la petite Tahia elle finit par la prendre dans ses bras. L’enfant l’enlace de ses bras et lui dit qu’elle l’aime dans un mélange de romani, tahitienne et anglais. Elle qui est né en entend journalièrement c’est trois langues, elle a du mal à n’en parler qu’une seule. Cela amuse beaucoup son frère Nuï et sa sœur Kaelia, ils oublient qu’un jour ils ont parlé les trois langues mélangées comme elle. Leur mère doit souvent leur rappeler pour le coup.

« Les enfants on se calme et aller emm… »

Sa mère s’arrête dans ses paroles et observe le loin. L’entrée du campement, son visage passe peu à peu de son tendre sourire à une peur certaine. Elle dit à son ainé d’attraper les mains dans ses sœurs et elle leur dit de partir, d’aller se cacher. Elle les conduit d’ailleurs en voyant qu’ils ne comprennent pas et ne bougent pas. Elle les emmène se cacher, alors que peu à peu des cris de terreurs résonnent dans le campement. Leur mère vient embrasser leur front juste avant de les pousser à aller sous une des caravanes priant que ça les protège dans sa langue maternelle.

« Ne criez pas, ne bougez pas, tout ira bien mes trésors. Obéissez et tout ira bien pour vous. Maman et papa vous aime, ne l’oubliez jamais. »

Tahia regarde sa mère qui s’éloigne. Elle veut la rejoindre, mais Nuï et Kaelia l’en empêche. Les deux ainés ont compris que c’était des adieux et au fond la benjamine aussi elle ne peut juste pas l’accepter. Elle est une enfant qui a encore besoin de ses parents. Seulement, la journée douce et ensoleillé de juin est devenu un cauchemar sur terre. La chair brûlée, les cries à jamais graver dans sa mémoire, la caravane sous laquelle ils étaient caché sera la seule chose encore un tant soit peu debout à la fin de l’attaque par les mages noires. L’enfant n’oubliera jamais cette journée. Et pourtant, elle aurait dû. Les sorciers auraient dû leur faire oublier cette journée, mais ils ne l’ont pas fait et elle ne saura sans doute jamais pourquoi ils n’ont pas été oublietté. Ils ne sauront pas plus pourquoi leur clan a été décimé et la fratrie séparée à tout jamais. Nuï a été envoyé dans une famille d’accueil londonienne peu agréable. Kaelia a fini chez cet étrange homme vivant dans le camp de la communauté de la main de saint Michel. Tahia en a eu froid dans le dos en le voyant ce type la première fois, mais au moins il a permis qu’elle garde contact avec Kaelia.  Et elle a eu de la chance en finissant dans la famille Davies. Deux adorables personnes qui ont choisi de devenir ses parents coutent que coutent.

~Quand les ombres ont figé son sourire~28 septembre 1976

Tahia fait une moue, alors qu’elle essaie de récréer un effet mousse que lui a montrer son professeur de science. Une réaction simple qui plait à la jeune fille. Surtout qu’elle a tout pour le reproduire chez elle. Et le pire c’est que son père adoptif l’aide dans ses bêtises sous le regard désabusés de la matrone qui n’aime pas voir son salon se transformer en bain moussant. Pourtant, elle aussi rit quand la gamine finie avec de la mousse sur le bout du nez et dans les cheveux sans savoir trop comment. Tahia rit avec eux en venant s’essuyer le nez et la tête.

«- Allez ça suffit vous deux. Vous rangez et Tahia tu vas te laver avant le diner.
-Oui maman. »

La gamine se lève d’un bond avant d’aider son père à ranger puis elle part se laver. Elle entend qu’on sonne à la porte quand elle est dans sa douche, mais elle n’y prête pas plus attention que ça. Néanmoins, elle se demande qui viendrait les voir à cette heure. Les Davies sont une famille assez calme, par forcément du genre à apprécier les visites tardives. La seule exception c’est pour Aaron Davies, le neveu de son père qui a un emploi du temps un peu chaotique et que Tahia adore.

« Tahia ? Tu peux te dépêcher s’il te plait… il faut qu’on te parle. »

La gamine a sursauté sous sa douche qui coule sans doute depuis trop longtemps, comme à chaque fois qu’elle se perd dans ses pensées. Elle secoue la tête et éteint l’eau pour attraper sa serviette et s’essuyer. Son père c’est déjà éloigné, sans attendre sa réponse puisqu’il sait qu’elle va obéir. Même si elle est curieuse de savoir de quoi ils veulent parler. Elle enfile son pyjama et descend au salon.
Tahia fronce les sourcils et se mord la lèvre en voyant que ses parents ne sont pas seuls. Elle a déjà vu cette personne à l’orphelinat où elle a atterri avec sa fratrie. Elle ne pensait pas la revoir un jour, vu qu’elle a été adopté et que son frère et sa sœur ont été placé dans des familles d’accueils. Elle fronce les sourcils pas rassurés. Elle décide d’aller sur les genoux de son père tout en continuant de fixer l’homme.

«- Bonsoir…
-Bonsoir Tahia. Tu te souviens de moi ? Je me suis occupé du dossier te concernant et concernant ton frère et ta sœur. »

Tahia hoche simplement la tête sans pour autant comprendre ce qui se passe. Elle sent que ce n’est pas quelque chose qui va lui plaire. L’homme a cet air sérieux des gens qui ont de mauvaise nouvelles à annoncer. La gamine sert les poings le cœur battant la chamade.

« Tahia, ton frère…Ton frère nous a quitté… »

La jeune enfant se fige. Son cœur rate plusieurs battements et les larmes se mettent à couleur. Non ce n’était pas possible. Nuï ne pouvait pas les avoir quittés. Il avait promis d’être toujours là. Et pourtant elle s’en doutait. Les rares fois où son frère c’est échappé de sa famille d’accueil, il semblait aller de plus en plus mal. Sa famille d’accueil ne le traitait pas bien et personne ne l’écoutait son grand frère, sauf Kaelia et elle, mais elles étaient trop jeunes pour l’aider. Elle secoue la tête et chasse ses larmes d’un geste rageur. Elle toise l’homme en sautant des jambes de son père.

« C’est votre faute ! Il a dit qu’il n’allait pas bien, c’est votre faute s’il est mort ! »

Tahia part en courant dans sa chambre. Les larmes ne se tarissent pas avant des heures et ses parents ont bien du mal à la calmer. Elle refusera de manger ce soir-là. La douleur cette vieille amie la torture trop pour parvenir à quoi que ce soit, la même que lorsqu’elle a perdue sa famille, son clan. Elle est sans doute pire, car la mort de Nuï est pire encore.


~Que la nuit semblait belle aux lueurs du printemps~13 Mai 1977

Tahia regarde le vanillier de sa mère qui est encore une fois en train de mourir. Sa mère n’arrête pas de lui donner bien des soins, lui apportant une attention plus grande qu’aux autres plantes et pourtant il finit toujours par mourir. La gamine ne comprend pas pourquoi. Sa mère est douée avec les plantes, les autres vivent, alors pourquoi pas cette plante-là. Sa mère va être déçue en voyant sa plante encore en train de mourir et cette idée fait mal à Tahia qui déteste voir ses proches souffrir de quelques manières que ce soit. Elle s’approche du pot de la plante et caresse les branches en train de mourir.

« Allez vie, s’il te plait… »

Murmure-t-elle. Un petit courant lui parcoure les doigts et elle recule sa main comme si elle venait de se brûler, mais la plante a eu ce qu’elle voulait et sous ses yeux Tahia la voit reprendre vit au point d’en avoir une petite fleur. La petite cligne des yeux sans comprendre. Elle secoue la tête et recule refusant de croire qu’elle y est pour quelques choses. La plante allait sans doute mieux qu’elle le pensait. Elle a dû se tromper en l’observant.

« Tahia on est rentré et on a un invité surpris. »

Tahia saute de son perchoir et cours dans le salon rejoindre ses parents se demandant qu’ils ont trouvés en moins d’une demi-heure de sortie course. Ils n’auraient pas dû avoir le temps de rencontrer quelqu’un sauf si la personne en question était en route pour les voirs. Elle accélère encore plus presser de voir le mystérieux invité à cette pensée. Et elle n’est pas déçue en voyant une tête blonde avec des bouclette. Elle crie de joie et fonce dans les bras de l’homme qui est à côté de ses parents.

«- Cousin Aaron !
-Bonjour Tahia chérie. J’ai un cadeau pour toi. Ta maman m’a dit que tu t’intéressais aux plantes, alors je me suis dis que je devais t’offrir ta première plante. »

Tahia s’écarte de Aaron et le regarde fouiner dans son sac pour en sortir un petit pot avec plusieurs petites tiges. Les yeux de Tahia brillent en reconnaissant un petit fraisier pas encore en fleur. Elle attrape la plante en remerciant son cousin pour le cadeau et vient caresser les petites feuilles de la plante en souriant. Elle ressent encore une fois une étrange sensation d’électricité traverser ses mains et la plante finie en fleur.

« Alors ça si je m’y attendais, une sorcière… »

Tahia lève la tête vers son cousin juste après sa phrase. Elle fronce les sourcils pas sûrs d’apprécier ce que vient de dire Aaron. Elle ignore si c’est bien ou pas, mais Aaron a toujours son éternel sourire donc c’est que ça ne doit pas être si grave. D’ailleurs, il caresse sa tête avant de l’invité à s’asseoir avec ses parents.

« J’ai des choses à vous raconter à tous les trois. »

Et Aaron leur parla pendant de longues minutes, peut-être plus d’une heure. Il leur parla de la magie, du secret et de bien des choses sur son univers. Les parents de Tahia ont du mal à accepter tout ça. Ils n’y croient pas. Du moins jusqu’à ce que Tahia leur parle de ce qui est arrivé à son clan trois ans plus tôt, ainsi que tout ce qu’elle fait avec les plantes qui sont étranges. L’information est surprenante : elle est une sorcière, mais Aaron la rassure et lui promet d’être là quoi qu’il arrive pour la soutenir, lui apprendre ce qu’elle doit et l’aider.


~Pour moi ses larmes sont des perles de mort~2 Juin 1980

Tahia a un mauvais pressentiment en se réveillant ce matin-là, comme ci tout son univers aller encore basculer. Elle n’en a pas envie. Elle ne veut pas savoir ce que la journée lui réserve, alors elle tente de rester dans son lit pour ne rien apprendre de mauvais. Seulement, sa mère et son père en ont décidé autrement. Elle a trop de chose à faire aujourd’hui. Elle a école et en fin d’après midi son père a prévu de l’emmener faire du shopping puis un tour de grande roue. En soit un programme qui devrait la réjouir et qui le ferai s’il n’y avait pas ce mauvais pressentiment.

« Tahia ma petite marmotte, il faut te lever on va finir par être en retard. »

La main de son père vient se perdre dans les cheveux de sa fille. Tahia ouvre les yeux et pousse un grand soupir avant de se lever en envoyant valser sa couette au bout du lit. Son père rit avant de lui promettre de lui faire un bon petit-déjeuner pour affronter cette journée qui semble difficile pour elle. Tahia sourit faiblement et va s’habiller, l’uniforme de son école privé a cet avantage non-négligeable qu’elle n’a pas à réfléchir sur comment s’habiller. Au moins, elle finit plus vite devant la table du petit déjeuner.

« Bonjour trésor. »

Lance sa mère en venant lui embrasser le front. Tahia répond à son bonjour non s’en s’arrêter sur le fait que sa maman à l’air encore vraiment fatigué. C’est souvent qu’elle semble fatigué ces derniers temps comme elle se plaint de douleur au ventre de plus en plus souvent. Tahia a conscience qu’il y a quelques choses qui ne va pas, mais ses parents n’en parlent pas trop alors la gamine se dit que ce n’est rien de grave sans doute. Du moins, elle espère. Elle se mord la lèvre en repensant à son mauvais pressentiment, mais son père lui rappelle qu’elle a une journée à vivre.
Et cette journée, elle va la vivre à fond. Elle s’amuse avec ses amies à l’école parlant de leurs futures vacances d’été plus qu’elles ne travaillent. Puis quand vient la fin des cours à quinze heures, elle retrouve son père et va acheter quelques robes ainsi que de nouvelles chaussures. Et le tour de grande roue lui fait briller les yeux tant Londres est belle vu d’en haut, elle en oublie presque ses soucis du matin.
Sauf que ça ne pouvait pas durer. Quand ils arrivèrent à la maison, elle comprend qu’il y a un problème. Des hommes inconnus se trouvent là avec un air grave, sa mère aussi à cet air. Tahia sert la main de son père le cœur battant. Et quand ils parlent c’est pire. Kaelia est morte dans un attentat dans son école. Tahia est incapable de réagir, elle est dans un état de sidération refusant d’y croire. Sa sœur est morte dans un attentat. Aucune larme ne coulera se jour-là, aucuns mots ne sera dit. Il lui faudra des jours pour assimiler l’information et pleurer. Et encore plus de temps pour accepter que tout ça c’est la faute de sa sœur, tué dans un enfer qu’elle avait elle-même provoqué à cause d’une haine des sorciers né d’un drame que même Tahia n’a jamais oublié. Tahia a souvent eu l’impression après ce jour qu’en parlant avec sa sœur de ses pouvoirs, de ce jour dramatique et d’autre chose elle aurait pu empêcher tout ça. Rêve utopique d’une enfant qui a encore perdu un proche en ce jour du 2 juin 1980, sa sœur ainée qu’elle a aimé et aime toujours.

Pauvre bichette malmenée par la vie depuis sept foutues années T'en as pas marre de faire souffrir à ce point tes persos ?
Fais gaffe, la pauvre gosse a l'air maudite et ça risque de toucher même Aaron
Allez, amuse-toi bien (et stp ne tue pas la maman )

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